Adoration et Saint-Sacrement

Lu dans le Catéchisme de l' Eglise catholique:

CEC 2628 L’adoration est la première attitude de l’homme qui se reconnaît créature devant son Créateur. Elle exalte la grandeur du Seigneur qui nous a fait (cf. Ps 95,1-6) et la toute-puissance du Sauveur qui nous libère du mal. Elle est le prosternement de l’esprit devant le "Roi de gloire" (Ps 24,9-10) et le silence respectueux face au Dieu "toujours plus grand" (Augustin, in Psal. 62,16).

L’adoration du Dieu trois fois saint et souverainement aimable confond d’humilité et donne assurance à nos supplications.

(à suivre )

rosedumatin a écrit:

Lu dans le Catéchisme de l' Eglise catholique:

CEC 2628 L’adoration est la première attitude de l’homme qui se reconnaît créature devant son Créateur. Elle exalte la grandeur du Seigneur qui nous a fait (cf. Ps 95,1-6) et la toute-puissance du Sauveur qui nous libère du mal. Elle est le prosternement de l’esprit devant le "Roi de gloire" (Ps 24,9-10) et le silence respectueux face au Dieu "toujours plus grand" (Augustin, in Psal. 62,16).

L’adoration du Dieu trois fois saint et souverainement aimable confond d’humilité et donne assurance à nos supplications.

(à suivre )

Attitude qui m'est difficile , ma chère ROSE, tant j'ai du mal à me concentrer plusieurs minutes en silence .... Or l'adoration est silencieuse par définition, je pense !

mario-franc_lazur a écrit:

rosedumatin a écrit:

Lu dans le Catéchisme de l' Eglise catholique:

CEC 2628 L’adoration est la première attitude de l’homme qui se reconnaît créature devant son Créateur. Elle exalte la grandeur du Seigneur qui nous a fait (cf. Ps 95,1-6) et la toute-puissance du Sauveur qui nous libère du mal. Elle est le prosternement de l’esprit devant le "Roi de gloire" (Ps 24,9-10) et le silence respectueux face au Dieu "toujours plus grand" (Augustin, in Psal. 62,16).

L’adoration du Dieu trois fois saint et souverainement aimable confond d’humilité et donne assurance à nos supplications.

(à suivre )

Attitude qui m'est difficile , ma chère ROSE, tant j'ai du mal à me concentrer plusieurs minutes en silence .... Or l'adoration est silencieuse par définition, je pense !

Oui, mon cher MARIO l'Adoration est silencieuse, pour entendre, écouter ce que Dieu veut nous dire et nous partager il faut le silence de la contemplation.

D'ailleurs dans ma paroisse, il faut même éteindre son téléphone portable dans la chapelle d' Adoration ou alors le mettre en mode "silencieux" !!!

Il y a aussi des moments d'Adoration non silencieux, par exemple lorsque on récite des litanies soit au Coeur de Jésus ou les litanies du Saint-Sacrement et si on chante des louanges au Saint-Sacrement, alors ce sont ces moments qui te conviennent mieux mon cher MARIO !

C'est à chacun de voir selon sa propre spiritualité

Dans le CEC (suite) CEC = Catéchisme Eglise Catholique :




2096 De la vertu de religion, l’adoration est l’acte premier. Adorer Dieu, c’est le reconnaître comme Dieu, comme le Créateur et le Sauveur, le Seigneur et le Maître de tout ce qui existe, l’Amour infini et miséricordieux.

"Tu adoreras le Seigneur ton Dieu, et c’est à lui seul que tu rendras un culte" (Lc 4,8) dit Jésus, citant le Deutéronome (5,9 : proskunesis- 6,13 - latrein ; hb eved).

Nous nous rappelons .
Marty Haugen

Nous nous rappelons combien tu nous a aimés , jusqu'à en mourir ;
et nous te célébrons encore , car tu es ici au millieu de nous ;
Et nous croyons qu'un jour nous te verrons ,
Quand tu reviendras dans ta Gloire Seigneur .
Nous nous rappelons , nous te célébrons , nous croyons !

Eliza a écrit:

Nous nous rappelons .
Marty Haugen

Nous nous rappelons combien tu nous a aimés , jusqu'à en mourir ;
et nous te célébrons encore , car tu es ici au millieu de nous ;
Et nous croyons qu'un jour nous te verrons ,
Quand tu reviendras dans ta Gloire Seigneur .
Nous nous rappelons , nous te célébrons , nous croyons !

Le chanteur Marty HAUGEN : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

SUITE du CEC :

2097 Adorer Dieu, c’est, dans le respect et la soumission absolue reconnaître le "néant de la créature" qui n’est que par Dieu. Adorer Dieu, c’est comme Marie, dans le Magnificat, le louer, l’exalter et s’humilier soi-même, en confessant avec gratitude qu’Il a fait de grandes choses et que saint est son nom (cf. Lc 1,46-49). L’adoration du Dieu unique libère l’homme du repliement sur soi-même, de l’esclavage du péché et de l’idolâtrie du monde.

L’adoration est une forme particulière de l’oraison faisant entrer en compte tout notre être jusqu’a la vue ; elle est l’ entrée dans le face à Face. Différence entre converser avec un ami face à face et converser avec ce même ami sans le voir directement.


- Vouloir rencontrer Dieu en nous dans un cœur à cœur sans passer par le face à face de l’adoration nécessite une purification du moi intérieur et une solide formation, sans quoi l’oraison risque de nous ramener à nous-mêmes et non à Dieu présent en nous.


- Prosternation du cœur, et de tout l’être à sa suite.


- Il nous faut passer du temps devant Lui pour que notre être passe en Lui. L’acte du Christ sauveur a besoin de temps pour opérer en nous les fruits du salut. Dans l’adoration véritable et humble de son corps eucharistique, nous avouons notre désir d’être tout entier en Lui et en même temps nous avouons que seule sa grâce peut « faire » cela et que Dieu prend son temps. Toute une théologie de l’histoire est comprise dans ce lien entre l’Acte pascal du Christ et l’adoration de son corps. Ce point est décisif pour la mission et pour l’évangélisation.
- Humilions-nous devant sa Majesté qui s’est incarnée et cachée dans un tel mystère.
- Ne s’adresse pas à l’apparence mais à la Personne divine
- Etre adora-tueur (du démon)
- Attention à ce que l’adoration ne soit pas une dévotion, mais le moyen de la contemplation.

Jésus à sainte Marguerite-Marie Alacoque 1647-1690 : J’ai soif, mais d’une soif si ardente d’être aimé des hommes au Saint-Sacrement, que cette soif me consume… Hors de mon Cœur aimable au Très Saint-Sacrement, il n’y a ni plaisir, ni joie, ni consolation en la vie.

J'avoue avoir du mal à comprendre ce qui différencie en fait l'oraison et l'adoration ??? ..........


BON DIMANCHE, ma chère ROSE !

mario-franc_lazur a écrit:

J'avoue avoir du mal à comprendre ce qui différencie en fait l'oraison et l'adoration ??? ..........


BON DIMANCHE, ma chère ROSE !

Mon cher MARIO, BON DIMANCHE à toi aussi... je suis de retour de la messe , d'une messe merveilleuse et remplie de fraternité..... comme le disait notre curé : être fraternel c'est répondre à l'appel de Dieu qui nous demander d'AIMER, ce ne sera pas facile nous savons que nous allons souffrir si nous répondons à cet appel... car ceux que tu aimes sont de pauvres pécheurs (comme moi-même) et donc ils vont te blesser, ce sont des être humains et toi tu es aussi un pauvre pécheur et donc tu vas blesser aussi.... c'est en cela que nous souffrions même si nous aimons.... si nous voulons vivre la vie fraternelle comme les premiers chrétiens, nous savons que la prière "sacerdotale" de Jésus est sur nous et Il nous aidera : " Père... je te prie pour eux, non pour le monde ... mais pour eux , ceux que tu m'as donnés"

Concernant l'Adoration et l'Oraison voici un lien cher MARIO :

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Adoration ou Oraison ?

O mon Dieu Trinité que j’adore !

Ces mots ouvrent la célèbre prière de la Bienheureuse Elisabeth de la Trinité.
Alors que l’Evangile et toute la Bible demande aux croyants de réserver l’adoration au Dieu unique et de ne se prosterner devant aucune idole, le langage populaire applique aujourd’hui ce mot à des réalités que l’on aime passionnément et qui sollicite le goût, la sensibilité.
(le chocolat, le foot, la musique….j’adore ! ).

Qu’est-ce qu’adorer ?

Adorer c’est rendre un culte à Dieu. En certaines situations, l’homme est soudain saisi et mis en présence de la force, de l’amour et du mystère de Dieu. Il y a à la fois attirance, mise en relation et saisissement. Il s’ensuit souvent un prosternement de reconnaissance, une « adoration-attitude ».

Au passage du Seigneur à l’Horeb, le prophète Elie se voila le visage et se prosterna la face contre terre » (cf 1 Rois 17, )

Le prosternement est un geste qui signifie « la soumission et la reconnaissance de Dieu comme notre vraie mesure… et la soumission devient union parce que Celui auquel nous nous soumettons est Amour », (Benoît XVI aux JMJ de Cologne)

C’est dans ce sens, qu’il convient d’entendre et de dire à la suite d’Elisabeth de la Trinité : « O mon Dieu, Trinité que j’adore, aidez-moi à m’oublier entièrement pour m’établir en vous, immobile et paisible, comme si mon âme était déjà dans l’éternité. »

Adoration eucharistique : seul ou en communauté d'église

Depuis quelques années, l’adoration eucharistique connaît un renouveau tant au niveau des communautés religieuses que des paroisses.

1- Il peut s’agir d’une prière prolongée à l’église, soit devant le tabernacle clos, soit devant le Saint Sacrement exposé où les membres de la communauté ou de la paroisse se relaient tour à tour.

2- Il peut s’agir aussi d’un temps précis d’adoration avec des chants, des lectures, la présence d’un prêtre ; dans ce cas, il s’agit d’un ecclésial, public de vénération et de louange au Christ. L’adoration ne se vit pas seul mais en communauté, en église comme pour l’Eucharistie.

L’oraison

L’oraison est l’une des nombreuses formes de prière à disposition du chrétien.
Elle est un temps prolongé de prière silencieuse où l’on se tient devant Dieu et où l’on s’entretient avec Lui. Elle peut se vivre de manière variée : seul, en commun, à l’église, dans la nature. Elle peut se faire supplication, intercession, louange, adoration.
Mais plus profondément, elle est le fond de toute prière, dès lors que je parle au Seigneur avec mon cœur, en étant attentif à qui je m’adresse et à ce que je lui dis, que ce soit en récitant le chapelet, l’office, ou en faisant l’adoration eucharistique. C’est en ce sens que l’oraison est le cœur de toute prière, y compris de l’adoration eucharistique.

Il n’y a donc pas lieu d’opposer adoration et oraison. Notons seulement quelques différences ;

Différences entre oraison et adoration

On peut faire oraison partout ; Elisabeth de la Trinité le recommandait à sa maman : « En chemin de fer, ne manque pas de faire oraison, c’est tout à fait propice. »

Tandis que l’adoration se fait en un lieu précis : une église, un oratoire.

L’oraison renvoie à une présence intérieure, sans support extérieur visible comme l’est le Saint Sacrement exposé, même si ce support appelle la foi.

Plus on avance sur le chemin de l’oraison, plus les choses se vivent « à l’intérieur », comme le disent les grands maîtres spirituels. Quand on entre dans la voie contemplative, les sens et les objets extérieurs perdent de leur importance, comme le dit Ste Thérèse d’Avila. On est conduit à chercher Dieu en soi-même plus qu’à l’extérieur.

La prière d’Elisabeth de la Trinité récitée lentement peut justement beaucoup aider à entrer dans une prière toute intérieure et contemplative.

O mon Dieu, Trinité que j’adore, aidez-moi à m’oublier entièrement pour m’établir en vous, immobile et paisible comme si mon âme était déjà dans l’éternité ....

Augustin d’Hippone (+430) écrivait dans ses Confessions VII, x, 16 :

Ce pain que vous voyez sur l’autel, une fois sanctifié par la parole de Dieu, est le corps du Christ. Cette coupe, ou plutôt le breuvage qu’elle contient, une fois sanctifiée par la parole de Dieu, est le sang du Christ. Notre Seigneur Jésus Christ a voulu nous confier là son corps et son sang, qu’il a répandu pour nous en rémission des péchés.
Personne ne mange cette chair à moins qu’il ne l’ait d’abord adoré... non seulement nous ne péchons pas si nous adorons, mais nous pécherions si nous n’adorions pas… Tout puissant qu’il soit, il n’a rien pu faire de plus grand, tout sage qu’il soit, il n’a rien pu trouver de plus admirable, tout riche qu’il soit, il n’a pas pu faire un plus précieux présent…


Il met sur les lèvres du Christ ces paroles : "Grandis et tu mangeras. Et tu ne me changeras pas en toi, comme l'’aliment de ta chair ; mais c’est toi qui seras changé en moi".

rosedumatin a écrit:

Augustin d’Hippone (+430) écrivait dans ses Confessions VII, x, 16 :

Ce pain que vous voyez sur l’autel, une fois sanctifié par la parole de Dieu, est le corps du Christ. Cette coupe, ou plutôt le breuvage qu’elle contient, une fois sanctifiée par la parole de Dieu, est le sang du Christ. Notre Seigneur Jésus Christ a voulu nous confier là son corps et son sang, qu’il a répandu pour nous en rémission des péchés.
Personne ne mange cette chair à moins qu’il ne l’ait d’abord adoré... non seulement nous ne péchons pas si nous adorons, mais nous pécherions si nous n’adorions pas… Tout puissant qu’il soit, il n’a rien pu faire de plus grand, tout sage qu’il soit, il n’a rien pu trouver de plus admirable, tout riche qu’il soit, il n’a pas pu faire un plus précieux présent…


Il met sur les lèvres du Christ ces paroles : "Grandis et tu mangeras. Et tu ne me changeras pas en toi, comme l'’aliment de ta chair ; mais c’est toi qui seras changé en moi".

Cela me fait penser, ma chère ROSE, à un autre saint de l'Antiquité, saint Jean Chrysostome, qui écrivait :

"Combien disent : je voudrais voir Sa figure, Ses traits, Sa beauté moins que Ses vêtements... Mais, dans l’Eucharistie, c’est lui-même que vous voyez, lui-même que vous touchez, lui-même que vous mangez. Pensez-y et adorez, car c’est le même qui est aux Cieux et que les anges adorent !" (Homélie sur saint Matthieu, 82, 4)

mario-franc_lazur a écrit:

rosedumatin a écrit:

Augustin d’Hippone (+430) écrivait dans ses Confessions VII, x, 16 :

Ce pain que vous voyez sur l’autel, une fois sanctifié par la parole de Dieu, est le corps du Christ. Cette coupe, ou plutôt le breuvage qu’elle contient, une fois sanctifiée par la parole de Dieu, est le sang du Christ. Notre Seigneur Jésus Christ a voulu nous confier là son corps et son sang, qu’il a répandu pour nous en rémission des péchés.
Personne ne mange cette chair à moins qu’il ne l’ait d’abord adoré... non seulement nous ne péchons pas si nous adorons, mais nous pécherions si nous n’adorions pas… Tout puissant qu’il soit, il n’a rien pu faire de plus grand, tout sage qu’il soit, il n’a rien pu trouver de plus admirable, tout riche qu’il soit, il n’a pas pu faire un plus précieux présent…


Il met sur les lèvres du Christ ces paroles : "Grandis et tu mangeras. Et tu ne me changeras pas en toi, comme l'’aliment de ta chair ; mais c’est toi qui seras changé en moi".

Cela me fait penser, ma chère ROSE, à un autre saint de l'Antiquité, saint Jean Chrysostome, qui écrivait :

"Combien disent : je voudrais voir Sa figure, Ses traits, Sa beauté moins que Ses vêtements... Mais, dans l’Eucharistie, c’est lui-même que vous voyez, lui-même que vous touchez, lui-même que vous mangez. Pensez-y et adorez, car c’est le même qui est aux Cieux et que les anges adorent !" (Homélie sur saint Matthieu, 82, 4)

Oui Jésus est là présent sur terre et par l'adoration nous devenons contemporains de ceux qui l'ont vu lorsqu' Il était sur la terre..... Quand Il vient à la Consécration il se met à la MERCI du prêtre, de nous...

Il se met à la merci d'être profané.... humilié encore.....

Quel Amour fou a pour nous notre Dieu !!

Plus on s'approche de Lui, moins nous avons besoin d'images etc.... Il demeure de plus en plus dans notre coeur , quel doux secret pour l'âme aimante !

Sagesse d’un pauvre :

L’Evangile, ce n’est pas seulement s’obliger à faire ce que fait le dernier, c’est le faire avec l’âme et l’esprit au Seigneur. Cela change tout. Là où est l’esprit du Seigneur, le coeur n’est pas amer. (...)

- Vous me faites peur, Père, dit frère Rufin. Je ne me sens pas taillé pour la lutte.

- Tu ne parviendras pas à surmonter la volonté de domination et de prestige en luttant, mais en adorant, réplique François. L’homme qui adore Dieu reconnaît qu’il n’y a de Tout Puissant que lui seul. Et il l’accepte. Profondément, cordialement, il se réjouit que Dieu soit Dieu. Dieu est, cela lui suffit

rosedumatin a écrit:

Sagesse d’un pauvre :

L’Evangile, ce n’est pas seulement s’obliger à faire ce que fait le dernier, c’est le faire avec l’âme et l’esprit au Seigneur. Cela change tout. Là où est l’esprit du Seigneur, le coeur n’est pas amer. (...)

- Vous me faites peur, Père, dit frère Rufin. Je ne me sens pas taillé pour la lutte.

- Tu ne parviendras pas à surmonter la volonté de domination et de prestige en luttant, mais en adorant, réplique François. L’homme qui adore Dieu reconnaît qu’il n’y a de Tout Puissant que lui seul. Et il l’accepte. Profondément, cordialement, il se réjouit que Dieu soit Dieu. Dieu est, cela lui suffit

Sans doute ce qu'on appelle "être pauvre en esprit ..." ?

mario-franc_lazur a écrit:

rosedumatin a écrit:

Sagesse d’un pauvre :

L’Evangile, ce n’est pas seulement s’obliger à faire ce que fait le dernier, c’est le faire avec l’âme et l’esprit au Seigneur. Cela change tout. Là où est l’esprit du Seigneur, le coeur n’est pas amer. (...)

- Vous me faites peur, Père, dit frère Rufin. Je ne me sens pas taillé pour la lutte.

- Tu ne parviendras pas à surmonter la volonté de domination et de prestige en luttant, mais en adorant, réplique François. L’homme qui adore Dieu reconnaît qu’il n’y a de Tout Puissant que lui seul. Et il l’accepte. Profondément, cordialement, il se réjouit que Dieu soit Dieu. Dieu est, cela lui suffit

Sans doute ce qu'on appelle "être pauvre en esprit ..." ?

Oui, mon cher MARIO c'est être pauvre en esprit et connaître la Joie parfaite, celle-là de Joie que Dieu Seul peut la donner....

Voici ce qu'en disait Marthe ROBIN :

Marthe Robin, qui vivait de la seule Eucharistie, a cette surprenante réflexion : « Si on me demandait : que vaut-il mieux faire, l’oraison ou la communion, je répondrais l’oraison. Priez ! Priez sans cesse. Or il est difficile de bien prier et de prier sans cesse si le cœur ne se remplit pas de bonnes pensées, fruits de la prière. Il en coûte plus pour faire oraison que pour communier. […] L’oraison est nécessaire pour ne pas devenir de pieuses nullités dont se rient les démons ».

rosedumatin a écrit:

Voici ce qu'en disait Marthe ROBIN :

Marthe Robin, qui vivait de la seule Eucharistie, a cette surprenante réflexion : « Si on me demandait : que vaut-il mieux faire, l’oraison ou la communion, je répondrais l’oraison. Priez ! Priez sans cesse. Or il est difficile de bien prier et de prier sans cesse si le cœur ne se remplit pas de bonnes pensées, fruits de la prière. Il en coûte plus pour faire oraison que pour communier. […] L’oraison est nécessaire pour ne pas devenir de pieuses nullités dont se rient les démons ».

Comme elle a raison !!! Car communier est un acte facile, si on est en état de grâce, bien sûr !!!


Mais faire oraison. !!! N'est-ce pas toi, ma chère ROSE , qui disait que cela demandait une grosse dépense d'énergie ?!!!?

mario-franc_lazur a écrit:

rosedumatin a écrit:

Voici ce qu'en disait Marthe ROBIN :

Marthe Robin, qui vivait de la seule Eucharistie, a cette surprenante réflexion : « Si on me demandait : que vaut-il mieux faire, l’oraison ou la communion, je répondrais l’oraison. Priez ! Priez sans cesse. Or il est difficile de bien prier et de prier sans cesse si le cœur ne se remplit pas de bonnes pensées, fruits de la prière. Il en coûte plus pour faire oraison que pour communier. […] L’oraison est nécessaire pour ne pas devenir de pieuses nullités dont se rient les démons ».

Comme elle a raison !!! Car communier est un acte facile, si on est en état de grâce, bien sûr !!!


Mais faire oraison. !!! N'est-ce pas toi, ma chère ROSE , qui disait que cela demandait une grosse dépense d'énergie ?!!!?

Si tu offres à Dieu pour consoler son coeur et pour le monde au cours de cette Oraison, oui cela me demande du moins à moi de l'énergie, Dieu a besoin de nous de nos offrandes devant l'iniquité grandissante de ce monde et si tu le fais, tu ressentiras son Coeur souffrir en toi !

rosedumatin a écrit:

mario-franc_lazur a écrit:

Sans doute ce qu'on appelle "être pauvre en esprit ..." ?

Oui, mon cher MARIO c'est être pauvre en esprit et connaître la Joie parfaite, celle-là de Joie que Dieu Seul peut la donner....

@ rose et mario , oui je suis pauvre en esprit pour tous ceux qui ne me connaissent pas bien , car la véritable joie celle qui est parfaite me vient du Seigneur , et qui tranforme mes déserts en réelles richesse celle qui vient du coeur .

Eliza a écrit:

rosedumatin a écrit:

mario-franc_lazur a écrit:

Sans doute ce qu'on appelle "être pauvre en esprit ..." ?

Oui, mon cher MARIO c'est être pauvre en esprit et connaître la Joie parfaite, celle-là de Joie que Dieu Seul peut la donner....

@ rose et mario , oui je suis pauvre en esprit pour tous ceux qui ne me connaissent pas bien , car la véritable joie celle qui est parfaite me vient du Seigneur , et qui tranforme mes déserts en réelles richesse celle qui vient du coeur .

C'est très bien si tu es pauvre en esprit ma chère Eliza, être pauvre en esprit c'est ne désirer que la volonté de Dieu, n'avoir plus de volonté propre face à Lui !

Mère Teresa écrivait Lorsque nous regardons le saint sacrement, nous percevons combien Dieu nous aime.


Lettre de Mère Teresa sur l' ’amour de Jésus pour chacun : Avez-vous vraiment fait connaissance avec Jésus vivant, non pas à partir de livres mais pour l’ ’avoir hébergé dans votre coeœur ? Avez-vous entendu ses mots d' ’amour ? Demandez la grâce : il a l ' ’ardent désir de vous la donner. Tant que vous n ' ’écouterez pas Jésus dans le silence de votre coeœur, vous ne pourrez pas l’' entendre dire « J’ai soif » dans le coeœur des pauvres.


N’’abandonnez jamais ce contact intime et quotidien avec Jésus comme personne réelle vivante, et non pas comme pure idée. Comment pourrions-nous passer un seul jour sans écouter Jésus dire « Je t' ’aime »… C' ’est impossible ! Notre âme en a besoin autant que notre corps a besoin de respirer. Sinon, la prière meurt et la méditation dégénère en simple réflexion.

Saint Jean Chrysostome (344-407) : "Combien disent : je voudrais voir Sa figure, Ses traits, Sa beauté moins que Ses vêtements... Mais, dans l’Eucharistie, c’est lui-même que vous voyez, lui-même que vous touchez, lui-même que vous mangez. Pensez-y et adorez, car c’est le même qui est aux Cieux et que les anges adorent !" (Homélie sur saint Matthieu, 82, 4)


Sagesse d’un pauvre : L’Evangile, ce n’est pas seulement s’obliger à faire ce que fait le dernier, c’est le faire avec l’âme et l’esprit au Seigneur. Cela change tout. Là où est l’esprit du Seigneur, le coeur n’est pas amer. (...)

- Vous me faites peur, Père, dit frère Rufin. Je ne me sens pas taillé pour la lutte. - Tu ne parviendras pas à surmonter la volonté de domination et de prestige en luttant, mais en adorant, réplique François. L’homme qui adore Dieu reconnaît qu’il n’y a de Tout Puissant que lui seul. Et il l’accepte. Profondément, cordialement, il se réjouit que Dieu soit Dieu. Dieu est, cela lui suffit.

rosedumatin a écrit:

Saint Jean Chrysostome (344-407) : "Combien disent : je voudrais voir Sa figure, Ses traits, Sa beauté moins que Ses vêtements... Mais, dans l’Eucharistie, c’est lui-même que vous voyez, lui-même que vous touchez, lui-même que vous mangez. Pensez-y et adorez, car c’est le même qui est aux Cieux et que les anges adorent !" (Homélie sur saint Matthieu, 82, 4)


Sagesse d’un pauvre : L’Evangile, ce n’est pas seulement s’obliger à faire ce que fait le dernier, c’est le faire avec l’âme et l’esprit au Seigneur. Cela change tout. Là où est l’esprit du Seigneur, le coeur n’est pas amer. (...)

- Vous me faites peur, Père, dit frère Rufin. Je ne me sens pas taillé pour la lutte. - Tu ne parviendras pas à surmonter la volonté de domination et de prestige en luttant, mais en adorant, réplique François. L’homme qui adore Dieu reconnaît qu’il n’y a de Tout Puissant que lui seul. Et il l’accepte. Profondément, cordialement, il se réjouit que Dieu soit Dieu. Dieu est, cela lui suffit.

L'adoration ; l'abandon en Jésus Sauveur, seul remède contre le cornu, l'Adversaire, Satan ...

mario-franc_lazur a écrit:

rosedumatin a écrit:

Saint Jean Chrysostome (344-407) : "Combien disent : je voudrais voir Sa figure, Ses traits, Sa beauté moins que Ses vêtements... Mais, dans l’Eucharistie, c’est lui-même que vous voyez, lui-même que vous touchez, lui-même que vous mangez. Pensez-y et adorez, car c’est le même qui est aux Cieux et que les anges adorent !" (Homélie sur saint Matthieu, 82, 4)


Sagesse d’un pauvre : L’Evangile, ce n’est pas seulement s’obliger à faire ce que fait le dernier, c’est le faire avec l’âme et l’esprit au Seigneur. Cela change tout. Là où est l’esprit du Seigneur, le coeur n’est pas amer. (...)

- Vous me faites peur, Père, dit frère Rufin. Je ne me sens pas taillé pour la lutte. - Tu ne parviendras pas à surmonter la volonté de domination et de prestige en luttant, mais en adorant, réplique François. L’homme qui adore Dieu reconnaît qu’il n’y a de Tout Puissant que lui seul. Et il l’accepte. Profondément, cordialement, il se réjouit que Dieu soit Dieu. Dieu est, cela lui suffit.

L'adoration ; l'abandon en Jésus Sauveur, seul remède contre le cornu, l'Adversaire, Satan ...

En effet mon cher MARIO, l'abandon total est le seul remède... parfois j'ai si peur de l'Adversaire que je me demande quelle médaille porter ???? quand je suis attaquée il m'arrive d'avoir le corps en sueur....

Si nous savions adorer, rien ne saurait nous troubler .


Marthe Robin, qui vivait de la seule Eucharistie, a cette surprenante réflexion : « Si on me demandait : que vaut-il mieux faire, l’oraison ou la communion, je répondrais l’oraison. Priez ! Priez sans cesse. Or il est difficile de bien prier et de prier sans cesse si le cœur ne se remplit pas de bonnes pensées, fruits de la prière. Il en coûte plus pour faire oraison que pour communier. […]

L’oraison est nécessaire pour ne pas devenir de pieuses nullités dont se rient les démons ».

rosedumatin a écrit:

mario-franc_lazur a écrit:

rosedumatin a écrit:

Saint Jean Chrysostome (344-407) : "Combien disent : je voudrais voir Sa figure, Ses traits, Sa beauté moins que Ses vêtements... Mais, dans l’Eucharistie, c’est lui-même que vous voyez, lui-même que vous touchez, lui-même que vous mangez. Pensez-y et adorez, car c’est le même qui est aux Cieux et que les anges adorent !" (Homélie sur saint Matthieu, 82, 4)


Sagesse d’un pauvre : L’Evangile, ce n’est pas seulement s’obliger à faire ce que fait le dernier, c’est le faire avec l’âme et l’esprit au Seigneur. Cela change tout. Là où est l’esprit du Seigneur, le coeur n’est pas amer. (...)

- Vous me faites peur, Père, dit frère Rufin. Je ne me sens pas taillé pour la lutte. - Tu ne parviendras pas à surmonter la volonté de domination et de prestige en luttant, mais en adorant, réplique François. L’homme qui adore Dieu reconnaît qu’il n’y a de Tout Puissant que lui seul. Et il l’accepte. Profondément, cordialement, il se réjouit que Dieu soit Dieu. Dieu est, cela lui suffit.

L'adoration ; l'abandon en Jésus Sauveur, seul remède contre le cornu, l'Adversaire, Satan ...

En effet mon cher MARIO, l'abandon total est le seul remède... parfois j'ai si peur de l'Adversaire que je me demande quelle médaille porter ???? quand je suis attaquée il m'arrive d'avoir le corps en sueur....

La médaille miraculeuse et le signe de croix, voilà qui est bien, ma chère ROSE . Demande donc à notre ARNAUD ce qu'il en pense ! Et il ne faut surtout pas que la ou les médailles deviennent objets de superstition ....

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rosedumatin a écrit:

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Dommage, le son n'est pas net sur mon PC !


Peux-tu me résumer ???

mario-franc_lazur a écrit:

rosedumatin a écrit:

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Dommage, le son n'est pas net sur mon PC !


Peux-tu me résumer ???

Chez moi le son donne très bien !

Le Père Nicolas Buttet est très connu surtout pour la fraternité Eucharistein qu'il a créée. Je l'ai vu à la Basilique de Koekelberg lors du Congrès Toussaint 2006.

Dans cette vidéo il raconte comment il en est venu à préférer Dieu au "monde" en devenant d'abord Ermite, c'est au cours d'une adoration faite après avoir aidé toute une nuit des malades qu'il a compris !

Il parle aussi du Pape Benoît XVI qui ose comparer le St-Sacrement à une "Bombe d'Amour" et puisque nous approchons de la fête-Dieu , j'ai pensé à cette vidéo.

Voici une courte biographie du Père Nicolas Buttet :


Père Nicolas Buttet
Fondateur de la Fraternité Eucharistein

Nicolas Buttet, suisse, né en 1961, juriste de formation, ancien député au Parlement cantonal du Valais, est prêtre. Il a collaboré à Rome au Conseil pontifical Justice et Paix, puis en 1992, il se retire pendant cinq ans comme ermite à Notre-Dame du Scex, en Valais. À son retour en 1997, il fonde la Fraternité Eucharistein à Saint-Maurice-d'Agone. Celle-ci fait partie de ces nombreuses communautés nouvelles, fruits du Concile Vatican II.

La communauté compte trois maisons : une à Épinassey sur le territoire de l’abbaye de Saint-Maurice, une autre à Bourguillon (Fribourg) et la troisième en France, dans une grande propriété de 115 hectares, don de l’évêché de Fréjus-Toulon, dans la commune de La Martre. Le 22 juin 2003, Monseigneur Dominique Rey, l’évêque de ce diocèse, reconnaît officiellement la Fraternité et l’érige en Association publique de fidèles. Le 29 juin de la même année, Nicolas Buttet est ordonné prêtre et Jean Python, l’un de ses bras droits, diacre.

La communauté compte une vingtaine de frères et sœurs, postulants et novices. Elle s’inspire, dans son style de vie, de saint François d’Assise : simplicité évangélique et abandon à la Providence. La vie de la communauté est centrée sur le Christ-Eucharistie célébré dans le sacrifice de la messe et adoré au Saint-Sacrement. La Fraternité offre aussi à des jeunes la possibilité de vivre une année de réflexion, de service et de prière après leur formation professionnelle. De plus, elle accueille de nombreux jeunes aux prises avec des problèmes de drogue, d’alcool ou de dépression pour un temps de reconstruction personnelle.

En plus d’être le modérateur de la Fraternité, le Père Nicolas anime le Groupe Dorothée et Nicolas de Flüe et donne régulièrement des conférences. Le Père Buttet a aussi contribué, pour une large part, à la création d’un centre d’études anthropologiques, l’institut Philanthropos qui a été inauguré en 2004. Le corps professoral de cet institut travaille bénévolement et vient des plus grandes universités européennes. En lien avec cet institut, le Père Buttet a participé à la Fondation Écophilos dont l’objectif est un regard de vérité sur la personne humaine au travail. À toutes ces réalisations, s’ajoutent la publication de trois volumes sur le thème de l’Eucharistie : Aimer et faire connaître l’amour (éd. de l’Emmanuel), Brûlé au soleil de Dieu (éd. du Cerf) et L’Eucharistie à l’école des saints (éd. de l’Emmanuel).

J'en apprends des choses grâce à toi, ma chère ROSE ... de tout coeur !

mario-franc_lazur a écrit:

J'en apprends des choses grâce à toi, ma chère ROSE ... de tout coeur !

Voici pourquoi le Congrès-Toussaint 2006 a été organisé mon Cher MARIO :


Après Vienne, Paris et Lisbonne...

Invitation du Cardinal Danneels: "Venez et voyez..."

Témoigner de l'amour de Dieu pour l'humanité. Telle est la mission de chaque chrétien.

A Bruxelles, comme dans d'autres grandes villes, cette mission risque d'être éclipsée par tant d'autres centres d'intérêt. C'est pourquoi nous voulons, par l'organisation de Bruxelles Toussaint 2006, réfléchir à nos responsabilités de chrétiens et prendre à cette occasion de nouvelles initiatives. Entre autres en vue de contribuer à cette indispensable humanisation de la Société à Bruxelles, au nom de notre foi et de notre amour des autres.


Comme le Christ invitait ses disciples à le découvrir très librement : « Venez et voyez », il nous appartient d'inviter la population de Bruxelles à redécouvrir toute la pertinence du message et de l'exemple du Christ. Paroisses et associations de Bruxelles et d'ailleurs, peuvent proposer leur participation par toutes formes d'initiatives correspondant à leur sensibilité ou charisme d'Eglise. Célébrations liturgiques et manifestations culturelles feront d'ailleurs de Bruxelles 2006, non ‘un marché du religieux', mais une expérience en profondeur de la beauté et de la force de notre foi, expérience susceptible de rendre l'évangile attrayant pour bien des gens qui ne le connaissent plus.

En marche donc vers Bruxelles 2006, vers une intense semaine de vie et de culture chrétiennes autour de la fête de Toussaint 2006.

+ Godfried Cardinal Danneels,
Archevêque de Malines-Bruxelles

rosedumatin a écrit:

En marche donc vers Bruxelles 2006, vers une intense semaine de vie et de culture chrétiennes autour de la fête de Toussaint 2006.

+ Godfried Cardinal Danneels,
Archevêque de Malines-Bruxelles

Mais nous sommes en 2011, ma chère ROSE ....

mario-franc_lazur a écrit:

rosedumatin a écrit:

En marche donc vers Bruxelles 2006, vers une intense semaine de vie et de culture chrétiennes autour de la fête de Toussaint 2006.

+ Godfried Cardinal Danneels,
Archevêque de Malines-Bruxelles

Mais nous sommes en 2011, ma chère ROSE ....

Je sais mais tu dis que tu apprends avec moi, alors je te renseigne mon Cher MARIO !

Ce congrès de 2006 fut un succès spirituel, il porte toujours des fruits ....

rosedumatin a écrit:

mario-franc_lazur a écrit:

rosedumatin a écrit:

En marche donc vers Bruxelles 2006, vers une intense semaine de vie et de culture chrétiennes autour de la fête de Toussaint 2006.

+ Godfried Cardinal Danneels,
Archevêque de Malines-Bruxelles

Mais nous sommes en 2011, ma chère ROSE ....

Je sais mais tu dis que tu apprends avec moi, alors je te renseigne mon Cher MARIO !

Ce congrès de 2006 fut un succès spirituel, il porte toujours des fruits ....

Ma chère ROSE :

Mère Teresa :

Lorsque nous regardons le saint sacrement, nous percevons combien Dieu nous aime.


Lettre de Mère Teresa sur l' ’amour de Jésus pour chacun avez-vous vraiment fait connaissance avec Jésus vivant, non pas à partir de livres mais pour l’'avoir hébergé dans votre coeœur ? Avez-vous entendu ses mots d'’amour ? Demandez la grâce : il a l'’ardent désir de vous la donner. Tant que vous n'’écouterez pas Jésus dans le silence de votre cœoeur, vous ne pourrez pas l’'entendre dire « J’ai soif » dans le coeur des pauvres.
N’’abandonnez jamais ce contact intime et quotidien avec Jésus comme personne réelle vivante, et non pas comme pure idée. Comment pourrions-nous passer un seul jour sans écouter Jésus dire « Je t' ’aime »… C’est impossible ! Notre âme en a besoin autant que notre corps a besoin de respirer. Sinon, la prière meurt et la méditation dégénère en simple réflexion.

Thérèse :

O Jésus en ce jour tu combles tous mes voeux
PN 21 Je pourrai désormais près de l’Eucharistie
M’immoler en silence, attendre en paix les cieux


M’exposant aux rayons de la divine hostie
A ce foyer d’amour je me consumerai
Et comme un séraphin je t’aimerai

Ch. de Foucauld : Je voudrais passer toute ma vie immobile devant le saint Sacrement (Cf. Voeux). On le regarde, on lui dit qu'’on l’aime, on jouit d’être à ses pieds, on lui dit qu' ’on veut y vivre et y mourir .


Retraite à Nazareth, 5-15 novembre 1897, cité dans La Dernière Place, Nouvelle Cité : L' ’adoration... cette admiration muette qui est la plus éloquente des louanges... et renferme la plus passionnée des déclarations d' ’amour...


Cf. AmD (regard)
… [Dans l'’épreuve,] Laissez-moi vous donner un conseil, 2 même : Le 1er, c’' est de vous approcher des sacrements, quelques doutes que vous puissiez avoir, un peu plus souvent, en faisant les choses de votre mieux et en priant Dieu de venir à votre aide. Le 2ème, c' ’est de prier quelles que soient les difficultés que vous ayez, quelque distrait que vous soyez ; par la prière j' ’entends... se tenir près de Dieu avec la volonté et l' ’intention de l’ ’adorer

rosedumatin a écrit:

Cf. AmD (regard)
… [Dans l'’épreuve,] Laissez-moi vous donner un conseil, 2 même : Le 1er, c’' est de vous approcher des sacrements, quelques doutes que vous puissiez avoir, un peu plus souvent, en faisant les choses de votre mieux et en priant Dieu de venir à votre aide. Le 2ème, c' ’est de prier quelles que soient les difficultés que vous ayez, quelque distrait que vous soyez ; par la prière j' ’entends... se tenir près de Dieu avec la volonté et l' ’intention de l’ ’adorer

Et quand on n'a pas le droit de s'approcher de l'Eucharistie, sous prétexte qu'on est divorcé remarié -- et c'est mon cas -- que fait-on chère amie Rosedumatin ?

pinson a écrit:

rosedumatin a écrit:

Cf. AmD (regard)
… [Dans l'’épreuve,] Laissez-moi vous donner un conseil, 2 même : Le 1er, c’' est de vous approcher des sacrements, quelques doutes que vous puissiez avoir, un peu plus souvent, en faisant les choses de votre mieux et en priant Dieu de venir à votre aide. Le 2ème, c' ’est de prier quelles que soient les difficultés que vous ayez, quelque distrait que vous soyez ; par la prière j' ’entends... se tenir près de Dieu avec la volonté et l' ’intention de l’ ’adorer

Et quand on n'a pas le droit de s'approcher de l'Eucharistie, sous prétexte qu'on est divorcé remarié -- et c'est mon cas -- que fait-on chère amie Rosedumatin ?

Bonjour cher ami PINSON,,

Personnellement j'espère qu'un jour le Magistère sera plus souple envers les divorcés-remariés car il y a des raisons parfois graves pour un divorce et la personne doit elle passer alors sa vie en solitaire ???

Tu peux mon cher Pinson, faire une communion de désir et la présence mystique du Christ viendra en toi.

Et d'autant plus, rendre visite à Jésus au Saint-Sacrement de l'autel car Il t'attend toi aussi ami Pinson !

Voici un lien de notre cher ami ARNAUD, qui traite de la théologie des divorcés-remariés :

Préparation au mariage pour les jeunes - La spiritualité des divorcés remariés :

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Leçon 12 et vois aussi au bas de la page : la spiritualité du publicain

Bonne lecture

pinson a écrit:

rosedumatin a écrit:

Cf. AmD (regard)
… [Dans l'’épreuve,] Laissez-moi vous donner un conseil, 2 même : Le 1er, c’' est de vous approcher des sacrements, quelques doutes que vous puissiez avoir, un peu plus souvent, en faisant les choses de votre mieux et en priant Dieu de venir à votre aide. Le 2ème, c' ’est de prier quelles que soient les difficultés que vous ayez, quelque distrait que vous soyez ; par la prière j' ’entends... se tenir près de Dieu avec la volonté et l' ’intention de l’ ’adorer

Et quand on n'a pas le droit de s'approcher de l'Eucharistie, sous prétexte qu'on est divorcé remarié -- et c'est mon cas -- que fait-on chère amie Rosedumatin ?

Cher Pinson, il y a dans le chemin des divorcés remariés une voie toute droite et peut-être plus rapide encore vers Dieu. C'est la voie du publicain.

N'hésitez pas à regarder ce site [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Il y a même une vidéo qui décrit cette spiritualité sainte, explicitement enseignée par Jésus.