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 Egarements du PAPE

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rosedumatin
LA REPONSE
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LA REPONSE

LA REPONSE



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MessageSujet: Egarements du PAPE   Egarements du PAPE - Page 3 EmptyMer 03 Mar 2010, 20:21

Rappel du premier message :

Les déclarations du papes ont provoqué la colère du monde musulman
dans un passé récent.et il prétend encore qu'elles ne relèvent nullement du faux pas.
pour Benoît XVI, toutes les religions ne se valent pas. Mais lui il ne le cache pas
Il prend le risque d'embraser le monde musulman. Un discours
ardu sur la foi et la raison, prononcé le 12 septembre à l'université de Ratisbonne,
dans lequel le pape associe l'islam à la guerre sainte et laisse
entendre que la religion du Prophète est peu accessible à la raison,
contrairement au christianisme. Il est tenu durant un voyage officiel en Allemagne.

Mais les chrétiens d'Orient craignent d'être les victimes collatérales
des propos du pape. Les 16 et 17 septembre, sept églises ont été attaquées
dans les territoires palestiniens. Les islamistes radicaux attisent depuis une vingtaine
d'années la haine envers les minorités chrétiennes en les assimilant
aux Occidentaux, aux «croisés».
C'est précisément sur le terrain de l'islam que le pape bavard entend
marquer sa différence avec son prédécesseur.
Joseph Ratzinger avait même obtenu de Jean-Paul II qu'il introduise la nuance
suivante: les responsables religieux étaient venus «ensemble pour prier»,
et non pas «pour prier ensemble». Autrement dit, toutes les religions ne se valent pas.

Ni faux pas ni moment d'égarement, donc: à Ratisbonne, Benoît XVI n'a fait que
défendre ses convictions. Pape identitaire, il s'est donné pour mission de rappeler
la spécificité chrétienne aux depend de la vie de millions de correligionnaies
pouvant mener a une guerre mondiale. Heureusement qu'il s'est ressaisi!!!!
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rosedumatin
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MessageSujet: Re: Egarements du PAPE   Egarements du PAPE - Page 3 EmptyDim 14 Mar 2010, 21:49

LA REPONSE a écrit:
A l’aurore de son Pontificat, Jean XXIII a prêté, selon la rituelle exigence,
le SERMENT suivant :
"Je promets de ne rien diminuer ni changer de ce qui m’a été transmis par mes vénérables prédécesseurs.Comme leur fidèle disciple et successeur, je m’engage
a n’admettre aucune nouveauté, mais, au contraire, à vénérer avec ferveur et à
conserver de toutes mes forces le dépôt qui m’a été confié. En conséquence, qu’il s’agisse de nous ou d’un autre, nous soumettons au plus sévère anathème quiconque aurait la présomption d’introduire une nouveauté quelconque qui serait opposée à
cette tradition évangélique ou à l’intégrité de la Foi et de la Religion Catholique".


En dépit de ce serment, Jean XXIII s’est révélé un ‘pape’ révolutionnaire :
- Deux mois après son couronnement le nouveau ‘Pape’ a violé la Bulle de
Sixte-Quint, Postquam Verus permettant ainsi l’enflure sans fin du nombre des Cardinaux. Par la suite, il décida que tous les Cardinaux seraient évêques, portant
ainsi atteinte au système hiérarchique du gouvernement de l’Eglise.
- En 1962, Jean XXIII a signé avec Moscou, et cela par les soins du Cardinal WILLEBRANDS, un accord selon lequel le Concile devait faire silence sur le Communisme. Cet accord avait été préparé entre le Cardinal TISSERAND et le représentant du K.G.B., le patriarche de Moscou, Nicodème. On saisit au
passage la raison de l’empêchement de la condamnation du communisme
par le Concile. On saisit également pourquoi la véritable consécration de la Russie
au Coeur Immaculé de Marie, n’arrive pas à se faire selon la demande expresse
de la Vierge de Fatima.
- Jean XXIII a amorcé la déclergification en supprimant le port de la soutane
pour les prêtres, innovation réclamée par Luther et par les Loges maçonniques.
Le 28 Juin 1962, le Cardinal Feltin a publié une ordonnance dont nous citerons
l’article 2 :
"Dans le choix du costume ecclésiastique, le Clergé tiendra le plus grand compte de l’opinion des fidèles et des nécessités pastorales".
Il faut croire que "l’opinion des fidèles" et les "nécessités pastorales" ont rejoint
le secret désir de l’ensemble des prêtres: les soutanes ont disparu et nos rues
n’ont plus su reconnaître le passage des "hommes de DIEU".

- C’est encore le même ‘Pape’ qui a commencé la modification du bréviaire et de la liturgie, et qui a entraîné à plus ou moins longue échéance la diminution, voire la suppression du latin au profit de la langue locale ; et cela, malgré des panégyriques vantant hautement la valeur incommensurable de cet élément d’unité linguistique
au sein de l’Eglise.
- Un an et demi après son élection, donc en juin 196O, Jean XXIII a nommé
comme Secrétaire de la commission liturgique préparatoire au Concile, le Père
Bugnini. On sait que le dit Bugnini a passé pour être Franc-Maçon.
- Celui que l’on a appelé "l’Apôtre de la Paix" (Joseph Bécaud) a ouvert la voie
à l’une des plus terribles audaces de Satan : un oecuménisme qui voit l’Esprit-Saint partout dans le monde, qui s’opère à coups de dialogues et non pas à coups de conversions à la Seule Vraie Religion du Christ,

Voyons maintenant ce que valait pour les prophètes du Cardinal Roncalli le second message relatif à la Convocation du Concile et par la même occasion, voyons aussi ce que valait pour Jean XXIII ce qu’il a appelé "une sollicitation divine", une "inspiration du Très-Haut".

- LE CONCILE VATICAN II SOUS LES FEUX DE "L’ESPRIT"

Tout à la fraîcheur de sa fleur printanière et sûr de l’authenticité divine de son inspiration, Jean XXIII s’est décidé à convoquer le Concile Vatican Il. Que
devait être pour lui ce Concile ? une explosion de l’Esprit-Saint, une "Nouvelle Pentecôte".Il le proclame bien haut :"…que les fidèles prosternés devant
les autels de la Vierge, appelée justement l’Épouse du Saint-Esprit, implorent
l’effusion des dons du Paraclet afin qu’une nouvelle Pentecôte vienne réjouir
la famille chrétienne"

"Ce Nous est une raison d ‘exhorter tout particulièrement les Communautés
de fidèles… à faire monter vers DIEU de ferventes supplications afin que
se produise avec plus d’ampleur un nouveau printemps dans l’Eglise...
dans la confiance qu’une nouvelle Pentecôte donne à la Sainte Eglise...
une nouvelle vigueur pour le triomphe de la vérité du bien et de la paix".
S’adressant aux séminaristes du monde entier, Jean XXIII reprend son
thème favori :
"Au début de votre sacerdoce, vous serez appelés à participer à l’application
de cette extraordinaire Épiphanie ou plutôt Nouvelle Pentecôte"
Enfin le ‘Pape’ est assuré de l’infusion constante du Saint-Esprit au sein
de l’assemblée conciliaire :
"Sans aucun doute, le Concile sera un spectacle exceptionnel, le plus puissant
que puisse offrir, par la signification, par les provenances, par les intentions,
toute initiative humaine, religieuse et même civile. Ce qui intéresse le plus,
c’est de savoir que l’Esprit du Seigneur plane constamment au-dessus
d’une assemblée aussi importante et fondamentale"

Ainsi Jean XXIII, sûr de l’origine céleste de sa "voix intérieure" et impatient
de la "Nouvelle Pentecôte", a convoqué le Concile en dépit des sages et
mûres réflexions de ses prédécesseurs, Pie XI et Pie XII, lesquels avaient
eu la pensée d’un Concile, mais n’avaient pas reçu de "sollicitation divine",
ni de "choc imprévu et inattendu".

Nous retrouvons là l’illuminisme tenace de Jean XXIII qui prend pour l’action de l’Esprit-Saint, celle de Lucifer travesti en ange de lumière.

Bonsoir LA REPONSE,

Quel Pape , quelle autorité de l'Eglise vas tu calomnier ensuite ?????

Avant de parler de la sorte j'aimerais que tu indiques tes sources......

Est ce que nous attaquons vos émirs ?????? vos chefs de groupes ??? votre Foi ????

J'écris d'ailleurs pour votre Prophète Mohammed (psl)......


Je te demande donc de rester dans l'esprit de fraternité et de dialogue de ce forum.

Et voici ma réponse et mes sources :



Benoît XVI et le Concile


de Thierry Boutet




Le 11 octobre 1962, il y a 45 ans, s’ouvrait le concile vatican II. De l’aggiornamento, “la mise à jour”, proposée par Jean XXIII et Paul VI, à la purification de la raison et de la foi à laquelle nous invite Benoît XVI, la même «conversion du regard », nous est demandé selon le mot de Jean-Paul II.
Benoît XVI est le dernier pape du Concile, du moins le dernier à avoir participé – comme expert de la tendance réformiste – aux travaux du Concile Vatican II.
Pie XII, qui en est l’auteur le plus cité, en avait eu l’intuition et, à sa manière, l’avait préparé.
Jean XXIII, considéré comme un pape de transition, au moment de son élection, l’a ouvert au sens matériel comme au sens figuré.
Paul VI, élu le 21 juin 1963, en fixe les grandes orientations dans sa première encyclique Ecclesiam suam,datée du 6 août 1964, fête de la Transfiguration. De Paul VI, Benoît XVI dit qu’il porta le Concile « d’une main experte, délicate et ferme », douloureuse aussi : « Il ne s’est pas laissé conditionner par les incompréhensions et les critiques, même s’il dut en supporter la souffrance et les attaques parfois violentes, mais il resta en toute circonstance un timonier ferme et prudent de la barque de Pierre. » Les interventions multiples de Paul VI dans les années 70 et les grands synodes de la fin de son pontificat portent la trace de cette crise dont le Concile Vatican II n’est pas la cause mais dont il a servi de révélateur.
Jean-Paul Ier par sa brève apparition et son offrande rendit possible l’élection de Jean-Paul II. Celui-ci a changé la donne. D’une Eglise rongée par le doute – du moins en Occident – il a fait une Eglise qui n’a plus peur du monde, de sa jeunesse, comme de son passé ; une Eglise à nouveau prête à transgresser les prêts-à-porter intellectuels des grandes idéologies.
Puis vient Benoît XVI. Pape redouté ou inattendu, tenus par les uns pour conservateur et pour progressiste par les autres. Mais ce sont autant d’images fausses : Benoît XVI est d’abord un pape du Concile. Il l’est en raison de son histoire personnelle, de la communion mystérieuse de l’Eglise, mais aussi selon une continuité pastorale profonde avec ses prédécesseurs immédiats. Son insistance pour inviter l’Eglise et les chrétiens à une « purification de la foi et de la raison » prend tout son sens si on l’entend dans cette continuité.
Aggiornamento est en effet l’un des mots les plus employés pour qualifier le Concile. Il est formé du mot giorno,qui signifie “jour”, et a été largement employé par Paul VI pour signifier la « mise à jour de l’Eglise », dans le sens d’un ressourcement spirituel et d’une purification salutaire. Il n’existe pas de sainteté sans cette « mise à jour », sans cette «purification du regard », comme le rappelait aussi Jean-Paul II dans sa lettre apostolique Novo Millenio Inuente du 6 janvier 2001.
Cette purification qui est celle du Concile, de Paul VI et de Jean-Paul II, est aussi l’axe majeur du pontificat de Benoît XVI.
Elle n’est une entreprise ni facile, ni agréable car elle nécessite d’accepter d’être dérangés de nos habitudes, du “ronron” de nos idées toutes faites, du formalisme de notre foi, des préjugés de notre raison, de la peur de l’opinion des autres.
La lucidité sur nous-mêmes et sur les vrais motifs de nos choix n’est jamais évidente.
Oser se regarder en face dans la transparence du regard que Dieu porte sur nous demande une grande humilité et beaucoup de force ou de ferveur surnaturelle. Ce qui est vrai de chacun, l’est aussi de l’Eglise prise dans sa globalité. Le prologue de l’évangile de saint Jean nous le révèle : les ténèbres ne reçoivent pas la lumière. En revanche, elle luit dans les ténèbres de tous ceux qui acceptent que leurs ténèbres intérieures soient détruites par son surgissement.
Le témoignage de cette mort à soi-même, à ses plans, à sa propre science, en vue de la Résurrection a été donné par chacun des papes du Concile : Pie XII ne voulait être que curé. Il a été pape et odieusement calomnié !!!!
Selon les témoins de ses derniers jours, le bienheureux Jean XXIII a vécu une agonie terriblement douloureuse. Paul VI, après la publication d’Humanae vitae a été l’objet de toutes les critiques et de campagne d’opinions très agressives. Jean-Paul II a été victime d’un attentat et la fin de sa vie a été un long calvaire. Benoît XVI, à son tour, comme ses prédécesseurs, n’est pas ménagé.
Comme chacun d’eux et à leur suite, le Concile nous invite à être des prophètes pour notre temps. Benoît XVI, comme chacun des papes du Concile, nous montre le chemin. Mais il n’est pas dit que le chemin des prophètes est facile !


Une Eglise en chemin

L’Eglise est, aussi bien avant qu’après le Concile, la même Eglise une, sainte, catholique et apostolique, en chemin à travers les temps ; elle poursuit “son pèlerinage à travers les persécutions du monde et les consolations de Dieu”, annonçant la mort du Seigneur jusqu’à ce qu’Il vienne (cf. Lumen gentium, n. . Ceux qui espéraient qu’à
travers ce “oui” fondamental à l’époque moderne, toutes les tensions se seraient relâchées et que “l’ouverture au monde” ainsi réalisée aurait tout transformé en une pure harmonie, avaient sous-estimé les tensions intérieures et les contradictions de l’époque moderne elle-même ; ils avaient sous-estimé la dangereuse fragilité de la nature humaine (…)


Discours du pape Benoît XVI à la curie romaine, le jeundi 22 décembre 2005

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Arnaud Dumouch

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MessageSujet: Re: Egarements du PAPE   Egarements du PAPE - Page 3 EmptyDim 14 Mar 2010, 22:03

La foi reçue du Christ est UNE et INCHANGÉE.
Les Conciles et les papes, jusqu'à aujourd'hui, n'ont fait qu'en explicité le contenu. Désolé pour vous, cher ami musulman.


Jusqu'au Moyen-âge, l'islam a fait de même, rendant vivante sa foi unique, reçue du prophète, en fonction des avancées des temps, sans en changer le fond.

Et puis, tout d'un coup, au nom d'une soi-disant fidélité, les théologiens rigoristes ont pris le pouvoir en islam, refusant les apports de la philosophie et des sciences, remettant les femmes dans l'exclusion de l'étude. C'est de cette décision funeste que date la régression de la puissance de l'islam, de ses idées.

Aujourd'hui, le combat entre traditionalistes et modernes est au coeur de l'islam. Les traditionalistes tuent les modernes en les accusant d'infidélité au passé.
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LA REPONSE

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MessageSujet: Re: Egarements du PAPE   Egarements du PAPE - Page 3 EmptyDim 14 Mar 2010, 22:08

rosedumatin a écrit:
LA REPONSE a écrit:
A l’aurore de son Pontificat, Jean XXIII a prêté, selon la rituelle exigence,
le SERMENT suivant :
"Je promets de ne rien diminuer ni changer de ce qui m’a été transmis par mes vénérables prédécesseurs.Comme leur fidèle disciple et successeur, je m’engage
a n’admettre aucune nouveauté, mais, au contraire, à vénérer avec ferveur et à
conserver de toutes mes forces le dépôt qui m’a été confié. En conséquence, qu’il s’agisse de nous ou d’un autre, nous soumettons au plus sévère anathème quiconque aurait la présomption d’introduire une nouveauté quelconque qui serait opposée à
cette tradition évangélique ou à l’intégrité de la Foi et de la Religion Catholique".


En dépit de ce serment, Jean XXIII s’est révélé un ‘pape’ révolutionnaire :
- Deux mois après son couronnement le nouveau ‘Pape’ a violé la Bulle de
Sixte-Quint, Postquam Verus permettant ainsi l’enflure sans fin du nombre des Cardinaux. Par la suite, il décida que tous les Cardinaux seraient évêques, portant
ainsi atteinte au système hiérarchique du gouvernement de l’Eglise.
- En 1962, Jean XXIII a signé avec Moscou, et cela par les soins du Cardinal WILLEBRANDS, un accord selon lequel le Concile devait faire silence sur le Communisme. Cet accord avait été préparé entre le Cardinal TISSERAND et le représentant du K.G.B., le patriarche de Moscou, Nicodème. On saisit au
passage la raison de l’empêchement de la condamnation du communisme
par le Concile. On saisit également pourquoi la véritable consécration de la Russie
au Coeur Immaculé de Marie, n’arrive pas à se faire selon la demande expresse
de la Vierge de Fatima.
- Jean XXIII a amorcé la déclergification en supprimant le port de la soutane
pour les prêtres, innovation réclamée par Luther et par les Loges maçonniques.
Le 28 Juin 1962, le Cardinal Feltin a publié une ordonnance dont nous citerons
l’article 2 :
"Dans le choix du costume ecclésiastique, le Clergé tiendra le plus grand compte de l’opinion des fidèles et des nécessités pastorales".
Il faut croire que "l’opinion des fidèles" et les "nécessités pastorales" ont rejoint
le secret désir de l’ensemble des prêtres: les soutanes ont disparu et nos rues
n’ont plus su reconnaître le passage des "hommes de DIEU".

- C’est encore le même ‘Pape’ qui a commencé la modification du bréviaire et de la liturgie, et qui a entraîné à plus ou moins longue échéance la diminution, voire la suppression du latin au profit de la langue locale ; et cela, malgré des panégyriques vantant hautement la valeur incommensurable de cet élément d’unité linguistique
au sein de l’Eglise.
- Un an et demi après son élection, donc en juin 196O, Jean XXIII a nommé
comme Secrétaire de la commission liturgique préparatoire au Concile, le Père
Bugnini. On sait que le dit Bugnini a passé pour être Franc-Maçon.
- Celui que l’on a appelé "l’Apôtre de la Paix" (Joseph Bécaud) a ouvert la voie
à l’une des plus terribles audaces de Satan : un oecuménisme qui voit l’Esprit-Saint partout dans le monde, qui s’opère à coups de dialogues et non pas à coups de conversions à la Seule Vraie Religion du Christ,

Voyons maintenant ce que valait pour les prophètes du Cardinal Roncalli le second message relatif à la Convocation du Concile et par la même occasion, voyons aussi ce que valait pour Jean XXIII ce qu’il a appelé "une sollicitation divine", une "inspiration du Très-Haut".

- LE CONCILE VATICAN II SOUS LES FEUX DE "L’ESPRIT"

Tout à la fraîcheur de sa fleur printanière et sûr de l’authenticité divine de son inspiration, Jean XXIII s’est décidé à convoquer le Concile Vatican Il. Que
devait être pour lui ce Concile ? une explosion de l’Esprit-Saint, une "Nouvelle Pentecôte".Il le proclame bien haut :"…que les fidèles prosternés devant
les autels de la Vierge, appelée justement l’Épouse du Saint-Esprit, implorent
l’effusion des dons du Paraclet afin qu’une nouvelle Pentecôte vienne réjouir
la famille chrétienne"

"Ce Nous est une raison d ‘exhorter tout particulièrement les Communautés
de fidèles… à faire monter vers DIEU de ferventes supplications afin que
se produise avec plus d’ampleur un nouveau printemps dans l’Eglise...
dans la confiance qu’une nouvelle Pentecôte donne à la Sainte Eglise...
une nouvelle vigueur pour le triomphe de la vérité du bien et de la paix".
S’adressant aux séminaristes du monde entier, Jean XXIII reprend son
thème favori :
"Au début de votre sacerdoce, vous serez appelés à participer à l’application
de cette extraordinaire Épiphanie ou plutôt Nouvelle Pentecôte"
Enfin le ‘Pape’ est assuré de l’infusion constante du Saint-Esprit au sein
de l’assemblée conciliaire :
"Sans aucun doute, le Concile sera un spectacle exceptionnel, le plus puissant
que puisse offrir, par la signification, par les provenances, par les intentions,
toute initiative humaine, religieuse et même civile. Ce qui intéresse le plus,
c’est de savoir que l’Esprit du Seigneur plane constamment au-dessus
d’une assemblée aussi importante et fondamentale"

Ainsi Jean XXIII, sûr de l’origine céleste de sa "voix intérieure" et impatient
de la "Nouvelle Pentecôte", a convoqué le Concile en dépit des sages et
mûres réflexions de ses prédécesseurs, Pie XI et Pie XII, lesquels avaient
eu la pensée d’un Concile, mais n’avaient pas reçu de "sollicitation divine",
ni de "choc imprévu et inattendu".

Nous retrouvons là l’illuminisme tenace de Jean XXIII qui prend pour l’action de l’Esprit-Saint, celle de Lucifer travesti en ange de lumière.

Bonsoir LA REPONSE,

Quel Pape , quelle autorité de l'Eglise vas tu calomnier ensuite ?????

Avant de parler de la sorte j'aimerais que tu indiques tes sources......

Est ce que nous attaquons vos émirs ?????? vos chefs de groupes ??? votre Foi ????

J'écris d'ailleurs pour votre Prophète Mohammed (psl)......


Je te demande donc de rester dans l'esprit de fraternité et de dialogue de ce forum.

Et voici ma réponse et mes sources :



Benoît XVI et le Concile


de Thierry Boutet




Le 11 octobre 1962, il y a 45 ans, s’ouvrait le concile vatican II. De l’aggiornamento, “la mise à jour”, proposée par Jean XXIII et Paul VI, à la purification de la raison et de la foi à laquelle nous invite Benoît XVI, la même «conversion du regard », nous est demandé selon le mot de Jean-Paul II.
Benoît XVI est le dernier pape du Concile, du moins le dernier à avoir participé – comme expert de la tendance réformiste – aux travaux du Concile Vatican II.
Pie XII, qui en est l’auteur le plus cité, en avait eu l’intuition et, à sa manière, l’avait préparé.
Jean XXIII, considéré comme un pape de transition, au moment de son élection, l’a ouvert au sens matériel comme au sens figuré.
Paul VI, élu le 21 juin 1963, en fixe les grandes orientations dans sa première encyclique Ecclesiam suam,datée du 6 août 1964, fête de la Transfiguration. De Paul VI, Benoît XVI dit qu’il porta le Concile « d’une main experte, délicate et ferme », douloureuse aussi : « Il ne s’est pas laissé conditionner par les incompréhensions et les critiques, même s’il dut en supporter la souffrance et les attaques parfois violentes, mais il resta en toute circonstance un timonier ferme et prudent de la barque de Pierre. » Les interventions multiples de Paul VI dans les années 70 et les grands synodes de la fin de son pontificat portent la trace de cette crise dont le Concile Vatican II n’est pas la cause mais dont il a servi de révélateur.
Jean-Paul Ier par sa brève apparition et son offrande rendit possible l’élection de Jean-Paul II. Celui-ci a changé la donne. D’une Eglise rongée par le doute – du moins en Occident – il a fait une Eglise qui n’a plus peur du monde, de sa jeunesse, comme de son passé ; une Eglise à nouveau prête à transgresser les prêts-à-porter intellectuels des grandes idéologies.
Puis vient Benoît XVI. Pape redouté ou inattendu, tenus par les uns pour conservateur et pour progressiste par les autres. Mais ce sont autant d’images fausses : Benoît XVI est d’abord un pape du Concile. Il l’est en raison de son histoire personnelle, de la communion mystérieuse de l’Eglise, mais aussi selon une continuité pastorale profonde avec ses prédécesseurs immédiats. Son insistance pour inviter l’Eglise et les chrétiens à une « purification de la foi et de la raison » prend tout son sens si on l’entend dans cette continuité.
Aggiornamento est en effet l’un des mots les plus employés pour qualifier le Concile. Il est formé du mot giorno,qui signifie “jour”, et a été largement employé par Paul VI pour signifier la « mise à jour de l’Eglise », dans le sens d’un ressourcement spirituel et d’une purification salutaire. Il n’existe pas de sainteté sans cette « mise à jour », sans cette «purification du regard », comme le rappelait aussi Jean-Paul II dans sa lettre apostolique Novo Millenio Inuente du 6 janvier 2001.
Cette purification qui est celle du Concile, de Paul VI et de Jean-Paul II, est aussi l’axe majeur du pontificat de Benoît XVI.
Elle n’est une entreprise ni facile, ni agréable car elle nécessite d’accepter d’être dérangés de nos habitudes, du “ronron” de nos idées toutes faites, du formalisme de notre foi, des préjugés de notre raison, de la peur de l’opinion des autres.
La lucidité sur nous-mêmes et sur les vrais motifs de nos choix n’est jamais évidente.
Oser se regarder en face dans la transparence du regard que Dieu porte sur nous demande une grande humilité et beaucoup de force ou de ferveur surnaturelle. Ce qui est vrai de chacun, l’est aussi de l’Eglise prise dans sa globalité. Le prologue de l’évangile de saint Jean nous le révèle : les ténèbres ne reçoivent pas la lumière. En revanche, elle luit dans les ténèbres de tous ceux qui acceptent que leurs ténèbres intérieures soient détruites par son surgissement.
Le témoignage de cette mort à soi-même, à ses plans, à sa propre science, en vue de la Résurrection a été donné par chacun des papes du Concile : Pie XII ne voulait être que curé. Il a été pape et odieusement calomnié !!!!
Selon les témoins de ses derniers jours, le bienheureux Jean XXIII a vécu une agonie terriblement douloureuse. Paul VI, après la publication d’Humanae vitae a été l’objet de toutes les critiques et de campagne d’opinions très agressives. Jean-Paul II a été victime d’un attentat et la fin de sa vie a été un long calvaire. Benoît XVI, à son tour, comme ses prédécesseurs, n’est pas ménagé.
Comme chacun d’eux et à leur suite, le Concile nous invite à être des prophètes pour notre temps. Benoît XVI, comme chacun des papes du Concile, nous montre le chemin. Mais il n’est pas dit que le chemin des prophètes est facile !


Une Eglise en chemin

L’Eglise est, aussi bien avant qu’après le Concile, la même Eglise une, sainte, catholique et apostolique, en chemin à travers les temps ; elle poursuit “son pèlerinage à travers les persécutions du monde et les consolations de Dieu”, annonçant la mort du Seigneur jusqu’à ce qu’Il vienne (cf. Lumen gentium, n. . Ceux qui espéraient qu’à
travers ce “oui” fondamental à l’époque moderne, toutes les tensions se seraient relâchées et que “l’ouverture au monde” ainsi réalisée aurait tout transformé en une pure harmonie, avaient sous-estimé les tensions intérieures et les contradictions de l’époque moderne elle-même ; ils avaient sous-estimé la dangereuse fragilité de la nature humaine (…)


Discours du pape Benoît XVI à la curie romaine, le jeundi 22 décembre 2005

Trouvé sur le site : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

Bonsoir ROSE ce topic est denommé"egarement du pape" a ce que je sache.
Il n'y a aucune calomnie mais une histoire du VATICAN vu par des chretiens
eux-memes. Ce ne sont pas les musulmans qui l'ont ecrits voir:
JEAN XXIII & VATICAN II
SOUS LES FEUX DE LA PENTECOTE LUCIFERIENNE

Maintenant si ces sujets ne te plaisent pas ils faut les verrouiller
car on est obligé d'intervenir selon nos opinions et je viens de
relire je n'ai trouvé que l'esprit de fraternité et de dialogue de ce forum
mais avec un esprit de vérité et de dénonciation .
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LA REPONSE

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MessageSujet: Re: Egarements du PAPE   Egarements du PAPE - Page 3 EmptyDim 14 Mar 2010, 22:15

Arnaud Dumouch a écrit:
La foi reçue du Christ est UNE et INCHANGÉE.
Les Conciles et les papes, jusqu'à aujourd'hui, n'ont fait qu'en explicité le contenu. Désolé pour vous, cher ami musulman.


Jusqu'au Moyen-âge, l'islam a fait de même, rendant vivante sa foi unique, reçue du prophète, en fonction des avancées des temps, sans en changer le fond.

Et puis, tout d'un coup, au nom d'une soi-disant fidélité, les théologiens rigoristes ont pris le pouvoir en islam, refusant les apports de la philosophie et des sciences, remettant les femmes dans l'exclusion de l'étude. C'est de cette décision funeste que date la régression de la puissance de l'islam, de ses idées.

Aujourd'hui, le combat entre traditionalistes et modernes est au coeur de l'islam. Les traditionalistes tuent les modernes en les accusant d'infidélité au passé.

Regardez que moi je reconnait la vérité" oui en ce qui concerne l'islam
il y a régression pour les raisons que vous avez cité" Mais pourquoi
vous ne reconnaissez pas les erreurs de L'EGLISE.
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rosedumatin
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rosedumatin



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MessageSujet: Re: Egarements du PAPE   Egarements du PAPE - Page 3 EmptyDim 14 Mar 2010, 22:19

LA REPONSE a écrit:
rosedumatin a écrit:
LA REPONSE a écrit:
A l’aurore de son Pontificat, Jean XXIII a prêté, selon la rituelle exigence,
le SERMENT suivant :
"Je promets de ne rien diminuer ni changer de ce qui m’a été transmis par mes vénérables prédécesseurs.Comme leur fidèle disciple et successeur, je m’engage
a n’admettre aucune nouveauté, mais, au contraire, à vénérer avec ferveur et à
conserver de toutes mes forces le dépôt qui m’a été confié. En conséquence, qu’il s’agisse de nous ou d’un autre, nous soumettons au plus sévère anathème quiconque aurait la présomption d’introduire une nouveauté quelconque qui serait opposée à
cette tradition évangélique ou à l’intégrité de la Foi et de la Religion Catholique".


En dépit de ce serment, Jean XXIII s’est révélé un ‘pape’ révolutionnaire :
- Deux mois après son couronnement le nouveau ‘Pape’ a violé la Bulle de
Sixte-Quint, Postquam Verus permettant ainsi l’enflure sans fin du nombre des Cardinaux. Par la suite, il décida que tous les Cardinaux seraient évêques, portant
ainsi atteinte au système hiérarchique du gouvernement de l’Eglise.
- En 1962, Jean XXIII a signé avec Moscou, et cela par les soins du Cardinal WILLEBRANDS, un accord selon lequel le Concile devait faire silence sur le Communisme. Cet accord avait été préparé entre le Cardinal TISSERAND et le représentant du K.G.B., le patriarche de Moscou, Nicodème. On saisit au
passage la raison de l’empêchement de la condamnation du communisme
par le Concile. On saisit également pourquoi la véritable consécration de la Russie
au Coeur Immaculé de Marie, n’arrive pas à se faire selon la demande expresse
de la Vierge de Fatima.
- Jean XXIII a amorcé la déclergification en supprimant le port de la soutane
pour les prêtres, innovation réclamée par Luther et par les Loges maçonniques.
Le 28 Juin 1962, le Cardinal Feltin a publié une ordonnance dont nous citerons
l’article 2 :
"Dans le choix du costume ecclésiastique, le Clergé tiendra le plus grand compte de l’opinion des fidèles et des nécessités pastorales".
Il faut croire que "l’opinion des fidèles" et les "nécessités pastorales" ont rejoint
le secret désir de l’ensemble des prêtres: les soutanes ont disparu et nos rues
n’ont plus su reconnaître le passage des "hommes de DIEU".

- C’est encore le même ‘Pape’ qui a commencé la modification du bréviaire et de la liturgie, et qui a entraîné à plus ou moins longue échéance la diminution, voire la suppression du latin au profit de la langue locale ; et cela, malgré des panégyriques vantant hautement la valeur incommensurable de cet élément d’unité linguistique
au sein de l’Eglise.
- Un an et demi après son élection, donc en juin 196O, Jean XXIII a nommé
comme Secrétaire de la commission liturgique préparatoire au Concile, le Père
Bugnini. On sait que le dit Bugnini a passé pour être Franc-Maçon.
- Celui que l’on a appelé "l’Apôtre de la Paix" (Joseph Bécaud) a ouvert la voie
à l’une des plus terribles audaces de Satan : un oecuménisme qui voit l’Esprit-Saint partout dans le monde, qui s’opère à coups de dialogues et non pas à coups de conversions à la Seule Vraie Religion du Christ,

Voyons maintenant ce que valait pour les prophètes du Cardinal Roncalli le second message relatif à la Convocation du Concile et par la même occasion, voyons aussi ce que valait pour Jean XXIII ce qu’il a appelé "une sollicitation divine", une "inspiration du Très-Haut".

- LE CONCILE VATICAN II SOUS LES FEUX DE "L’ESPRIT"

Tout à la fraîcheur de sa fleur printanière et sûr de l’authenticité divine de son inspiration, Jean XXIII s’est décidé à convoquer le Concile Vatican Il. Que
devait être pour lui ce Concile ? une explosion de l’Esprit-Saint, une "Nouvelle Pentecôte".Il le proclame bien haut :"…que les fidèles prosternés devant
les autels de la Vierge, appelée justement l’Épouse du Saint-Esprit, implorent
l’effusion des dons du Paraclet afin qu’une nouvelle Pentecôte vienne réjouir
la famille chrétienne"

"Ce Nous est une raison d ‘exhorter tout particulièrement les Communautés
de fidèles… à faire monter vers DIEU de ferventes supplications afin que
se produise avec plus d’ampleur un nouveau printemps dans l’Eglise...
dans la confiance qu’une nouvelle Pentecôte donne à la Sainte Eglise...
une nouvelle vigueur pour le triomphe de la vérité du bien et de la paix".
S’adressant aux séminaristes du monde entier, Jean XXIII reprend son
thème favori :
"Au début de votre sacerdoce, vous serez appelés à participer à l’application
de cette extraordinaire Épiphanie ou plutôt Nouvelle Pentecôte"
Enfin le ‘Pape’ est assuré de l’infusion constante du Saint-Esprit au sein
de l’assemblée conciliaire :
"Sans aucun doute, le Concile sera un spectacle exceptionnel, le plus puissant
que puisse offrir, par la signification, par les provenances, par les intentions,
toute initiative humaine, religieuse et même civile. Ce qui intéresse le plus,
c’est de savoir que l’Esprit du Seigneur plane constamment au-dessus
d’une assemblée aussi importante et fondamentale"

Ainsi Jean XXIII, sûr de l’origine céleste de sa "voix intérieure" et impatient
de la "Nouvelle Pentecôte", a convoqué le Concile en dépit des sages et
mûres réflexions de ses prédécesseurs, Pie XI et Pie XII, lesquels avaient
eu la pensée d’un Concile, mais n’avaient pas reçu de "sollicitation divine",
ni de "choc imprévu et inattendu".

Nous retrouvons là l’illuminisme tenace de Jean XXIII qui prend pour l’action de l’Esprit-Saint, celle de Lucifer travesti en ange de lumière.

Bonsoir LA REPONSE,

Quel Pape , quelle autorité de l'Eglise vas tu calomnier ensuite ?????

Avant de parler de la sorte j'aimerais que tu indiques tes sources......

Est ce que nous attaquons vos émirs ?????? vos chefs de groupes ??? votre Foi ????

J'écris d'ailleurs pour votre Prophète Mohammed (psl)......


Je te demande donc de rester dans l'esprit de fraternité et de dialogue de ce forum.

Et voici ma réponse et mes sources :



Benoît XVI et le Concile


de Thierry Boutet




Le 11 octobre 1962, il y a 45 ans, s’ouvrait le concile vatican II. De l’aggiornamento, “la mise à jour”, proposée par Jean XXIII et Paul VI, à la purification de la raison et de la foi à laquelle nous invite Benoît XVI, la même «conversion du regard », nous est demandé selon le mot de Jean-Paul II.
Benoît XVI est le dernier pape du Concile, du moins le dernier à avoir participé – comme expert de la tendance réformiste – aux travaux du Concile Vatican II.
Pie XII, qui en est l’auteur le plus cité, en avait eu l’intuition et, à sa manière, l’avait préparé.
Jean XXIII, considéré comme un pape de transition, au moment de son élection, l’a ouvert au sens matériel comme au sens figuré.
Paul VI, élu le 21 juin 1963, en fixe les grandes orientations dans sa première encyclique Ecclesiam suam,datée du 6 août 1964, fête de la Transfiguration. De Paul VI, Benoît XVI dit qu’il porta le Concile « d’une main experte, délicate et ferme », douloureuse aussi : « Il ne s’est pas laissé conditionner par les incompréhensions et les critiques, même s’il dut en supporter la souffrance et les attaques parfois violentes, mais il resta en toute circonstance un timonier ferme et prudent de la barque de Pierre. » Les interventions multiples de Paul VI dans les années 70 et les grands synodes de la fin de son pontificat portent la trace de cette crise dont le Concile Vatican II n’est pas la cause mais dont il a servi de révélateur.
Jean-Paul Ier par sa brève apparition et son offrande rendit possible l’élection de Jean-Paul II. Celui-ci a changé la donne. D’une Eglise rongée par le doute – du moins en Occident – il a fait une Eglise qui n’a plus peur du monde, de sa jeunesse, comme de son passé ; une Eglise à nouveau prête à transgresser les prêts-à-porter intellectuels des grandes idéologies.
Puis vient Benoît XVI. Pape redouté ou inattendu, tenus par les uns pour conservateur et pour progressiste par les autres. Mais ce sont autant d’images fausses : Benoît XVI est d’abord un pape du Concile. Il l’est en raison de son histoire personnelle, de la communion mystérieuse de l’Eglise, mais aussi selon une continuité pastorale profonde avec ses prédécesseurs immédiats. Son insistance pour inviter l’Eglise et les chrétiens à une « purification de la foi et de la raison » prend tout son sens si on l’entend dans cette continuité.
Aggiornamento est en effet l’un des mots les plus employés pour qualifier le Concile. Il est formé du mot giorno,qui signifie “jour”, et a été largement employé par Paul VI pour signifier la « mise à jour de l’Eglise », dans le sens d’un ressourcement spirituel et d’une purification salutaire. Il n’existe pas de sainteté sans cette « mise à jour », sans cette «purification du regard », comme le rappelait aussi Jean-Paul II dans sa lettre apostolique Novo Millenio Inuente du 6 janvier 2001.
Cette purification qui est celle du Concile, de Paul VI et de Jean-Paul II, est aussi l’axe majeur du pontificat de Benoît XVI.
Elle n’est une entreprise ni facile, ni agréable car elle nécessite d’accepter d’être dérangés de nos habitudes, du “ronron” de nos idées toutes faites, du formalisme de notre foi, des préjugés de notre raison, de la peur de l’opinion des autres.
La lucidité sur nous-mêmes et sur les vrais motifs de nos choix n’est jamais évidente.
Oser se regarder en face dans la transparence du regard que Dieu porte sur nous demande une grande humilité et beaucoup de force ou de ferveur surnaturelle. Ce qui est vrai de chacun, l’est aussi de l’Eglise prise dans sa globalité. Le prologue de l’évangile de saint Jean nous le révèle : les ténèbres ne reçoivent pas la lumière. En revanche, elle luit dans les ténèbres de tous ceux qui acceptent que leurs ténèbres intérieures soient détruites par son surgissement.
Le témoignage de cette mort à soi-même, à ses plans, à sa propre science, en vue de la Résurrection a été donné par chacun des papes du Concile : Pie XII ne voulait être que curé. Il a été pape et odieusement calomnié !!!!
Selon les témoins de ses derniers jours, le bienheureux Jean XXIII a vécu une agonie terriblement douloureuse. Paul VI, après la publication d’Humanae vitae a été l’objet de toutes les critiques et de campagne d’opinions très agressives. Jean-Paul II a été victime d’un attentat et la fin de sa vie a été un long calvaire. Benoît XVI, à son tour, comme ses prédécesseurs, n’est pas ménagé.
Comme chacun d’eux et à leur suite, le Concile nous invite à être des prophètes pour notre temps. Benoît XVI, comme chacun des papes du Concile, nous montre le chemin. Mais il n’est pas dit que le chemin des prophètes est facile !


Une Eglise en chemin

L’Eglise est, aussi bien avant qu’après le Concile, la même Eglise une, sainte, catholique et apostolique, en chemin à travers les temps ; elle poursuit “son pèlerinage à travers les persécutions du monde et les consolations de Dieu”, annonçant la mort du Seigneur jusqu’à ce qu’Il vienne (cf. Lumen gentium, n. . Ceux qui espéraient qu’à
travers ce “oui” fondamental à l’époque moderne, toutes les tensions se seraient relâchées et que “l’ouverture au monde” ainsi réalisée aurait tout transformé en une pure harmonie, avaient sous-estimé les tensions intérieures et les contradictions de l’époque moderne elle-même ; ils avaient sous-estimé la dangereuse fragilité de la nature humaine (…)


Discours du pape Benoît XVI à la curie romaine, le jeundi 22 décembre 2005

Trouvé sur le site : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

Bonsoir ROSE ce topic est denommé"egarement du pape" a ce que je sache.
Il n'y a aucune calomnie mais une histoire du VATICAN vu par des chretiens
eux-memes. Ce ne sont pas les musulmans qui l'ont ecrits voir:
JEAN XXIII & VATICAN II
SOUS LES FEUX DE LA PENTECOTE LUCIFERIENNE

Maintenant si ces sujets ne te plaisent pas ils faut les verrouiller
car on est obligé d'intervenir selon nos opinions et je viens de
relire je n'ai trouvé que l'esprit de fraternité et de dialogue de ce forum
mais avec un esprit de vérité et de dénonciation .

La REPONSE, décortique ton texte , lis le message qu'Arnaud viens de poster et réfléchis......

Je n'ai pas dit que ce sont les Musulmans qui l'ont écrit, ne me fait pas dire ce que je ne dis pas......sur le web on trouve du n'importe quoi..... et il y a des chrétiens qui calomnient l'Eglise..... il y a dans toutes les confessions des calomnies, il faut discerner où est le bon droit et où est la calomnie.

Je verrouille rarement un topic, je ne supprime pas de messages..... ici chacun s'exprime mais comme je te le dis la devise de ce forum est :

PENSER AVEC CONVICTION LE DIRE AVEC AMITIE......


Je n'ai pas décelé d'amitié dans ton post, je ne le verrouille pas selon ta suggestion pour te montrer mon esprit de tolérance.

Sur ce, je te dis Bonsoir LA REPONSE !

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MessageSujet: Re: Egarements du PAPE   Egarements du PAPE - Page 3 EmptyDim 14 Mar 2010, 22:21

Et je rajoute en plus, je ne le verrouille pas, j'aimerais que Arnaud s'exprime encore car je vois que tu viens de l'interpeller au sujet des erreurs de l'Eglise ,

bonsoir LA REPONSE !!!
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MessageSujet: Re: Egarements du PAPE   Egarements du PAPE - Page 3 EmptyDim 14 Mar 2010, 22:36

LA REPONSE a écrit:

Regardez que moi je reconnait la vérité" oui en ce qui concerne l'islam
il y a régression pour les raisons que vous avez cité" Mais pourquoi
vous ne reconnaissez pas les erreurs de L'EGLISE.

Il y a de nombreuses erreurs de l'Eglise, de nombreux péchés.

Mais, croyez moi, depuis Pierre à Benoît XVI, l'Eglise dans son Magistère a gardé la foi intacte, ancienne et nouvelle à la fois !
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LA REPONSE

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MessageSujet: Re: Egarements du PAPE   Egarements du PAPE - Page 3 EmptyDim 14 Mar 2010, 22:41

Il est réellement difficile de déceler l'amitié lorsqu'elle avoisine
la dénonciation l'autre partie doit avoir une attitude courageuse
pour reconnaitre ou rejeter telle ou telle "calomnie"
Bonne nuit ROSE, Bonne nuit professeur, Bonne nuit mes amis.
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MessageSujet: Re: Egarements du PAPE   Egarements du PAPE - Page 3 EmptyDim 14 Mar 2010, 22:47

LA REPONSE a écrit:
Il est réellement difficile de déceler l'amitié lorsqu'elle avoisine
la dénonciation l'autre partie doit avoir une attitude courageuse
pour reconnaitre ou rejeter telle ou telle "calomnie"
Bonne nuit ROSE, Bonne nuit professeur, Bonne nuit mes amis.

Bonne nuit LA REPONSE,

l' Eglise ne craint pas la Vérité, les Chrétiens non plus !
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MessageSujet: Re: Egarements du PAPE   Egarements du PAPE - Page 3 EmptyLun 15 Mar 2010, 09:13

Arnaud Dumouch a écrit:
LA REPONSE a écrit:

Regardez que moi je reconnait la vérité" oui en ce qui concerne l'islam
il y a régression pour les raisons que vous avez cité" Mais pourquoi
vous ne reconnaissez pas les erreurs de L'EGLISE.

Il y a de nombreuses erreurs de l'Eglise, de nombreux péchés.

Mais, croyez moi, depuis Pierre à Benoît XVI, l'Eglise dans son Magistère a gardé la foi intacte, ancienne et nouvelle à la fois !


Je pense que ce sera le mot de la fin : malgré toutes les erreurs et les péchés commis par l'Eglise catholique et ses représentants, la foi primitive des apôtres est restée dogmatiquement intacte, et c'est cela l'essentiel ...


TOUT me semble donc avoir été dit ! Nous verrouillons ce sujet !


Fraternellement !
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