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 les nouveaux cardinaux

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mario-franc_lazur
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MessageSujet: les nouveaux cardinaux   les nouveaux cardinaux EmptySam 24 Nov 2012, 09:27

Les cardinaux, conseillers du pape

Benoît XVI doit créer samedi 24 novembre six nouveaux cardinaux, tous non-européens. Une première dans l’histoire du Sacré Collège qui plonge ses racines dans les premiers siècles de la chrétienté


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MessageSujet: Re: les nouveaux cardinaux   les nouveaux cardinaux EmptySam 24 Nov 2012, 09:33

(je cite):

"L’origine du mot cardinal viendrait de l’adjectif latin cardinalis , lui-même issu de cardo , signifiant « pivot » : aux premiers siècles de la chrétienté, on désignait ainsi les clercs attachés à une paroisse ou à une diaconie, terme qui est resté pour désigner le clergé du seul diocèse de Rome.

Aujourd’hui encore, les cardinaux sont toujours répartis en trois « ordres » : cardinaux-diacres (titulaires d’une diaconie) ou cardinaux-prêtres (titulaires d’une paroisse romaine), auxquels s’ajoutent les cardinaux-évêques (titulaires d’un diocèse de la banlieue de Rome, dits suburbicaires) : un rattachement fictif au diocèse de Rome – tous les cardinaux sont obligatoirement ordonnés évêques – qui permet de manifester le lien spécial entre le pape et les cardinaux. Le cardinal André Vingt-Trois, archevêque de Paris, est ainsi cardinal-prêtre du titre de Saint-Louis des Français, c’est-à-dire curé en titre de la paroisse romaine Saint-Louis-des-Français (même si un autre prêtre exerce de fait cette fonction).

Le Sacré Collège est présidé par un doyen qui n’est pas le plus âgé des cardinaux mais un des cardinaux-évêques, élu par ses pairs puis nommé par le pape (actuellement le cardinal italien Angelo Sodano) et secondé par un vice-doyen (actuellement le cardinal français Roger Etchegaray). Les cardinaux les plus anciens de chaque ordre (cardinal protoprêtre et cardinal protodiacre) ont également des charges particulières : c’est ainsi au cardinal protodiacre (actuellement le Français Jean-Louis Tauran) qu’il revient d’annoncer, à l’issue du conclave, le nom du nouveau pape.

Le pape peut aussi choisir (notamment pour protéger celui qui est créé cardinal quand il vient d’un pays où l’Église est persécutée) de créer un cardinal in pectore (dans son cœur) c’est-à-dire de tenir son nom secret. Lorsque son nom est rendu public, le cardinal en question retrouve sa place dans le Sacré Collège à compter du jour de sa reservatio . Mais il peut arriver que le pape meure sans que le nom de l’élu soit connu, y compris de lui-même (ce qui est arrivé pour le cardinal créé in pectore en 2003 par Jean-Paul II).

Quel est leur rôle ?

On désigne habituellement le Sacré Collège des cardinaux comme le « Sénat de l’Église ». De fait, les cardinaux ont d’abord comme mission de conseiller le pape dans son rôle de direction de l’Église universelle. Une mission que les cardinaux ont assumée très tôt : dès le IVe siècle, le clergé de Rome a été associé aux décisions de l’évêque de Rome, notamment quand il était sollicité pour trancher des questions soumises par d’autres évêques. Les papes ont ainsi pris l’habitude de réunir les prêtres et diacres de Rome en consistoire (de consistorium , qui désignait le conseil des empereurs romains).

Avec Urbain II (1088-1099), le consistoire, qui ne réunit alors que les cardinaux-prêtres, prend le pas sur le Synode du diocèse de Rome et devient un véritable lieu de décision. C’est à partir de là qu’on peut parler de Sacré Collège en tant que corps véritablement constitué. Il s’organise alors peu à peu : en 1245, au concile de Lyon, les cardinaux obtiennent le port du chapeau (supprimé en 1969) tandis qu’en 1291 Boniface VIII leur accorde la soutane rouge. Enfin, en 1464, ils obtiennent le privilège de porter la barrette, signe distinctif des docteurs en théologie.

Avec la grande réforme de Sixte Quint, en 1588, et la création, au sein de la Curie, des différents dicastères avec à leur tête un cardinal-préfet, les cardinaux apparaissent plus comme des collaborateurs individuels du pape, le consistoire se réunissant plus épisodiquement et étant réservé aux occasions exceptionnelles. Il faut attendre Jean-Paul II, puis Benoît XVI, pour voir revaloriser le rôle du consistoire à travers des réunions plénières du Sacré Collège consacrées à des questions importantes sur lesquelles le pape veut recueillir l’avis des cardinaux. Benoît XVI avait ainsi convoqué les cardinaux pour évoquer la question lefebvriste (2006), le dialogue islamo-chrétien (2007) ou les scandales de pédophilie (2010).

Mais le rôle le plus spectaculaire du Sacré Collège est bien évidemment l’élection du pape. Ce n’est toutefois qu’en 1059 que Nicolas II réserve cette élection aux cardinaux-évêques avant que les trois ordres ne soient convoqués en 1130, privilège définitivement confirmé en 1179. En 1970, Paul VI réservera l’accès au conclave aux seuls cardinaux de moins de 80 ans.

Qui sont les cardinaux ?

Le nombre de cardinaux a beaucoup varié au cours des siècles : une trentaine aux premiers siècles de la chrétienté, quelquefois moins de dix au Moyen Âge, avant que Sixte Quint ne limite leur nombre à 70. Une limite qui perdurera jusqu’à Jean XXIII dont les efforts d’internationalisation du Sacré Collège feront « exploser » le nombre de cardinaux, poussant son successeur à limiter le nombre d’électeurs (moins de 80 ans) à 120. Avec les six cardinaux que Benoît XVI doit créer ce samedi 24 novembre, le nombre de cardinaux atteindra 211 : un record dans l’histoire de l’Église.

En raison du fait que les premiers cardinaux provenaient du clergé romain, les Italiens ont longtemps été majoritaires dans le Sacré Collège. Seuls les Français ont pu parfois les concurrencer : ainsi, si on comptait 80 % d’Italiens contre 12 % de Français aux XIIe-XIVe siècles, cette proportion s’inverse pendant la papauté d’Avignon (85 % de Français contre 10 % d’Italiens).

Le retour de la papauté à Rome signera une longue domination des cardinaux italiens qui ne commencera à s’estomper qu’au XIXe et XXe siècles. Ainsi, en 1800, on ne compte que cinq cardinaux étrangers dans le conclave qui élit Pie VII mais ils sont déjà 25 en 1878 pour l’élection de Léon XIII. Le premier cardinal américain est nommé en 1875, suivi dix ans plus tard par le premier Océanien. Mais il faut attendre 1905 pour voir un cardinal latino-américain, 1946 pour un Asiatique, 1960 pour un Africain…

Aujourd’hui encore, le Sacré Collège reste dominé par les Européens qui représentent 55 % des cardinaux (51 % des électeurs, les Italiens représentant encore presque la moitié d’entre eux, voir infographie)(ci-dessus)".


NICOLAS SENÈZE
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MessageSujet: Re: les nouveaux cardinaux   les nouveaux cardinaux EmptySam 24 Nov 2012, 09:43

Les nouveaux cardinaux :

Mgr James Harvey, l’homme de confiance

Ce Nord-Américain, préfet de la Maison pontificale au Vatican, est apprécié pour sa discrétion. Efficace et souriant, c’est lui qui accueille les chefs d’État du monde entier dans la cour Saint-Damase au Vatican. C’est aussi lui qui avait refermé les portes de la chapelle Sixtine derrière les cardinaux lors du dernier conclave.

Mgr James Michael Harvey, 63 ans, est depuis 1998 préfet de la Maison pontificale, une sorte de secrétaire général dont le rôle est de coordonner toute l’activité du pape et de gérer les audiences. Né à Milwaukee en 1949, ordonné pour ce diocèse américain en 1975, il est diplômé en droit canonique et entre dans la diplomatie vaticane en 1980, d’abord en République dominicaine, puis, dès 1982, à la Secrétairerie d’État, au Vatican. Apprécié pour sa discrétion, il fut nommé, par Jean-Paul II, préfet de la Maison pontificale, ordonné évêque puis élevé à la dignité d’archevêque en 2003.

Homme de confiance également de Benoît XVI, il connaissait bien Paolo Gabriele, qui a travaillé à son service durant de nombreuses années avant de devenir majordome personnel du pape.


S. B. Béchara Raï, un patriarche face au « printemps arabe »

Septembre 2011 : sept mois après son élection, le 77e patriarche maronite libanais suscite une vive polémique à l’occasion de sa visite en France. Interrogé sur la crise syrienne, Mgr Béchara Raï ne cache pas ses craintes pour l’avenir des chrétiens en cas de chute du régime Assad, provoquant malgré lui l’incompréhension des médias. C’est que le successeur du cardinal Sfeir prend ses fonctions alors qu’un vent de révolte traverse le monde arabe.

Né en 1940 à Hemlaya, au nord-ouest de Beyrouth, ce religieux a été ordonné prêtre en 1967. Consacré évêque à 46 ans, il devient vicaire patriarcal général, avant d’être nommé, en 1990, au siège épiscopal de Byblos. Le futur cardinal n’est pas étranger aux subtilités romaines : il y a étudié de 1962 à 1975 et dirigea un temps la section arabe de Radio Vatican. Celui qui fut l’hôte de Benoît XVI à Beyrouth, en septembre dernier, portera désormais la voix des chrétiens d’Orient au sein du collège des cardinaux.


S. B. Baselios Cleemis Thottunkal, la vitalité d’une tradition liturgique
Âgé de 53 ans, l’archevêque majeur de Trivandrum des syro-malankars participe actuellement au synode sur la nouvelle évangélisation. Né en 1959 dans l’État indien du Kerala, ordonné en 1986, diplômé de l’Université pontificale Saint-Thomas-d’Aquin (Angelicum) de Rome, il avait été nommé en 2001 évêque auxiliaire de Trivandrum, avant de devenir en 2003 évêque de Thiruvalla.

En 2007, il avait été élu à l’unanimité par le synode épiscopal de l’Église catholique syro-malankare archevêque majeur de cette Église dont Benoît XVI, qui l’avait reçu peu après en audience, avait rappelé « l’héritage précieux ». Récemment de passage à Paris, il avait témoigné pour La Croix de la vitalité d’une Église minoritaire. De tradition syrienne, unie à Rome depuis 1930, celle-ci compte 14 évêques, 600 prêtres et 500 000 fidèles.


Mgr John Onaiyekan, l’homme de la réconciliation nationale au Nigeria

Il veut être l’homme de la paix dans son pays. Depuis plusieurs mois, alors que le Nigeria est frappé par une série d’attentats, Mgr John Onaiyekan, archevêque d’Abuja (centre du pays) tente de mettre en œuvre un dialogue entre tous les acteurs politiques pour lutter contre le groupe islamiste armé Boko Haram, dont les violences ont causé plus de 1 200 victimes depuis 2009. Pour encourager son action, il doit recevoir le 31 octobre le Prix de la Paix 2012, décerné par Pax Christi International.

Né en 1944, Mgr Onaiyekan ordonné prêtre à 25 ans, avant de devenir, en 1982, évêque auxiliaire du diocèse nigérian de Olorin. Coadjuteur d’Abuja depuis 1990, il est l’évêque de la capitale nigérianne depuis 1992. Il est également coprésident du Conseil des leaders religieux en Afrique-Religions pour la Paix.


Mgr Ruben Salazar Gomez, l’appel à la paix en Colombie

Dans une Colombie minée par la guérilla menée par les Farc, l’archevêque de Bogota et président de la conférence épiscopale colombienne n’hésite pas à faire entendre la voix de l’Église. Ainsi, en juillet, Mgr Ruben Salazar Gomez a adressé un appel urgent au gouvernement et aux guérilleros afin qu’ils ouvrent des négociations de paix. Dans le même temps, il apportait son soutien au projet du Congrès, relatif au dédommagement des victimes du terrorisme.

À 70 ans, ce natif de Bogota peut compter sur une solide expérience épiscopale puisqu’il fut nommé évêque de Cucuta en 1992, à seulement 50 ans. En 1999, cet ancien diplômé de théologie dogmatique de l’Université grégorienne, titulaire d’une licence en Écriture sainte de l’Institut pontifical biblique de Rome est nommé archevêque de Barranquilla, la quatrième ville du pays (3 millions d’habitants). Avant de devenir archevêque de Bogota, en juillet 2010.


Mgr Luis Antonio Tagle, pasteur et théologien

Sa nomination comme archevêque de Manille, en 2011, avait étonné. Comment un théologien, disciple de l’École de Bologne qui, à l’inverse de Benoît XVI, voit dans Vatican II une « rupture » et une « nouvelle naissance » pouvait-il être nommé à la tête d’un des plus importants diocèses du monde, lui promettant la pourpre cardinalice ?

L’ancien professeur de théologie dogmatique est en fait une vieille connaissance de Benoît XVI, qu’il a fréquenté dès 1997 à la Commission théologique internationale dont il fut un des membres remarqués. « Je crois avoir acquis un regard beaucoup plus universel, racontait-il en 2003 à La Croix . Il est très enrichissant de voir comment des cardinaux, des évêques, des professeurs de renommée internationale travaillent ensemble. Avec simplicité et humilité, mais aussi fermeté et conviction. »

Nommé en 2001 évêque d’Imus, un diocèse de la grande banlieue de Manille, il s’y fait défenseur des pauvres. « Le gouvernement nous traite de subversifs, les riches propriétaires pensent que nous sommes contre eux », regrettait-il. Mais il assume : « Nous devons être prêts à subir la critique et même la persécution. »

Ce petit homme souriant n’est pas pour autant un révolutionnaire : sa proximité avec les pauvres est pensée théologiquement, dans la lignée de Vatican II. « Dans l’esprit de Gaudium et spes , je suis convaincu que nous devons dialoguer avec le monde et trouver les ministères adaptés aux besoins d’aujourd’hui, avec une attention particulière à l’égard des plus pauvres : s’ils ne sont pas à l’aise dans la société, qu’ils se sentent au moins chez eux dans l’Église, qui devrait en priorité être leur maison. » Rien d’étonnant, dès lors, qu’au sein du Synode pour la nouvelle évangélisation il ait été choisi comme vice-président de la commission pour le message. Message dont tous les membres du Synode saluent l’ouverture et le souffle."


Céline Hoyeau, François-Xavier Maigre, Martine de Sauto, Loup Besmond de Senneville, Bruno Bouvet et Nicolas Senèze
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