Par son moyen nous avons la libération par rançon grâce au sang

Par son moyen nous avons la libération par rançon grâce au sang de celui-là, oui le pardon de nos fautes (Éph. 1:7).

La mort sacrificielle de Jésus Christ, qui s’est volontiers « livré lui-même pour [nous] », veut dire beaucoup pour tous ceux qui l’aiment et aiment son Père (Gal. 2:20). Néanmoins, c’est ce qu’il a fait après sa mort et sa résurrection qui nous a réellement libérés, qui a rendu possible le pardon de nos péchés. Il a accompli ce que préfigurait la Loi mosaïque le jour des Propitiations. Ce jour-là, le grand prêtre prenait du sang des animaux sacrifiés et entrait dans le Très-Saint du tabernacle (ce qui se ferait par la suite dans le Très-Saint du temple de Salomon) et le présentait à Dieu, comme s’il se trouvait en sa présence (Lév. 16:11-15). De manière semblable, Jésus est entré dans le ciel même avec la valeur de son sang humain et l’a présentée à Jéhovah (Héb. 9:6, 7, 11-14, 24-28). Parce que nous exerçons la foi dans le sang de Jésus, nos péchés sont pardonnés et notre conscience, purifiée. Quel bonheur ! w14 15/11 2:13.

Jésus s'est sacrifié, et chaque année à Paque nous sacrifions l'agneau pour nous remémorer que nous devons toujours être dans le souvenir de Jésus s'étant sacrifié pour nous.

A vrai dire, je vois le sacrifice de l'agneau non pas comme un cadeau que l'on fait nous à Jésus mais l'inverse, Jésus qui nous offre l'autorisation de sacrifier l'agneau afin que nous n'oublions pas.

D'ailleurs tous les sacrifices de toutes les religions sont des sacrifices que Dieu fait pour les hommes et non l'inverse.

Moi je ne mange pas de viande déjà, alors penser au sacrifice d'un animal pour Dieu, non, je n'en veux pas.

Je conçois que Dieu ait dit, "prend cet animal en remplacement" à l'homme pour lui donner le "sentiment" qu'il fait une action de grâce, mais maintenant c'est à l'homme en toute intelligence qui doit se dire "je sais que Dieu se sacrifie en acceptant que j'immole cet animal, moi je ne veux plus que Dieu se sacrifie pour moi, je me passe l'animal car de toutes les manières, j'ai compris que Dieu a voulu me donner en remplacement quelque chose qui me tenait à cœur".

C'est un échange, la communion d'avec Dieu, alors il faut agir comme si nous avions en face de nous "un ami" à qui on dira, "merci, mais je me passe de ça car je sais que tu m'aimes et que je t'aime et cela me suffit, inutile de nous prouver de quelque manière que ce soit".

Je ne sais pas si je suis hors du sujet, mais j'ai senti ton sujet comme ça, je me suis peut être trompée.