Êtes-vous vaccinés ou voulez-vous être vacciné contre le Covid-19 ?

Rappel du premier message :

13 mars 2021

Sujet divisé de ce sujet :

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[Concernant le sondage :
Si vous répondez oui à la première question il ne faut pas répondre à la deuxième.
Lorsque vous serez vaccinés vous pourrez modifier votre vote.]
[CR84]

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Pétunia a écrit:

[...] Personnellement, je me suis fait vacciner jeudi (donc avant hier) chez mon médecin traitant, sans pouvoir choisir le vaccin, j'ai donc eu l'AstraZeneca si décrié en ce moment... C'est ce qu'ont les pharmaciens qui fournissent les cabinets médicaux. Avec les recommandations données, je ne connais personne qui a eu des effets secondaires pour l'instant.

On ne peut pas mettre tout sur les politiques, je pense qu'ils naviguent autant que tout le monde, ayant été surpris par la rapidité de cette pandémie.

J'aurais surtout aimé que "les parisiens" (pour les bretons, tout ce qui n'est pas breton est parisien) respectent les gestes barrière ou restent chez eux pendant les vacances scolaires, mais niet : maintenant, on le paie et on le paiera encore  

Pour moi la vaccination sera faite Lundi et la deuxième en Avril
La moindre des chose a faire est de  respecter les gestes barrières et de bien mettre son masque sur le nez et la bouche .

Quand à la saison ce n'est qu'un hypothèse de ma part.

Qui a créé le virus ?

Tonton a écrit:

Non ça marche pas, tu peux quand même l'attraper même en ayant reçu 3 doses tout comme tu peux être contagieux aussi.

Le bénéfice consensuel, c'est qu'il permet d'éviter les formes graves auprès de la population à risque c'est tout.

Ensuite, on a pas imposer sa morale, la morale et le civisme ne sont pas loi.

C'est pas la moral et les vertus qui tranchent les décisions des tribunaux, c'est le code pénal.

Exemple : fumer c'est nocif, mais c'est légal.

Or en imposant le passe vaccinal ( qui n'a servi à rien vu que l'on peut être contagieux en étant vaccinés ), on a imposé une traitement sans qu'il soit obligatoire en faisant un chantage social et salarial.

C'est une entrave à un état de droit, la base d'un état démocratique.

Car en phase 3, un traitement ne peut pas  être obligatoire, les testes cliniques n'étant pas terminés, il ne peut s'appliquer que sous libre consentement. C'est la loi. IL y a donc eu une entrave.

D'ailleurs dans le médical, c'est interdit d'imposer un traitement à un patient qui le refuse. Tu imagines toi, si 2 brancardiers musclés, te maintenaient de force pour t'obliger à prendre un traitement ?

Ben non, donc je vais te dire les opinions, on s'en fou, ce que pense Gérard comme ce que pense Bernard, on s'en fou,  ça ne fait pas loi.

Il y a eu deux phases dans l’épidémie.

La première c’était l’ignorance de la létalité réelle de l’épidémie, on ne connaissait pas les millions de gens qui la transmettaient sans symptômes, elle semblait tuer ou estropier à tous les coups.
Une atmosphère apocalyptique, tu te souviens des camions morgues en Italie? Des patients enterrés anonymement ? la politique d’obligation était cohérente avec cette atmosphère de catastrophe

Graduellement avec les tests on a découvert grâce aux tests le nombre d’asymptomatiques et surtout il y a eu omicron et l’affaiblissement du virus, et la constatation que le vaccin qui n’avait pas changé était de moins en moins adapté à un virus qui mute.
Vacciner la population redevenait une histoire de protection personnelle et individuelle.

Tu juges la politique de la phase 1 avec les connaissances de la phase 2.

En phase 1 ????

je sais pas de quoi tu parles Mucem,

Y'a pas de phase dans la diffusion d'un virus, on parle uniquement de ses mutations.

Dés le départ, on savait que l'on pouvait transmettre le virus en étant portant sain, c'est l'intox gouvernementale qui a dit qu'on avait pas besoin de masque.

Car dans les hôpitaux, on sait depuis longtemps que l'on peut contaminer sans le savoir, ce pourquoi on voulait des masques pour protéger nos populations de soins.

Mais, il y en avait pas.

En septembre 2018, Salomon a transmis un courrier à Buzen, document montré par Ciotti, chargé d'enquête sénatorial, pour avertir que le matériel de précaution, initialement demandé par l'OMS pour couvrir les risques pandémiques, arrivait à péremption.

Septembre 2018, donc environ 1 ans avant les tous début du covid.

Donc si il y a ce confinement généralisé, sur une période de 8 semaines, c'est faute d'avoir du matériel qui viendra difficilement par la suite, car venant de l'étranger.

Sinon, une semaine aurait pu suffire pour mettre en place que l'on appellera par la suite les gestes barrières.

On en est encore à ça, vacciné ou pas, seul les gestes barrières et les testes peuvent vraiment éviter la contagion, et je me souviens bien aussi du discours de Macron disant que les testes ne servent à rien.

Vacciné on peut quand même choper le virus, contaminé, seul les bénéfices dégagés font consensus auprés des personnes à risques, identifié depuis quand même lontemps.

Tes arguments datent un peu, ils ne sont plus valables. On a bien vu que malgrés la vaccination, on a atteint des pics jusqu'à 500 000 cas par jours, et malgré aussi le passe vaccinale.

la vaccination n'est uniquement qu'une affaire de protection individuelle et encore si tu estimes faire partie de la population à risques.

Mais ce que tu ne veux pas entendre, ce que j'évoque, c'est les entraves à l'état de droit.

Je te parle de ce chantage sociale et salariale pour obtenir un consentement, constatant que le discours de la Boétie sur le servitude consentie, datant pourtant du XVIe est d'actualité, puisque des gens semblent admettre que l'on ne dispose pas librement de son corps et que l'on peut exiger d'une personne, qu'elle accepte un traitement expérimental sans son consentement, en la stigmatisant alors qu'elle est dans son droit, elle n'est pas hors la loi, c'est pas une délinquante et en la privant de salaire ou d'existence sociale.

Si on accepte que ce genre de chose se produise, on courts vers un contrat sociale à la chinoise.

Comme le dit l'OMS, convaincre oui, contraindre non.

Ce traitement devrait passer en phase 4 fin 2023 début 2024. Mas la difficulté majeur, je le répète, pour vraiement établir le bilan, c'est les écarts de vaccination entre les pays riches et les pays pauvres.

Donc ce gouvernement a mis en place un chantage pour vacciner le plus de monde possible, Veran ne s'en cache même pas, mais par contre s'oppose à la levée des brevets, une chose et son contraire.

Depuis les masques, jusqu'à aujourd'hui, c'est l'incohérence la plus totale, donc ce n'est pas qu'au début, l'excuse de la nouveauté étant déjà pipé, si : les masques sont utiles, on le sait depuis des décennies, et encore aujourd'hui. Et faute d'en avoir, des soignants ont même fait le choix de rester dans leur structure, pour ne pas contaminer leur population de soins, dont certains aujourd'hui se retrouve sans ressources, faute de ne pas vouloir se faire vacciner par un traitement expérimental.


PHASE 3, c'est pourtant pas compliqué à comprendre. Si les laboratoires se dégagent des responsabilités, c'est pour cette raison, tiens en compte.

Donc tu peux le prendre par précaution, c'est à toi de voir, puisque pour l'instant, on peut pas dire que les effets secondaires soient flagrant, bien qu'il y a quand même des tendances, surtout chez les femmes, dérèglement des menstruations, la plupart semble peut courante, et ils semblent éviter les formes graves qui ne dans les cas , ne concerne que la population à risque,

C'est à toi de voir, tu es libre pour ça, mais tu peux pas l'imposer aux autres.

Bien sûr que si , c'est intéressant de revenir sur le passé pour essayer de comprendre.
Mucem, je m'en souviens très bien, se faisait vacciné pour protéger sa famille, c'est louable, mais il a été berné.
Encore aujourd'hui il n'a toujours pas compris qu'il ne protège personne .
En plus il est jeune, c'est donc un cobaye sur deux pattes fier de l'être.
Que moi je me fasse vacciné a 67 ans ou Bernard, on comprend .
Anecdote.
Mon frère qui a eu une leucémie, et quelques mois de chimio, nous a appelés pour nous dire que c'était un succès.
Guérison totale, arrêt des traitements et surveillance.
Sous la pression de mon jeune frère, il a fait une troisième dose, et a la prise de sang sa leucémie était reparti 3 semaines après l'injection.
Il a posé la question au professeur de la conception, qui n'a pas nié qu'il pouvait y avoir une corrélation avec le vaccin.
Vrai faux on le saura dans quelques années peut être !
Alors prudence, et humilité face à un produit qui n'est pas encore arrivé en fin d'étude.
Ce Mucem , est terrible.........


ET CE GERARD ?  IL Y A UN FIL POUR LE VACCIN : Vaccins et vaccination contre le Covid-19 - Page 11 (dialogueislam-chretien.com)

PENIA

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Source : JT 20h WE

D'après des chercheurs britanniques, une contamination au Covid-19 par Omicron protègerait peu contre une réinfection.
Ce phénomène serait également valable contre les sous-variants d'Omicron, en hausse en France.
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Mauvaise nouvelle dans la lutte contre le Covid-19. Alors que le nombre de cas repart à la hausse dans certains pays d'Europe de l'Ouest, y compris en France, des chercheurs estiment que les personnes contaminées par Omicron ne sont pas protégées contre une future infection. Ce qui entraînerait une baisse de l'immunité collective au sein de la population.

Pour parvenir à cette conclusion, les scientifiques de l'Imperial College de Londres, dont les travaux ont été publiés dans la revue Science, ont analysé des échantillons de sang de plus de 700 travailleurs de la santé au Royaume-Uni. Tous avaient reçu trois doses de vaccin contre le Covid-19. Ils ont constaté que les personnes précédemment contaminées par Omicron présentaient une bonne réponse immunitaire contre la souche initiale et les premiers variants, mais faible contre Omicron lui-même.

Apparemment plus il y a de vaccinés plus le virus mute pour contourner la vaccination.
Donc prudence, vaccinés ou non vaccinés, nous sommes tous transmetteurs .

Mucem a écrit:

Il y a eu deux phases dans l’épidémie.

La première c’était l’ignorance de la létalité réelle de l’épidémie, on ne connaissait pas les millions de gens qui la transmettaient sans symptômes, elle semblait tuer ou estropier à tous les coups.
Une atmosphère apocalyptique, tu te souviens des camions morgues en Italie? Des patients enterrés anonymement ? la politique d’obligation était cohérente avec cette atmosphère de catastrophe

Graduellement avec les tests on a découvert grâce aux tests le nombre d’asymptomatiques et surtout il y a eu omicron et l’affaiblissement du virus, et la constatation que le vaccin qui n’avait pas changé était de moins en moins adapté à un virus qui mute.
Vacciner la population redevenait une histoire de protection personnelle et individuelle.

Tu juges la politique de la phase 1 avec les connaissances de la phase 2.

Tu devrais dire étape dans notre vécu de la pandémie, pour ne pas confondre avec les phases de l'élaboration des vaccins.
Sinon c'est très bien résumé

Dans un premier temps l'impression de fin du monde et de terreur et de pics de morts inconnus depuis la grippe espagnole.

Dans un second temps la réalisation que le vaccin protégeait de moins en moins et qu'omicron était beaucoup plus clément avec peu de victimes malgré une forte contamination.