| | Si j'étais Dieu | |
| | Auteur | Message |
---|
rosarum
| Sujet: Si j'étais Dieu Ven 05 Fév 2016, 21:34 | |
| 5 février 2016 Si j’étais Dieu, Nom de Moi, Je ferais cuire tous ces cagots Ces insupportables bigots, Ces punaises de sacristie, Tous ces culs bénis abrutis, Ces flagorneurs et ces badernes, Ces lèche culs qui se prosternent Genoux ployés ou culs levés, Pour Jésus, Allah ou Yahvé. Ils proclament que je suis Tout, Que je suis le Grand Manitou Omniscient, plein de sagesse, Généreux devant leurs faiblesses, Et voyez, nom de Moi !, Comment agissent-ils avec moi ! Ils me traitent comme un vieux kon, Ridicule vieillard abscons, Fort avide de privations, Jouissant des propitiations, Des louanges bêlantes, des sanglants sacrifices, Capable d’imposer de m’immoler son fils Á celui que j’aurais choisi comme prophète, Et bavant de plaisir en cette immonde fête. Si j’étais ce pervers, ce névrosé sadique, Ce parano borné, ce tyran narcissique. - cliquez ici pour lire la suite:
j’étais Dieu, Nom de Moi, Et si j’étais salaud tout autant qu’ils le sont, Pour les gratifier d’une bonne leçon Je leur infligerais cette terrible peine Qu’ils ont imaginé, par bêtise et par haine, Que j’eus pu concevoir, que je puisse appliquer : C’est eux ! ces tristes kons, eux ! que je damnerais ! En enfer les croyants ! Satan, met du charbon ! Mais bouche-toi le nez : ils sont nauséabonds. Leurs curés, leurs imams, leurs rabbins rabat-joie, Infligent à tous de Moi une image d’effroi, D’une espèce de flic, d’adjudant implacable, Les menacent en mon nom de tourments redoutables. Ils prétendent m’aimer avec leurs simagrées, Leurs prières débiles, leurs rituels tarés, Leurs cérémonials qu’ils veulent grandioses Mais qui ne sont que le reflet de leurs névroses. Comme si je pouvais — Moi, Dieu, Être parfait, Suprême intelligence — être par ça bluffé ! ! !
Si j'étais Allah, Oh ! La la... Je punirais ces assassins Qui tuent pour quelques dessins Qui massacrent en mon nom Au fusil, au couteau, au canon Qui prétendent, ces allumés Venger Maomet ! Comme s'il ne pouvait le faire lui-même. Ces sinistres gangsters Ont tué les fils de Voltaire. Et ces salauds prétendent qu'ils m'aiment ? Pour baiser soixante-et-dix vierges ? Ils ne sont pas sortis de l'auberge. En récompense, ces sinistres rats Seront sodomisés par des verrats. Mon langage serait-il abscons ? C'est dur d'être aimé par des kons...
Si j’étais Dieu, Nom de Moi, Les athées, les sans-dieu, les non-croyants, Ceux-qui-se-posent-des-questions, les mécréants, Ceux qui refusent d’ingurgiter Les réponses prêt-à-porter, Qu’un soi-disant Élu, prétentieux allumé, Aurait reçu de Moi ! Pauvre illuminé, En haut d’une montagne, en quelque lieu secret Et qu’il aurait transcris dans un livre sacré. Ceux-là, tous ceux qui doutent, les hommes de Raison, Ceux qui n’acceptent pas, de la foi, le poison, Et qui ne vivent pas pour autant en bandits, Pour ceux-là j’ouvrirais, tout grand, mon paradis.
Si je suis Dieu, Nom de Moi, Si je suis cet être infiniment bon, Comment peut-on penser que je suis assez kon Pour vouloir tourmenter Toute une éternité Ce pauvre humain mortel qui dans son désarroi Ne croit pas en moi ! Si je suis cette suprême intelligence Comment peut-on penser, et par quelle aberrance, Que j’ai créé les Hommes pour en être adoré, Et que je prends en compte toutes leurs logorrhées !
Si je suis Dieu, Nom de Moi, Si j’ai donné à l’Homme la Raison, Cet outil merveilleux pour poser des questions, La faculté de pouvoir discerner Si un événement est vrai, Possible ou invraisemblable, Il faut vraiment être minable Pour penser que je vais punir Tous ceux qui osent s’en servir !
Par chance, je ne suis pas Dieu, Nom de Dieu… Á la santé de ceux qui refusent de croire, Satan, verse-moi à boire ! Mis en " spoiler " par CR84, car message introductif trop long. |
| | | mymy40
| Sujet: Re: Si j'étais Dieu Ven 05 Fév 2016, 21:58 | |
| Je comprends mieux la miséricorde, grâce à toi rosarum ! |
| | | maryoumariadh
| Sujet: Re: Si j'étais Dieu Sam 06 Fév 2016, 14:52 | |
| Heureusement tu ne L'es pas ! Mais qu'est ce que tu racontes là ? On comprend que tu n'aies pas de foi ... mais moi ça me fout les foies !!
Et lorsque tu blasphèmes je me dis d'où vient cette haine ? Je vois que ton cœur saigne que ces maux coulent de tes veines .
Je ne t'en veux pas mais si tu n'as pas de foi n'accable donc pas celui qui lui en a .
lorsque ton malheur cesse et que tu entends la noblesse de pieux pleins de sagesse tu retrouveras allégresse
même le bruit des tambours laisse ton cœur sourd mais ce n'est pas sans détour je l’espère pour toi un jour !
Dernière édition par maryoumariadh le Dim 07 Fév 2016, 13:23, édité 1 fois |
| | | Pierresuzanne
| Sujet: Re: Si j'étais Dieu Sam 06 Fév 2016, 18:10 | |
| - rosarum a écrit:
- 5 février 2016
Si j’étais Dieu, Nom de Moi, Je ferais cuire tous ces cagots Ces insupportables bigots.....
- cliquez ici pour lire la suite:
j’étais Dieu, Nom de Moi, Et si j’étais salaud tout autant qu’ils le sont, Pour les gratifier d’une bonne leçon Je leur infligerais cette terrible peine Qu’ils ont imaginé, par bêtise et par haine, Que j’eus pu concevoir, que je puisse appliquer : C’est eux ! ces tristes kons, eux ! que je damnerais ! En enfer les croyants ! Satan, met du charbon ! Mais bouche-toi le nez : ils sont nauséabonds. Leurs curés, leurs imams, leurs rabbins rabat-joie, Infligent à tous de Moi une image d’effroi, D’une espèce de flic, d’adjudant implacable, Les menacent en mon nom de tourments redoutables. Ils prétendent m’aimer avec leurs simagrées, Leurs prières débiles, leurs rituels tarés, Leurs cérémonials qu’ils veulent grandioses Mais qui ne sont que le reflet de leurs névroses. Comme si je pouvais — Moi, Dieu, Être parfait, Suprême intelligence — être par ça bluffé ! ! !
Si j'étais Allah, Oh ! La la... Je punirais ces assassins Qui tuent pour quelques dessins Qui massacrent en mon nom Au fusil, au couteau, au canon Qui prétendent, ces allumés Venger Maomet ! Comme s'il ne pouvait le faire lui-même. Ces sinistres gangsters Ont tué les fils de Voltaire. Et ces salauds prétendent qu'ils m'aiment ? Pour baiser soixante-et-dix vierges ? Ils ne sont pas sortis de l'auberge. En récompense, ces sinistres rats Seront sodomisés par des verrats. Mon langage serait-il abscons ? C'est dur d'être aimé par des kons...
Si j’étais Dieu, Nom de Moi, Les athées, les sans-dieu, les non-croyants, Ceux-qui-se-posent-des-questions, les mécréants, Ceux qui refusent d’ingurgiter Les réponses prêt-à-porter, Qu’un soi-disant Élu, prétentieux allumé, Aurait reçu de Moi ! Pauvre illuminé, En haut d’une montagne, en quelque lieu secret Et qu’il aurait transcris dans un livre sacré. Ceux-là, tous ceux qui doutent, les hommes de Raison, Ceux qui n’acceptent pas, de la foi, le poison, Et qui ne vivent pas pour autant en bandits, Pour ceux-là j’ouvrirais, tout grand, mon paradis.
Si je suis Dieu, Nom de Moi, Si je suis cet être infiniment bon, Comment peut-on penser que je suis assez kon Pour vouloir tourmenter Toute une éternité Ce pauvre humain mortel qui dans son désarroi Ne croit pas en moi ! Si je suis cette suprême intelligence Comment peut-on penser, et par quelle aberrance, Que j’ai créé les Hommes pour en être adoré, Et que je prends en compte toutes leurs logorrhées !
Si je suis Dieu, Nom de Moi, Si j’ai donné à l’Homme la Raison, Cet outil merveilleux pour poser des questions, La faculté de pouvoir discerner Si un événement est vrai, Possible ou invraisemblable, Il faut vraiment être minable Pour penser que je vais punir Tous ceux qui osent s’en servir !
Par chance, je ne suis pas Dieu, Nom de Dieu… Á la santé de ceux qui refusent de croire, Satan, verse-moi à boire !
Mis en " spoiler " par CR84, car message introductif trop long. Génial ton poème, mon bon rosarum, tu as respecté la Loi, et bien mis le quantum, et du jour et du mois, mais pour ta peine, ton inspiration, a dépassé le compte, en opération, Cyril a pour sa honte, réduit ton insolence, à une courte pitance.
Génial ton poème, il n'est pas anathème. Tu nous parles du Vrai Dieu, Celui qui est heureux, de rencontrer ses fils, dont le doute est prémisse, d'une relation d'amour, basée sur la raison, Sagesse de l'humour, Vérité en chansons, joie de la rencontre, pitié pour les petits, paix dépourvue de honte, bonheur des ouistitis, repas d'éternité, festin de l'Alliance, joie d'un Jubilé, sans cruauté rance, simplicité du rire, dépourvu de son ire. Dieu a ri, de ton cri.
Ce ne sont pas nous catholiques, qui sommes au dessus des autres, C'est notre Christ qui est l'arbitre, qui pour notre salut n'abdique. Il a triomphé de tout, Il est au dessus de tout. Ce n'est pas notre pratique qui nous apporte le salut, mais la grâce de Jésus. Notre Eglise maintient vivante, foi, connaissance puissantes, qui notre humanité enfantent à une vie signifiante, en Dieu irradiante.
L'Eglise est le tabernacle, contenant le Corps sacré, Je comprends que tu renâcles, car nous sommes ânes bâtés, arrogants, et vaniteux, pharisiens, et piteux, méchants et ignorants, condamnant et jugeant. Mais l'Eglise est Tabernacle, consacrant le Saint Mystère, préservant le Pain sacré, que ton esprit espère.
Notre sainteté est nulle, notre pauvreté éclate, nous servons de tabernacle, au Dieu qui nous a trouvé, quand il est ressuscité. Il parait dans la lunule, que l’ostensoir dissimule. L'Eglise est le tabernacle, contenant le Corps sacré.
Nos rituels ne servent à rien, qu'à conserver le Pain, que Dieu nous donne en signe, de notre salut insigne.
L'Eglise est le tabernacle, contenant le Corps sacré. Je comprends que tu renâcles, tant nous sommes ânes bâtés.
Dieu t'attend, Il t'espère, Dieu ton Père, est présent. Il a ri, de ton cri.
|
| | | Elmakoudi
| Sujet: Re: Si j'étais Dieu Dim 07 Fév 2016, 19:59 | |
| |
| | | rosarum
| Sujet: Re: Si j'étais Dieu Dim 07 Fév 2016, 20:59 | |
| bravo maryoumariadh et Pierre suzanne je vous admire car moi je suis nul en poésie je ne suis pas l'auteur du poème mais je l'aime bien, de même que celui ci de Jacques Prévert. PATER NOSTER
Notre Père qui êtes au cieux Restez-y Et nous nous resterons sur la terre Qui est quelquefois si jolie Avec ses mystères de New York Et puis ses mystères de Paris Qui valent bien celui de la Trinité Avec son petit canal de l'Ourcq Sa grande muraille de Chine Sa rivière de Morlaix Ses bêtises de Cambrai Avec son océan Pacifique Et ses deux bassins aux Tuileries Avec ses bons enfants et ses mauvais sujets Avec toutes les merveilles du monde Qui sont là Simplement sur la terre Offertes à tout le monde Éparpillées Émerveillées elles-mêmes d'être de telles merveilles Et qui n'osent se l'avouer Comme une jolie fille nue qui n'ose se montrer Avec les épouvantables malheurs du monde Qui sont légion Avec leurs légionnaires Avec leurs tortionnaires Avec les maîtres de ce monde Les maîtres avec leurs prêtres leurs traîtres et leurs reîtres Avec les saisons Avec les années Avec les jolies filles et avec les vieux cons Avec la paille de la misère pourrissant dans l'acier des canons.
Jacques Prévert, Paroles (1945) |
| | | Pierresuzanne
| Sujet: Re: Si j'étais Dieu Dim 07 Fév 2016, 21:24 | |
| - Elmakoudi a écrit:
Mon cher Elmakoudi, Skipeer nous a déjà posté ce poème il y a 15 jours, et j'y ai répondu.(Tu aurais pu te fatiguer un peu et le retranscrire;.... mais ne t’inquiète pas, j'ai repris ses grandes interrogations dans ma réponse. J'en ai profité pour compléter un peu.) - cliquez ici pour lire le trop long poème de Pierre-Elie:
Ton ami le poète pose bien des questions, dont la réponse simple dans sa clarté tient en un mot qui a nom TRINITÉ.
Comme un enfant curieux papillonne, ton ami le poète nous questionne : Comment le monde peut-il tourner, quand Dieu est mort crucifié ?
Les Évangiles nous l'ont dit : Par son Père et l'Esprit réunis ! Par le Fils dans sa divinité ! Car son humanité, est la seule à mourir, car son humanité, pouvait seule souffrir.
Si Dieu est Trinité, le monde a pu tourner, quand dans l'humanité, Jésus est mort crucifié.
Comme un enfant curieux papillonne, ton ami le poète nous questionne : Comment les sept cieux ont-ils vogué, quand Dieu est mort crucifié ?
Dans les mythes des anciens oubliés, se trouvent les sept astres des sept cieux, les seuls que l’œil humain voit bouger, dans l’immensité infinie des cieux : le Soleil, la lune, Mars, Mercure, Jupiter, Vénus et Saturne, les 7 astres visibles voguant dans la nue taciturne. Mythes de la Sumer antique, Platon dans son Timée les mis. La gnose les a trouvé si pratiques, que le Coran les a repris.
Dieu Trinité n'appartient pas aux sept cieux enfantins, des mythes humains, aunes de leur ignorance. Mon Dieu Trinité est partout, hors des cieux, dans le monde, Crucifié s'Il le veut, pour rendre l'espérance, aux hommes orgueilleux, ignorants et immondes, qui refusent d'écouter, pour tout seuls inventer, un dieu imaginaire, un petit diablotin, à l'étroite mesure de leur esprit humain.
Comme un enfant curieux papillonne, ton ami le poète nous questionne : Marie en son ventre l'abrita, Petit enfant, elle l'enfanta, dans son enfance il mangea, il couru et se fatigua ?
Toute la réponse tient dans nos mains : nous sommes le peuple de l'humain : Dieu a choisi nos lendemains, d'un salut par les romains. Dieu fait homme est la rencontre, de l'Esprit et du charnel, réunion exceptionnelle, dont Satan est bien l'encontre. Pur esprit, Satan vomit, sur le choix de la croix. Dieu est libre, Il se livre. S'Il le veut, Il le peut.
Comme un enfant curieux papillonne, ton ami le poète nous questionne : Comment le hommes ont-ils agi, vécu, choisi, puisqu'ils étaient prédestinés, par un Dieu mort crucifié ?
La réponse, simple dans sa clarté, tient en un mot Liberté.
Jamais le Dieu Trinité, foyer d'amour, de liberté, n'a les hommes prédestinés, pour choisir leur destinée.
Comme un enfant curieux papillonne, ton ami le poète nous questionne : Comment Dieu aurait-Il choisi, de se retrouver soumis, à la vindicte humaine, à une destinée vaine ?
C'est Dieu qui a choisi, de finir sur la croix, librement, et par choix ! C'était sa vocation, et non sa destinée, le pour quoi il est né ! Dans sa liberté, ainsi l'Incarnation était sa vocation, pour notre Rédemption.
Comme un enfant curieux papillonne, ton ami le poète nous questionne : Jésus enfoui, sous la terre alourdie, Un autre Dieu ? mais quel autre Dieu, a sa mort abolie ?
La réponse est simple dans sa clarté, elle a un nom Trinité.
Comme un enfant curieux papillonne, ton ami le poète nous questionne : Comment peut-on se prosterner, devant la croix abominée ?
Sur la croix devant laquelle agenouillé, je rends hommage au Seigneur crucifié, il a connu ma peine, épousé ma misère, traversé mon malheur, crucifié mon péché, et ma mort dépassée. Il a connu l'insulte, le fouet, les crachats et les clous, la lance et l’abandon, la trahison, la peur, la souffrance et la mort.
Jésus-Christ, flagellé, moqué, ignoré, dénigré, oublié, dénié, insulté, diffamé, a pardonné.
est décédé.
Il sait aimer.
Ressuscité,
il a régné.
Il m'a donné la vie, la joie par son pardon, force de sa Rédemption,
les sept dons de l'Esprit !
Je lui ai dit merci. Ainsi me suis-je prosterné, devant la croix abominée.
Mon Dieu toujours absent, dans mon entêtement.
Mon Dieu toujours offert, dans un monde de fer.
Mon Dieu toujours présent, dans Son Saint Sacrement.
Mis en " spoiler " par CR84, car message trop long. - LA CHARTE a écrit:
- Nous demandons par ailleurs à tous les intervenants que leurs messages ne dépassent pas les 80 lignes afin d'avoir une certaine lisibilité sur la page que les autres intervenants suivent. 80 lignes, avec y compris les citations ! Ne gardez dans les citations que ce qui correspond à votre réponse !
|
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Si j'étais Dieu Dim 07 Fév 2016, 23:46 | |
| - maryoumariadh a écrit:
Et lorsque tu blasphèmes Je me dis d'où vient cette haine ? Je vois que ton cœur saigne Que ces maux coulent de tes veines .
Je n'ai pas choisi cette haine
Dirait celui qui n'a plus la foi,
C'est mon coeur qui est dans la peine
Car mon âme est aux abois. |
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: Si j'étais Dieu | |
| |
| | | | Si j'étais Dieu | |
|
Sujets similaires | |
|
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |