sainte Faustine

Troisième d’une famille de modestes agriculteurs polonais de 10 enfants, Hélène Kowalska se sent appelée à la vie religieuse dès l’âge de 7 ans. À 20 ans, elle entre chez les Sœurs de Notre-Dame de la Miséricorde, prenant le nom de Marie Faustine. Cuisinière, jardinière et sœur portière, elle vit de nombreuses expériences mystiques. Messagère de la « grande et insondable miséricorde de Dieu », elle meurt de la tuberculose à 33 ans. Elle est canonisée par Jean-Paul II.

Jésus miséricordieux tel que apparu à soeur Faustine.

C’était le 30 avril 2000 à Rome, le pape Jean Paul II canonisait Faustine Kowalska , une religieuse polonaise. Cinq ans plus tard, juste avant de mourir, le 2 avril 2005, la veille même de la fête de Miséricorde, le pape polonais laisse sur sa table de nuit cette phrase : « Le genre humain ne trouve pas la paix tant qu’il ne se tournera pas vers la source de la miséricorde. » Devenu l’instrument de Dieu pour transmettre cet ultime rempart offert à l’humanité par Dieu, pendant toute sa vie, sainte Faustine a connu des visions mystiques. Elle a ainsi noté les messages de Jésus, exactement comme il le lui avait demandé :

Citation :

«Ma fille, parle au monde entier de mon inconcevable miséricorde… Qu’aucune âme n’était pas peur de s’approcher de moi, même si ses péchés sont comme l’écarlate. Ma miséricorde est si grande que pendant toute l’éternité, aucun esprit ni humain ni angélique ne saurait approfondir tout ce qui est sorti des profondeurs de ma miséricorde ».

Découvrez les messages de Jésus notés par sainte Faustine dans son Petit Journal :

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