Théorie du "genre" ou "gender" enseignée en France.‏

Rappel du premier message :

25.06.2013

Théorie du "genre" en cours SVT en France.‏

Citation :

Madame, Monsieur,

Professeur de SVT, quelle ne fut pas notre surprise en découvrant les nouveaux manuels et programmes de Première avaient été détounés pour donner un vernis pseudo biologique à des opinions privées et partisanes sur l'identité sexuelle : "Le sexe biologique nous identifie mâle ou femelle, mais ce n’est pas pour autant que nous pouvons nous qualifier de masculin ou de féminin. » Manuel Hachette

Pour la défense de l'école républicaine, notre rôle d'enseignants n'est pas de prendre position sur des questions d'intimité et d'opinions subjectives ni de relayer des modes de pensée.

Sauvons la neutralité de l'école et sa mission de former des exprits critiques !

Sauvons le rôle des maitres qui se dévouent pour former des esprits libres !

Signez la pétition !
Katia Lévy et Matthias Dourdessoule, professeurs des Sciences de la Vie et de la Terre en lycées publics.
contact : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

Déjà plus de 20000 signataires en 8 jours!

Faites la circuler, Tous ensemble nous pouvons encore réussir avant la rentrée !

Spoiler:

Pétunia a écrit:: J'ai envie de te répondre Tonton en rigolant parce que j'ai l'impression que tu ne confierais pas ta voiture à une femme par exemple ? ou bien prendre le bus conduit par une femme ? ne parlons pas d'avion !!

Et... laisses-tu un garçon remplir le lave-vaisselle ? ou bien, comme j'ai vu le we. dernier, le fils du voisin étendre le linge de son père : ça peut le perturber à vie peut-être ??

(je suis peut-être HS, mais j'avais trop envie de le dire)

Ca ce sont tes positions personnelles qui te font dire ça, une façon de voir les hommes, un peu sexiste finalement.

En fait j'ai eu mon permis à 33 ans, jusque là, faute de permis, c'est mon épouse qui conduisait. Entre nous, je n'ai pas envie d'avoir une discussion sur fille et garçon, niveau cours d'école.

J'ai perdu ma mère, je venais d'avoir juste 17 ans, suis à un cancer des os, qui l'a handicapé pendant 2 ans. Mon ex femme, grande sportive, pouvait vaquer à sa passion et moi, casanier, je m'occupai de tout à la maison. Alors que pourtant ses 3 enfants ne sont pas les miens. Nous avons eu Léa, ensuite, après le décès de mon père.

Tous les hommes que je connais, font le ménage, les générations ont changés tu sais, on est plus en 1960. Surtout dans ma catégorie sociale, où la nécessité étant d'avoir 2 salaires, y'a pas vraiment de questionnement sur le travail de l'épouse.

Donc le couple s'organise selon les disponibilités de chacun et chacune, et je n'ai pas à dire comment un couple doit s'organiser, c'est des adultes, je ne suis pas leur papa.

cailloubleu* a écrit:

Tonton a écrit:: accompagnent leur petite fille et qu'il y a un semblant de parité, par contre les filles ont tendance à préférer des sports plus féminins et finissent par changer de loisirs.

Lesquelles et pourquoi? Et quand?
Ça, c'est aussi étudié dans les études de genre

Par goût inné ou par goût acquis?

Et pourquoi pas de sciences? goût inné ou goût acquis?
Ou bien parce que trop de gens leur ont dit que les sciences ce n'était pas pour les filles?

Un psychiatre sérieux se demandera pourquoi.

la réponse est donné par les affreux complotistes du CNRS, c'est une question de prédisposition naturelle. Bien sûr, il y a des exceptions.

Mais prenons par exemple mon métier, principalement à vocation féminine, sais tu que de base ( en salaire net ) en étant de nuit à temps plein, en fin de carrière, je touche moins qu'un éboueur ?

je te l'ai déjà expliqué, les métiers plutôt féminins , sont injustement sous payés, car certaines primes d'emploi, sont calculés selon les critères de pénibilité datant du l'ère industriel. Eboueur est un métier à risque de mortalité, 95 % des accidents mortels sont des hommes, dans des métiers à vocations masculines. Mais 75 % des maladies professionnelles, concernent des femmes dans des métiers à vocation féminine.

Il y a donc une injustice à ce niveau là, et la solution n'est certainement pas d'imposer aux unes comme aux autres, de faire un métier qu'ils ou elles n'ont pas envie de faire, mais plutôt de revaloriser les métiers féminins concernés.

Bien quand il s'agit d'augmenter les salaires, c'est un bras de fer avec ceux qui ne sont pas disposé à le faire. Donc opter pour une parité dans les métiers sans tenir compte de leur particularité, sans tenir compte des dispositions, et du coup ne pas augmenter les salaires, c'est certains que sera la préférence de certains patrons d'entreprises.

Prend l'exemple d'une entreprise de déménagement, et pose toi la question pourquoi que des hommes ( enfin presque, il y a toujours des exceptions ) pas besoin de demander à un psy.

cailloubleu* a écrit:: Nous ne parlons pas de féminisme, nous parlons dans ce sujet des FAUSSES accusations contre les 3h annuelles de cours d'éducation sexuelle à l'école qui d'après les complotistes dévoient les jeunes.

On se demande pourquoi l'intervenant du CRNS, vers 1mn30, dit que la tentation la plus courante, pour lutter contre les discriminations c'est de nier la différence entre un homme et une femme, un affreux complotiste sans doute ?

Tu n'as jamais entendu parler d'intersectionnalité dans le discours des féministes d'aujourd'hui et du communauté LGBT+ ?

liberte-scolaire.com/articles/analyses/la-theorie-du-genre-est-elle-enseignee-a-lecole-preuves-a-lappui/

extrait ( parmi d'autres ) :

Terminons par un livre de lecture conseillé par l’Education nationale (comme ici), la pièce Mon frère, ma princesse, qui relate l’histoire d’un petit garçon de 5 ans qui veut devenir une fille. Cette pièce a déjà été donnée en séance scolaire dans 30 villes de France et commence une nouvelle tournée dans six départements. Le petit garçon dit à sa sœur en page 39 : « La nature elle s’est trompée, je le sais bien elle s’est trompée, j’ai pas su me concentrer alors elle a mis dessus moi des morceaux qui ne sont pas à moi. […] Le zizon c’est pas à moi, ça pend, c’est mou, on dirait un ver de terre, la nature elle s’est trompée, je veux être comme Nina ma sœur. ». Est-il pertinent d’emmener les enfants voir un tel spectacle en classe – de surcroît truffé de fautes de français ?

Pense-t-on réellement que cela n’aura aucun impact sur leur psychologie ?

Le pape considère que cette théorie du genre, quand elle prend la tournure de nier les différences naturelles chez hommes et femmes, peut avoir des effets néfastes.

Peut on parler d'homophobie, ou d'une sagesse de l'Esprit ?

voyons ce qu'en dit Caroline Eliacheff - Pédopsychiatre et psychanalyste :

Moderateur

J'ai regardé le document que tu nous as fourni:

Citation :: voir : les différences cérébrales et cognitives entre hommes et femmes expliquées par le CNRS.https://www.youtube.com/watch?v=L2nI1P03f90&ab_channel=Vigi-Gender.

Cet excellent scientifique a souligné que les QI étaient identiques chez les hommes et les femmes, que les prédispositions étaient légères lorsqu'on regardait la moyenne des performances de la totalité des 2 groupes.
Comme il s'agit d'une moyenne elles ne signifient rien entre 2 individus c'est à dire entre un homme précis et une femme précise car là les prédispositions peuvent être inversées.

Que faisait ce scientifique? Il faisait des gender studies = il explorait les genres.
,

Citation :: Mais prenons par exemple mon métier, principalement à vocation féminine, sais tu que de base ( en salaire net ) en étant de nuit à temps plein, en fin de carrière, je touche moins qu'un éboueur ?
je te l'ai déjà expliqué, les métiers plutôt féminins , sont injustement sous payés, car certaines primes d'emploi, sont calculés selon les critères de pénibilité datant du l'ère industriel. Eboueur est un métier à risque de mortalité, 95 % des accidents mortels sont des hommes, dans des métiers à vocations masculines. Mais 75 % des maladies professionnelles, concernent des femmes dans des métiers à vocation féminine.
Il y a donc une injustice à ce niveau là, et la solution n'est certainement pas d'imposer aux unes comme aux autres, de faire un métier qu'ils ou elles n'ont pas envie de faire, mais plutôt de revaloriser les métiers féminins concernés.
Bien quand il s'agit d'augmenter les salaires, c'est un bras de fer avec ceux qui ne sont pas disposé à le faire. Donc opter pour une parité dans les métiers sans tenir compte de leur particularité, sans tenir compte des dispositions, et du coup ne pas augmenter les salaires, c'est certains que sera la préférence de certains patrons d'entreprises.
Prend l'exemple d'une entreprise de déménagement, et pose toi la question pourquoi que des hommes ( enfin presque, il y a toujours des exceptions ) pas besoin de demander à un psy.

C'est hors-sujet

Je te rappelle que le sujet n'est pas un débat entre nous sur la supériorité ou l'égalité des hommes ou des femmes.

Le sujet c'est les gender studies, c'est à dire les champs d'étude qui ont pour objet les sexes, donc exactement ce qu'à fait ce chercheur du CNRS.

Ce chercheur était-il en train de dévoyer la jeunesse?
Ce chercheur disait-il que le papa et la maman étaient interchangeables?
Ce chercheur encourageait-il à changer de sexe?
Ce chercheur encourageait-il l'homosexualité?.

En fait avec cette vidéo tu as démontré exactement ce que sont les gender studies loin des complotismes.

Merci pour cette vidéo

Moderateur

Tonton a écrit:: Le pape considère que cette théorie du genre, quand elle prend la tournure de nier les différences naturelles chez hommes et femmes, peut avoir des effets néfastes.

Peut on parler d'homophobie, ou d'une sagesse de l'Esprit ?

voyons ce qu'en dit Caroline Eliacheff - Pédopsychiatre et psychanalyste :

Mon cher Tonton cette vidéo est glaçante, et l'auteure incrimine instagram et autres réseaux sociaux pour cette folie, qui relève d'un système de secte.
Il convient de faire attention au vocabulaire.
Les gender studies sont les études de tous ce qui touche les événements des sexes, ils n'ont pas de théorie, ils étudient.
C'est-à-dire que la folie de ce mouvement de mode sectaire vu dans cette vidéo serait l'objet de leur questionnement, de la recherche du pourquoi.

Ce qui est malsain et sectaire n'a pas encore de nom, ce serait plutôt une nébuleuse non scientifique et complotiste sur les réseaux sociaux.
Mais la secte vient d'ailleurs, ce serait intéressant de savoir ce qui se passe. Pourquoi ces héros supermusclés s'ils sont masculins et aux seins hypertrophiés si ce sont des héroïnes? Les destinataires de ces héros hypermalsains sont des ados, qui sont agressés par ces images. Les garçons qui ne veulent pas devenir des filles font aucun contraire de la muscu, pour ressembler aux héros, et les filles qui ne veulent pas devenir des garçons rêvent d'avoir l'argent pour faire des implants.

Nous avons une société de fous.

cailloubleu* a écrit:

Tonton a écrit:: Le pape considère que cette théorie du genre, quand elle prend la tournure de nier les différences naturelles chez hommes et femmes, peut avoir des effets néfastes.

Peut on parler d'homophobie, ou d'une sagesse de l'Esprit ?

voyons ce qu'en dit Caroline Eliacheff - Pédopsychiatre et psychanalyste :

Mon cher Tonton cette vidéo est glaçante, et l'auteure incrimine Instagram et autres réseaux sociaux pour cette folie, qui relève d'un système de secte.
Il convient de faire attention au vocabulaire.
Les "gender studies" sont les études de tous ce qui touche les événements des sexes, ils n'ont pas de théorie, ils étudient.
C'est-à-dire que la folie de ce mouvement de mode sectaire vu dans cette vidéo serait l'objet de leur questionnement, de la recherche du pourquoi.

Ce qui est malsain et sectaire n'a pas encore de nom, ce serait plutôt une nébuleuse non scientifique et complotiste sur les réseaux sociaux.
Mais la secte vient d'ailleurs, ce serait intéressant de savoir ce qui se passe. Pourquoi ces héros super musclés s'ils sont masculins et aux seins hypertrophiés si ce sont des héroïnes? Les destinataires de ces héros hyper malsains sont des ados, qui sont agressés par ces images. Les garçons qui ne veulent pas devenir des filles font aucun contraire de la muscu, pour ressembler aux héros, et les filles qui ne veulent pas devenir des garçons rêvent d'avoir l'argent pour faire des implants.

Nous avons une société de fous.

Pourquoi l'humanité ce complait-elle dans sa propre folie ?

cailloubleu* a écrit:: Mon cher Tonton cette vidéo est glaçante, et l'auteure incrimine instagram et autres réseaux sociaux pour cette folie, qui relève d'un système de secte.
Il convient de faire attention au vocabulaire.
Les gender studies sont les études de tous ce qui touche les événements des sexes, ils n'ont pas de théorie, ils étudient.
C'est-à-dire que la folie de ce mouvement de mode sectaire vu dans cette vidéo serait l'objet de leur questionnement, de la recherche du pourquoi.

Ce qui est malsain et sectaire n'a pas encore de nom, ce serait plutôt une nébuleuse non scientifique et complotiste sur les réseaux sociaux.
Mais la secte vient d'ailleurs, ce serait intéressant de savoir ce qui se passe. Pourquoi ces héros supermusclés s'ils sont masculins et aux seins hypertrophiés si ce sont des héroïnes? Les destinataires de ces héros hypermalsains sont des ados, qui sont agressés par ces images. Les garçons qui ne veulent pas devenir des filles font aucun contraire de la muscu, pour ressembler aux héros, et les filles qui ne veulent pas devenir des garçons rêvent d'avoir l'argent pour faire des implants.

Nous avons une société de fous.

Si on pose un regard social, on risque de sortir vers de nombreux HS.

Les réseaux sociaux, fonctionnent comme une secte, mais ça veut pas dire que ce sont des sectes. Je ne sais plus le nom du cardinal qui a dit ce que j'ai pensé aussi :

Ils permettent de regrouper les gens selon leurs opinions, malgré les écarts en km, mais par contre, ils nous éloignent de nos proches voisins, qui ne pensent pas forcement comme nous.

Dans un autre langage, aussi symboliques que de parler de secte, ces réseaux créent des bulles autistiques communautaires. La conséquence, c'est la difficulté d'aborder un débat contradictoire avec sérénité.

Mais ensuite, il y a du clientélisme. Déjà parce que nous vivons dans une société spectacle, qui accroche sa clientèle en faisant le buzz plutôt qu'en proposant de vraies discussions. Donc dans les débats d'opinions, peu importe le sujet invoqué, sont mis en scène, les acteurs les plus " radicaux ", afin de créer une sorte d'arène, comme celle des gladiateurs de l'empire romain.

Puis, et c'est sans doute malheureux, il y a aussi du clientélisme pour récupérer les grandes causes humaines. Comme c'est le cas des luttes contre les ségrégations , qui sont exagérées, aggravées, rendus énormes, sans tenir compte de ce qui a été fait par le passé, comme si par exemple, les suffragettes n'avaient rien fait, ni les militants anti raciste, ou les associations depuis longtemps existante pour lutter contre l'homophobie.

C'est pour faire " spectacle ", mais aussi pour faire du clientélisme " politique ", car vu la limite du champ d'action, la politique est plus un spectacle qu'autre chose, on le sait. Mais c'est aussi parfois
du clientélisme pour des raisons d'argents.

Je vais pouvoir transiter vers sur le sujet, car pourquoi ne pas lutter aussi contre les discriminations que subissent les roux ? les gros, les petits, les asperger, les blondes, les boutonneux ou ceux qui portent des lunettes ? Ils sont pourtant bien plus nombreux, que les 0.01 % de transgenre.

Mario a introduit un texte qui conclue le pourquoi du comment. Mais maintenant, il faut revenir au sujet.

Si le pape, aussi par l'intermédiaire des diocèses, avertie et conseille les parents, ce n'est parce qu'il est un vieillard sénile, qui s'appuie sur du vent. Tous les espions, les agents de renseignements le disent, peu importe leur nationalité, c'est le Vatican qui dispose du meilleur service de renseignements. On pourrait dire pourquoi mais ça élargit ce HS.

cailloubleu* a écrit:: Le sujet c'est les gender studies, c'est à dire les champs d'étude qui ont pour objet les sexes, donc exactement ce qu'à fait ce chercheur du CNRS.

Ce chercheur était-il en train de dévoyer la jeunesse?
Ce chercheur disait-il que le papa et la maman étaient interchangeables?
Ce chercheur encourageait-il à changer de sexe?
Ce chercheur encourageait-il l'homosexualité?.

En fait avec cette vidéo tu as démontré exactement ce que sont les gender studies loin des complotismes.

Merci pour cette vidéo

Oui elle est bien, mais tu remarqueras que dés le début, il dénonce les raccourcis que prennent certains pour instrumentaliser les théories du genre ( car il y en a plusieurs ).

Le mot complotiste a perdu de son sens, parce qu'il est utilisé pour rompre une discussion, sans tenir compte de sa nature. Les enfants disent parfois, c'est celui qui dit qui est.

Or ce sont souvent de la bouche de ceux qui instrumentalisent, que ce soit les théories du genres ou d'autres, mais aussi les causes humaines, que sort l'accusation complotiste.

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