- khalilallah a écrit:
- Anoushirvan a écrit:
- .
Ce que je crois ne regarde que moi, pas la société.
comment avoir confiance en dieu qui a été trzduit devant les juifs?
En quoi ça regarde l'Etat ?
- khalilallah a écrit:
- Anoushirvan a écrit:
- n"]Suprématie de la langue arabe et des coutumes arabes sur toutes les autres.
la diversité des langues , des couleurs est plutot un signe de l(existence de Dieu. c'et écrit dans le Coran. les musulmans non arabe ont gardé leur langues
Non, pas du tout. Les musulmans non arabes doivent donner des prénoms arabes à leurs enfants, ils doivent réciter les prières dans une langue qui n'est pas celle de leur cœur.
Quand j'y pense le seul domaine où les différentes sociétés musulmanes conservent une certaine originalité, c'est la gastronomie.
Non, tous les pays musulmans ne mangent pas de couscous...
- khalilallah a écrit:
- Anoushirvan a écrit:
- Moyennant un impôt.
tout le monde paye l'impot. les musulmans en forme de Zakat ; et les non musulmans en forme de Djizia. et les pauvres des deux camps en dont exempts.
Jizya et zakat, au sens islamique, ne sont pas du tout la même chose.
La jizya islamique était une punition légale imposée aux Juifs et aux Chrétiens qui refusaient d'embrasser l'Islam et elle était due directement aux califes.
Et même, au VIIIeme siècle, les non-musulmans qui devenaient musulmans devaient tout de même continuer à payer la jizya.
La chute des Omeyyades est justement due à une promesse non tenue en Perse à cette époque d'exempter les convertis de la jizya.
Le fait de ne pas tenir cette promesse a engendré une révolte, récupérée par les Abbassides.
Il n'a jamais été question d'exempter les plus pauvres de la jizya islamique, c'était une taxe collective.
Alors que la zakat islamique, même si elle était théologiquement requise, n'était légalement qu'optionnelle. Donner la zakat pouvait se faire d'individu à individu.
Un impôt doit être non discriminatoire, fondé uniquement sur les capacités financières du contribuable. Son consentement est un élément essentiel d'une société libre.
- khalilallah a écrit:
- Anoushirvan a écrit:
- Je n'ai pas besoin de l'Islam pour ça, ni d'aucune religion d'ailleurs.
L'Islam a fait cessé l'alcool en un seul mois . les états dépensent beaucoup d'argents pour remédier à ce fléau
C'est cela oui. L'alcool a été abondamment consommé dans les sociétés musulmanes pendant des siècles, jusqu'à il y a 200 ans environ.
Au XVIeme siècle, l'Afghanistan, pays musulman, était quasiment un vignoble qui alimentait la cour de l'empire Moghol, musulman lui aussi.
- khalilallah a écrit:
- Anoushirvan a écrit:
- Je veux pouvoir jouir sans entrave.
une fois la damille écroulé tu vivras dans l'enfer
C'est comme ça que ça fonctionne dans vos sociétés, avec des menaces, plutôt que des arguments.
- khalilallah a écrit:
- Anoushirvan a écrit:
- Une économie sans prêt à intérêts ça n'existe pas de façon viable, sauf peut-être dans la jungle.
une économie où les actionnaires se partagent les gains et les pertes c'est l'économie juste et digne des humains
Les utopies économiques se prétendent toujours justes et dignes. Mais pensez à prendre quelques cours d'économie avant de tenter de mettre en œuvre vos utopies, histoire de revenir à la réalité.
Une économie dans laquelle il n'y a pas de prêt à intérêt est une économie à somme nulle, puisque gains et pertes s'équilibrent : il y a quelqu'un qui gagne et quelqu'un qui perd la somme équivalente. Il n'y a pas de création monétaire.
Personne n'a donc d'incitation à dépenser en investissement, notamment en R&D où le risque est important.
C'est donc une économie qui stagne, voire régresse.