BEATIFICATION et CANONISATION DE JEAN PAUL II

Rappel du premier message :

Le cercueil de Jean-Paul II a été placé devant la tombe de saint Pierre

Il sera transporté des Grottes vaticanes à la basilique le jour de la béatification
ROME, Vendredi 29 avril 2011 (ZENIT.org) - La tombe de Jean-Paul II située dans les Grottes vaticanes a été ouverte ce vendredi 29 avril au matin, et son cercueil a été sorti en présence d'une dizaine de personnes, a annoncé le P. Federico Lombardi, directeur de la Salle de presse du Saint-Siège, au cours d'un briefing pour la présentation des derniers éléments relatifs à la prochaine béatification du pape polonais, le 1er mai prochain au Vatican.

Le cercueil du pape, recouvert d'un grand drap brodé d'or, a été placé devant la tombe de saint Pierre en attendant dimanche matin où il sera monté dans la basilique vaticane pour l'hommage de Benoît XVI et des fidèles après la béatification.

La troisième châsse qui contient le corps de Jean-Paul II est apparue en « bon état de conservation », a expliqué le P. Lombardi, malgré quelques signes d'usure dus au temps.

Il faut se souvenir que le pape Jean-Paul II a été enseveli dans trois cercueils successifs. Le premier, en bois clair, est celui que tous ont en mémoire puisqu'il s'agit de celui qui a été présenté sur la place Saint-Pierre au moment des funérailles. Ce dernier a été inséré dans un second cercueil en plomb et scellé.

Le troisième, situé à l'extérieur, est de nouveau en bois : « c'est celui qui a été vu ce matin au moment de l'extraction de la tombe », a expliqué le P. Lombardi. Une croix se trouve au centre, ainsi qu'une inscription latine expliquant qu'il s'agit du corps de Jean-Paul II, 84 ans, 10 mois et 15 jours, chef de l'Eglise universelle pendant 26 ans, 5 mois et 17 jours ; ainsi que la date : Anno Domini 2005.

A l'ouverture de la tombe, une dizaine de personnes était présentes : le cardinal Comastri, Mgr D'Andrea et Mgr Lanzani pour la Basilique et le chapitre de Saint-Pierre ; ainsi que le cardinal Tarcisio Bertone, secrétaire d'Etat, le cardinal Giovanni Lajolo, président du gouvernorat de l'Etat de la Cité du Vatican, le cardinal Stanislao Dziwisz, archevêque de Cracovie qui fut son secrétaire personnel pendant de nombreuses années, Mgr Fernando Filoni, substitut de la Secrétairerie d'Etat, Mgr Carlo Maria Viganò, secrétaire général du Gouvernorat de l'Etat de la Cité du Vatican, Mgr Piero Marini, ancien maître des cérémonies pontificales et Mgr Zygmunt Zimowski, président du Conseil pontifical pour la santé.

Soeur Tobiana et les sœurs de l'appartement pontifical de Jean-Paul II étaient également présentes, ainsi qu'Angelo Gugel, ancien majordome de Jean-Paul II et les responsables de la Gendarmerie et de la Garde Suisse.

Pour cette courte célébration, le cardinal Comastri a entonné le chant des litanies de la Vierge et après un parcours très bref, le cercueil a été accompagné par les personnes présentes devant la tombe de Saint-Pierre, située au niveau des Grottes vaticanes. Il a été recouvert d'un grand drap blanc brodé d'or.

Le 1er mai, jour de la béatification de Jean-Paul II, le pape Benoît XVI puis les fidèles pourront rendre un dernier hommage au nouveau bienheureux dont le cercueil aura été exposé dans la basilique vaticane. Ils pourront défiler durant tout l'après-midi du 1er mai, jusqu'au soir et même pendant la nuit puisque la basilique pourrait être ouverte jusqu'à 5h du matin en fonction de l'affluence des pèlerins.

La place Saint-Pierre sera ensuite préparée pour la célébration d'action de grâce qui sera présidée le 2 mai par le cardinal Bertone.

Le cardinal secrétaire d'Etat a lui-même récité, ce vendredi vers 9h15, une prière pour conclure l'opération d'ouverture de la tombe de Jean-Paul II.

La grande pierre tombale qui fermait la tombe a été conservée intacte. Elle sera transportée à Cracovie pour être placée dans une nouvelle église qui sera consacrée au bienheureux Jean-Paul II.

Le corps de Jean-Paul II, a conclu le P. Lombardi, sera probablement déposé sous l'autel de la chapelle Saint-Sébastien, située dans la basilique Saint-Pierre, le 2 mai au soir, après la fermeture de la basilique, à 19h30.

Chiara Santomiero




... A suivre....

A suivre ....

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Réunis au Vatican ce 2 juillet 2013, les cardinaux et évêques membres de l’assemblée ordinaire de la Congrégation des causes des saints pourraient décider de la prochaine canonisation des papes Jean XXIII (1958-1963) et Jean-Paul II (1978-2005), a indiqué le quotidien italien « La Stampa ». Le pape François pourrait alors annoncer, dans les jours à venir, qu’il entend proclamer « saints » deux de ses prédécesseurs d’ici à la fin de l’année.

C’est en des temps record que Karol Wojtyla devrait être canonisé. Récemment, la guérison miraculeuse d’une femme d’Amérique latine au soir de la béatification du pape polonais, en mai 2011, a été reconnue par la commission de théologiens de la Congrégation des causes des saints. Dès lors, il ne manque plus que le feu vert des évêques et cardinaux membres du dicastère et la signature du pape pour proclamer saint Jean-Paul II.
Mais de façon plus inattendue, indique le vaticaniste de « La Stampa » Andrea Tornielli, les membres du dicastère en charge de « faire » des saints doivent étudier le dossier de Jean XXIII, « ajouté ces derniers jours ». Le pape François canoniserait alors également le « bon pape », celui qui convoqua le Concile Vatican II (1962-1965) il y a un demi-siècle et auquel, parfois, il est comparé dans ses attitudes pastorales.
L’annonce de cette double canonisation serait imminente et la cérémonie pourrait avoir lieu avant la fin de l’année 2013, après la conclusion de l’Année de la foi.
En septembre 2000, Jean-Paul II avait célébré la béatification de 2 de ses prédécesseurs : Pie IX (1846-1878) et Jean XXIII.

Apic

rosedumatin a écrit:

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Réunis au Vatican ce 2 juillet 2013, les cardinaux et évêques membres de l’assemblée ordinaire de la Congrégation des causes des saints pourraient décider de la prochaine canonisation des papes Jean XXIII (1958-1963) et Jean-Paul II (1978-2005), a indiqué le quotidien italien « La Stampa ». Le pape François pourrait alors annoncer, dans les jours à venir, qu’il entend proclamer « saints » deux de ses prédécesseurs d’ici à la fin de l’année.

  ma chère ROSE pour cette formidable information. Je la confirme par ceci :


Selon le vaticaniste de La Stampa, Jean-Paul II et Jean XXIII pourraient ainsi être canonisés en même temps, probablement en décembre prochain, juste après l’Année de la foi qui doit se conclure le 24 novembre 2013. « L’hypothèse initiale d’octobre semble de moins en moins réalisable en raison de contraintes de temps et des problèmes d’organisation », explique Andrea Tornielli.

Des canonisations début décembre coïncideraient avec le cinquantième anniversaire de la clôture de la seconde session de Vatican II – la première présidée par Paul VI – et la promulgation solennelle de la constitution liturgique Sacrosanctum Concilium, premier document voté par le concile convoqué par Jean XXIII.


N. S. (avec Vatican Insider)

Bonne nouvelle:/:merci:/: 

poupette a écrit:

Bonne nouvelle:/:merci:/: 

Je ne veux pas engager les paris mais je crois qu'un jour le Pape émérite Benoît XVI sera aussi porté sur les autels !!

rosedumatin a écrit:

C’est en des temps record que Karol Wojtyla devrait être canonisé. Récemment, la guérison miraculeuse d’une femme d’Amérique latine au soir de la béatification du pape polonais, en mai 2011, a été reconnue par la commission de théologiens de la Congrégation des causes des saints. Dès lors, il ne manque plus que le feu vert des évêques et cardinaux membres du dicastère et la signature du pape pour proclamer saint Jean-Paul II.


Apic

Floribeth Mora Diaz, la bénéficiaire du second miracle reconnu pour la canonisation du pape Jean-Paul II, a raconté vendredi 5 juillet 2013 à la presse les circonstances de sa guérison inexpliquée.

Souffrant d’un anévrisme au cerveau qui ne devait lui laisser que peu de jours à vivre, cette Costaricaine avait prié le bienheureux Jean-Paul II, le 1er mai 2011, soit le jour même de la béatification du pape polonais. Dans sa chambre à coucher, dans une petite ville de la province de Cartago au Costa Rica, Floribeth Mora a dit avoir entendu sa voix : « Lève-toi ! N’aie pas peur ! » Elle se leva alors de son lit. Son mari l’interrogea : « Mon amour, qu’est-ce que tu fais ici ? » « Je me sens mieux », lui a-t-elle répondu.

Elle avait commencé à souffrir de maux de tête intenses en avril 2011. Les médecins avaient diagnostiqué un anévrisme cérébral. « Sa vie était en danger », a précisé son médecin, le docteur Alejandro Vargas. « C’était très triste de voir mes enfants me regarder, debout à côté de mon lit, avec mon mari qui voulait paraître fort. »

« C’est vraiment un miracle, je ne peux pas l’expliquer »

Comme elle regardait la photographie du pape polonais dans un journal, le bienheureux Jean-Paul II a commencé à lui parler, explique-t-elle. « J’ai été surprise. J’ai continué à regarder le magazine. J’ai dit : “Oui, Seigneur”, et je me suis levée. » Depuis son état de santé ne lui a plus causé aucune inquiétude.

Le docteur Vargas a confirmé qu’il n’y avait aucune explication médicale à sa guérison. « C’est vraiment un miracle, je ne peux pas l’expliquer. » Floribeth Mora a conservé le magazine comme une relique et c’est avec une grande émotion qu’elle l’a présenté à la presse.

L’enquête médicale et théologique réalisée par la Congrégation des causes des saints a confirmé l’authenticité du miracle. Le premier miracle attribué à l’intercession de Jean-Paul II pour sa béatification concernait une religieuse française guérie de la maladie de Parkinson dont le pape polonais avait lui-même souffert.

Le 5 juillet, le pape François a signé le décret permettant la canonisation des bienheureux Jean-Paul II et Jean XXIII. Les cérémonies de canonisation pourraient avoir lieu avant la fin de l’année.


Apic/CNS

mario-franc_lazur a écrit:

rosedumatin a écrit:

C’est en des temps record que Karol Wojtyla devrait être canonisé. Récemment, la guérison miraculeuse d’une femme d’Amérique latine au soir de la béatification du pape polonais, en mai 2011, a été reconnue par la commission de théologiens de la Congrégation des causes des saints. Dès lors, il ne manque plus que le feu vert des évêques et cardinaux membres du dicastère et la signature du pape pour proclamer saint Jean-Paul II.


Apic

Floribeth Mora Diaz, la bénéficiaire du second miracle reconnu pour la canonisation du pape Jean-Paul II, a raconté vendredi 5 juillet 2013 à la presse les circonstances de sa guérison inexpliquée.

Souffrant d’un anévrisme au cerveau qui ne devait lui laisser que peu de jours à vivre, cette Costaricaine avait prié le bienheureux Jean-Paul II, le 1er mai 2011, soit le jour même de la béatification du pape polonais. Dans sa chambre à coucher, dans une petite ville de la province de Cartago au Costa Rica, Floribeth Mora a dit avoir entendu sa voix : « Lève-toi ! N’aie pas peur ! » Elle se leva alors de son lit. Son mari l’interrogea : « Mon amour, qu’est-ce que tu fais ici ? » « Je me sens mieux », lui a-t-elle répondu.

Elle avait commencé à souffrir de maux de tête intenses en avril 2011. Les médecins avaient diagnostiqué un anévrisme cérébral. « Sa vie était en danger », a précisé son médecin, le docteur Alejandro Vargas. « C’était très triste de voir mes enfants me regarder, debout à côté de mon lit, avec mon mari qui voulait paraître fort. »

« C’est vraiment un miracle, je ne peux pas l’expliquer »

Comme elle regardait la photographie du pape polonais dans un journal, le bienheureux Jean-Paul II a commencé à lui parler, explique-t-elle. « J’ai été surprise. J’ai continué à regarder le magazine. J’ai dit : “Oui, Seigneur”, et je me suis levée. » Depuis son état de santé ne lui a plus causé aucune inquiétude.

Le docteur Vargas a confirmé qu’il n’y avait aucune explication médicale à sa guérison. « C’est vraiment un miracle, je ne peux pas l’expliquer. » Floribeth Mora a conservé le magazine comme une relique et c’est avec une grande émotion qu’elle l’a présenté à la presse.

L’enquête médicale et théologique réalisée par la Congrégation des causes des saints a confirmé l’authenticité du miracle. Le premier miracle attribué à l’intercession de Jean-Paul II pour sa béatification concernait une religieuse française guérie de la maladie de Parkinson dont le pape polonais avait lui-même souffert.

Le 5 juillet, le pape François a signé le décret permettant la canonisation des bienheureux Jean-Paul II et Jean XXIII. Les cérémonies de canonisation pourraient avoir lieu avant la fin de l’année.


Apic/CNS

Quelle excellente nouvelle !! quel bonheur mon cher MARIO !!!    

Louange et Gloire à Dieu !


 

Pour que Jean-Paul II devienne le 27 avril 2014 "Saint Jean-Paul le grand"Faites connaître et aimez cette page :


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Au cours de l’histoire, plusieurs papes ont marqué l’Eglise au point d’avoir renouvelé et revitalisé leur époque, tant au plan religieux que politique. Tel est le cas de saint Léon le grand, de saint Grégoire le grand. Le 27 avril 2014, le pape Jean-Paul II sera canonisé. Faites connaître et aimer cette page afin qu’il soit appelé « saint Jean-Paul le grand ».Parmi ses nombreuses réalisations, on peut noter : il a donné vie au saint Concile Vatican II en en donnant son interprétation authentique. Il a participé à la chute du communisme, sans qu’un seul mort en résulte. Il a, par son charisme et sa joie d’être sauvé, redonné l’espérance à l’Eglise et à beaucoup de non-chrétiens. Il a fait de sa mort un modèle pour ceux qui sont malades et âgés. Il continue son apostolat depuis le ciel .

rosedumatin a écrit:

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Au cours de l’histoire, plusieurs papes ont marqué l’Eglise au point d’avoir renouvelé et revitalisé leur époque, tant au plan religieux que politique. Tel est le cas de saint Léon le grand, de saint Grégoire le grand. Le 27 avril 2014, le pape Jean-Paul II sera canonisé. Faites connaître et aimer cette page afin qu’il soit appelé « saint Jean-Paul le grand ».Parmi ses nombreuses réalisations, on peut noter : il a donné vie au saint Concile Vatican II en en donnant son interprétation authentique. Il a participé à la chute du communisme, sans qu’un seul mort en résulte. Il a, par son charisme et sa joie d’être sauvé, redonné l’espérance à l’Eglise et à beaucoup de non-chrétiens. Il a fait de sa mort un modèle pour ceux qui sont malades et âgés. Il continue son apostolat depuis le ciel .

Quelle chance nous avons en ce moment avec nos papes ! 

Car, après Jean-Paul-le-Grand, n'y aura-t-il pas, si DIEU le veut, un François-le-Grand ?

mario-franc_lazur a écrit:

rosedumatin a écrit:

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Au cours de l’histoire, plusieurs papes ont marqué l’Eglise au point d’avoir renouvelé et revitalisé leur époque, tant au plan religieux que politique. Tel est le cas de saint Léon le grand, de saint Grégoire le grand. Le 27 avril 2014, le pape Jean-Paul II sera canonisé. Faites connaître et aimer cette page afin qu’il soit appelé « saint Jean-Paul le grand ».Parmi ses nombreuses réalisations, on peut noter : il a donné vie au saint Concile Vatican II en en donnant son interprétation authentique. Il a participé à la chute du communisme, sans qu’un seul mort en résulte. Il a, par son charisme et sa joie d’être sauvé, redonné l’espérance à l’Eglise et à beaucoup de non-chrétiens. Il a fait de sa mort un modèle pour ceux qui sont malades et âgés. Il continue son apostolat depuis le ciel .

Quelle chance nous avons en ce moment avec nos papes ! 

Car, après Jean-Paul-le-Grand, n'y aura-t-il pas, si DIEU le veut, un François-le-Grand ?

Moi, je crois que depuis PIE XII, nous avons reçu de Dieu et du Saint-Esprit des Papes Saint !

Le Pape François pour moi est un saint sans nul doute.

ET donc Jean-Paul II , un tel Pape, un être si merveilleux, si fort, l'attentat au contraire n'a rien effacé de son charisme, il a fait de sa vie un modèle bien portant comme malade, depuis le ciel il fait comme Thérèse il répand une pluie de roses !! oh oui que le Bien-Aimé Jean-Paul II soit proclamé saint et Dieu fera éclater en lui en par lui SA GLOIRE !!!!!!!!!!!!

25.04.2014

Jean XXIII et Jean-Paul II, deux papes saints

Plus de trois millions de personnes sont attendues à Rome ce week-end du 26 et 27 avril. En canonisant dimanche 27 avril simultanément Jean XXIII et Jean-Paul II, le pape François confirme Vatican II comme socle de l’Église.



Lu dans le journal La Croix :

Les papes se succèdent et se ressemblent plus qu’on ne le pense. Si le cardinal Wojtyla, élu pape le 16 octobre 1978, a choisi le double nom de Jean-Paul II, ce fut par volonté d’assumer le double héritage de Jean XXIII et de Paul VI.

Héritage centré sur le concile Vatican II, que le premier imagina et ouvrit, que le deuxième conforta et clôtura, et que le pape polonais porta sans faillir, au moins jusqu’à ses dernières années.


à suivre

SUITE

« un geste de tranquille audace »

Lorsque, le 28 octobre 1958, au lendemain de la mort de Pie XII, le cardinal Angelo Roncalli, patriarche de Venise, fut élu à 77 ans après une dizaine de tours de scrutin par 35 des 51 cardinaux votants, on ne vit en lui qu’un paisible « pape de transition ». Pourtant, dès le 2 novembre, il confia à son secrétaire l’annonce qu’il allait faire aux cardinaux moins de trois mois plus tard, le 25 janvier 1959.

Ce jour-là, à Saint-Paul-hors-les-Murs, il improvisa une homélie qui prit tout le monde par surprise, annonçant simultanément un synode diocésain pour Rome, un concile œcuménique pour toute l’Église et une refonte du droit canonique. Un silence glacial accueillit ces propos.

L’Osservatore Romano se tint coi, tandis que La Croix y vit « un geste de tranquille audace ». Et le théologien Yves Congar nota, plus tard : « On a l’impression qu’à Rome, toute une équipe s’applique à saboter le projet du pape. »

Le 11 octobre 1962, devant les caméras et les 2 540 pères conciliaires réunis pour l’ouverture de Vatican II, conforté dans sa liberté personnelle par l’approche de sa propre mort pronostiquée peu auparavant par son médecin, Jean XXIII improvisa un discours prophétique, déclarant : « L’Église préfère recourir au remède de la miséricorde plutôt que de brandir les armes de la sévérité.

« l’événement le plus important du siècle »

Peu après, il laissa se dérouler le « coup d’État » des cardinaux Liénart (Lille) et Frings (Cologne) clamant le droit des évêques à travailler collégialement et non selon un ordre du jour prédéfini par la Curie. De même, il décida de renvoyer le schéma préparatoire sur les deux sources de la Révélation à une commission chargée d’y intégrer l’apport de l’exégèse moderne.

Le général de Gaulle, qui avait suggéré à Rome la venue à Paris du nonce Roncalli, fin décembre 1944, aux fins de réajuster l’épiscopat français à la nouvelle donne nationale, devait commenter ainsi : « C’est l’événement le plus important du siècle, car on ne change pas la prière d’un milliard d’hommes sans toucher à l’équilibre du monde. »

Cet événement historique se déroula sous les yeux attentifs du tout jeune Mgr Wojtyla, venu à Rome avec 17 autres évêques polonais. Consacré évêque exactement un mois avant l’élection de Jean XXIII, il se passionna, quoique parfois un peu effrayé par ces débats conciliaires si nouveaux pour lui. Appliqué, il avait répondu, dès le 30 décembre 1959, en latin, au questionnaire préparatoire, insistant sur la réconciliation œcuménique, la « réanimation de la liturgie » et le nécessaire renouveau de la réflexion éthique.

Le 3 juin 1963, la mort de Jean XXIII confirma l’intuition que Roncalli avait confiée peu avant au cardinal Suenens : « Mon rôle fut de mettre à la mer l’énorme et lourd navire. Un autre aura pour rôle de le mener au large. » Ce sera celui de Paul VI. Sa demande de pardon aux frères séparés chrétiens, formulée à l’ouverture de la deuxième session, le 29 septembre 1963, marquera le jeune Wojtyla. Celui-ci reprendra la formule (« Ce pardon, nous le réclamons pour nous et nous l’accordons aux autres ») face aux évêques polonais, en 1965, puis plus tard lors des grands pardons du Jubilé de l’an 2000.


Wojtyla s’enthousiasme pour Vatican II

Avec pas moins de huit discours en séance plénière et 13 interventions écrites, Wojtyla s’enthousiasma pour Vatican II, tout en insistant sur plusieurs points : le dialogue nécessaire avec les autres religions, comme avec le monde, ne doit jamais s’opérer au détriment de la Vérité. De même, l’ordre public doit être en conformité avec l’ordre moral objectif. En un mot, il faut faire avancer l’Église au rythme du monde, sans altérer la Révélation qui en est le fondement.

Aux yeux de Jean-Paul II, Vatican II fut « la grande grâce dont l’Église a bénéficié au XXe  siècle : il nous offre une boussole fiable pour nous orienter sur le chemin du siècle qui commence (1) ».

Et lorsque, le 21 février 1998, il créa de nouveaux cardinaux, il précisa sa pensée : « Regardant avec vous au-delà du seuil de l’an 2000, j’invoque du Seigneur l’abondance des dons de l’Esprit divin pour toute l’Église, afin que le “printemps” du concile Vatican II puisse trouver son “été” dans le nouveau millénaire, c’est-à-dire en pleine maturité. »

« Si Jean XXIII fut le père du Concile, Jean-Paul II en fut le fils. »

Le temps a passé et Philippe Chenaux, qui dirige à Rome le centre de recherches sur Vatican II de l’Université pontificale du Latran (2), est aujourd’hui formel : « Si Jean XXIII fut le père du Concile, Jean-Paul II en fut le fils. Sans le premier, le Concile n’aurait pas eu lieu. Et sans le Concile, nous n’aurions pas eu Jean-Paul II. »

L’historien a retrouvé des textes inédits de Karol Wojtyla, datant des années 1962-1966, dans lesquels le pasteur polonais reconnaît cette paternité : « Jean XXIII, écrivait-il, n’a pas seulement convoqué le Concile, il l’a engendré. » Pour lui, « Vatican II a été une expérience fondatrice dans l’itinéraire personnel de Wojtyla. Il a reconnu cette dette. Et tout son pontificat a été une application du Concile. »

Analysant plus avant, on peut relever entre les deux papes tant des convergences que des divergences. Parmi les premières, aux yeux de Philippe Chenaux, leur formation romaine « à l’ancienne au sens tridentin », mais aussi leur dimension pastorale. Jean XXIII, dès le 11 octobre 1962, a voulu un concile pastoral. Et Wojtyla, lui, a attendu, écrit-il, « des directives pour agir concrètement ».

Jean-Paul II a « interprété le Concile de manière prodigieuse »

Sur un autre plan, l’un et l’autre ont été des « leaders mondiaux », rappelle Philippe Chenaux. Jean XXIII, dans son encyclique Pacem in terris, son testament spirituel, a été le premier pape à s’adresser « à tous les hommes de bonne volonté », mentionnant pour la première fois la Déclaration universelle des droits de l’homme. Et Jean-Paul II, rappelle l’historien romain, a « interprété le Concile de manière prodigieuse », notamment sur ce thème des droits de l’homme, de la paix, de la liberté religieuse, du dialogue interreligieux.

Sur ce dernier point, l’essayiste Alexandre Adler rappelle une anecdote méconnue : « Sans doute ne se rappelle-t-on pas que, dans un de ces états d’émotion qui participaient à son caractère étonnant, Jean XXIII avait fait arrêter sa voiture devant la synagogue de Rome où avait lieu une cérémonie religieuse et en était descendu pour aller bénir les fidèles. Un jeune homme présent à cette scène devait cependant en garder précisément la mémoire. Il s’agissait d’Elio Toaff, le grand rabbin qui reçut Jean-Paul II lors de la cérémonie, officielle cette fois, du 13 avril 1986. »

Quant aux divergences entre les deux papes, elles relèvent plutôt des époques et des contextes culturels différents dans lesquels ils ont vécu, et notamment, souligne Philippe Chenaux, « dans leur manière d’affronter le défi de la sécularisation ». S’il convient de se garder de tout anachronisme, ce défi ne présentant pas les mêmes caractéristiques sous Jean XXIII (1958-1963) et sous Jean-Paul II (1978-2005), on peut retenir que le premier l’affronta, selon l’historien, « tranquillement, faisant confiance à l’Esprit », tandis que le second fut « plus combatif, plus volontariste, notamment en lançant la nouvelle évangélisation ».

« Jean XXIII a été le pape de l’intuition, et Jean-Paul II, le pape de l’expression. »

Mgr Patrick Valdrini, pro-recteur de l’Université pontificale du Latran, estime pour sa part qu’à travers Vatican II, « l’Église parle d’elle-même, de manière renouvelée ». À ses yeux, « ces papes n’ont pas été les auteurs à proprement parler du rééquilibrage : il était en cours déjà depuis le début du XXe  siècle (pastorale, œcuménisme, études bibliques, droit canonique). » Comment ? « Jean XXIII en convoquant le Concile, et Jean-Paul II en l’appliquant. Jean XXIII a été le pape de l’intuition, et Jean-Paul II, le pape de l’expression. » Ce que confirme Alexandre Adler lorsqu’il écrit que « Jean-Paul II ne fit, si je puis dire, qu’amplifier par des gestes symboliques au retentissement spectaculaire, ce que Jean XXIII avait anticipé ».

Autrement dit, avec sa bonhomie, son apparence ingénue, simulant l’improvisation, notamment lors de l’annonce du 25 janvier, Jean XXIII, souligne Mgr Valdrini, « a été le pape nécessaire pour convoquer le Concile ». Tandis que Jean-Paul II « a assumé parfaitement cette ecclésiologie, dans laquelle il fut parfaitement à l’aise. Il restera comme le pèlerin qui a traversé le monde pour montrer la présence de l’Église dans toutes les cultures. » En un mot : « Chacun de ces papes a vécu au bon moment. Ils ont tous les deux été des hommes de leur moment historique, partageant une forte foi en l’Église. »

La Fraternité Saint-Pie-X, en rupture avec Rome, ne s’y est pas trompée. Car c’est bien sur la base de son refus de Vatican II qu’elle s’oppose énergiquement à la canonisation de Jean-Paul II : « La rupture est le fait de ce pape, qui a voulu rendre l’Église conforme aux nouveautés introduites par le concile Vatican II. En ce sens, la canonisation de Jean-Paul II sera, elle aussi, une nouveauté. Mais une nouveauté contestable, pour qui veut rester attaché à la Tradition de l’Église. » Et de poursuivre son argumentation avec une intéressante mise au passif de Vatican II de tout ce qui fut au contraire son actif, notamment l’œcuménisme et la liberté religieuse.

La liste est longue des comparaisons entre Angelo Roncalli et Jorge Bergoglio

Lorsque le pape François, ce 26 avril, rendra hommage à ses prédécesseurs, il aura certainement à l’esprit Jean-Paul II, pape des droits de l’homme, des rencontres d’Assise, du chemin parcouru vers les juifs, d’une Église « amie des hommes ». Mais il se souviendra aussi, sur un autre plan, des premiers mois d’Angelo Roncalli dans et, surtout, hors les murs du Vatican.

Car la façon de « faire le pape » choisie par François résonne fortement aux oreilles de ceux qui, il est vrai peu nombreux aujourd’hui, ont vécu le pontificat de Jean XXIII. La liste est en effet longue des comparaisons, à peine appuyées, entre Angelo Roncalli et Jorge Bergoglio. Même si comparaison n’est pas raison, les années Jean XXIII furent marquées d’une électricité équivalente à celle qui anima la première année de celui qui le canonisera aujourd’hui.

Lui aussi n’hésita pas à sortir du Vatican pour aller à la rencontre des prisonniers et des enfants malades. Lui aussi, qu’on disait âgé et de santé fragile, ouvrit un champ de réformes inattendues. Lui aussi nomma les cardinaux ses « frères », et recadra la Secrétairerie d’État. Il reçut la presse après son élection, improvisant un discours simple et chaleureux, et plus tard, des homélies et des allocutions compréhensibles par tous.

Lui aussi déclara : « La pauvreté doit rester un des titres les plus beaux et les plus respectables du pape. » Et encore, lors de son couronnement : « Nous tient particulièrement à cœur notre fonction de pasteur sur tout le troupeau. Le berger marche devant ses brebis et toutes le suivent. Mais il est appelé à regarder plus loin encore : il y a d’autres brebis qui ne sont pas de cette bergerie et que je voudrais y ramener. » Lorsqu’il prononça ces mots, le Concile n’avait pas encore eu lieu…

Frédéric Mounier

(1) Encyclique Novo millennio ineunte, n° 57.

(2) Le Temps de Vatican II, DDB, 2012

Je connais surtout mes chers amis et amies, le bon pape Jean XXIII pour son initiative d'ouvrir le Concile Vatican II.

Dans son " Journal de l' âme " que je lis actuellement pour mieux le connaitre car j'avais 8 ans lors de son élection, il dit " le premier surpris de l' ouverture du Concile ..... ce fut moi " !! voyez quel humour et comment il a parlé sous l'impulsion de l' Esprit.

Dès l' âge de 7 ans, il se senti appelé à la prêtrise.

Toute sa vie, il a lutté pour être un saint dans les moindres petits détails.

Lorsque les cardinaux surpris lui demandèrent pourquoi cette annonce d'un Concile, il se dirigea vers une fenêtre , ouvrit à deux battants et dit " pour laisser passer de l'air frais dans l' Eglise " !!!


En ce dimanche de la Divine Miséricorde, fête instituée par Jean-Paul II le Bien-Aimé à la demande de Ste Faustine, nous aurons cette joie , ce bonheur , cet immense honneur : deux saints vont être proclamés : St Jean XXIII et St Jean Paul-Paul II, mon coeur exulte de joie !


A propos de la Résurrection Jean-Paul II dit : " Thomas l'incrédule est devenu d'une certaine manière le porte-parole de la certitude de la Résurrection "

Il dit aussi : " La Miséricorde Divine dessine l'image de mon pontificat " JP II

Deux grands saints,

Jean XXIII dit : " Rien qu'aujourd'hui, je ferai au moins une chose que je ne n'ai pas envie de faire et si j'étais offensé, j'essaierai que personne ne le sache "


" se donner tout à tous, telle est la fleur la plus exquise de notre foi vécue "



Ce dimanche 27 avril fête de la Miséricorde tous les deux seront inscrits au Catalogue des Saints par l' Eglise de façon officielle mais déjà aux yeux de Dieu, ils sont ' saints ' .

Voici une de mes créations en l'honneur de ce jour béni que je me permets de vous offrir , elle est bien humble !! créer une image est une ' prière ' pour moi.

c'est une question que je me suis souvent posé, est-ce que tous les Papes ont été canonisés ?
et aussi qu'est-ce que ça représente vous qu'une personne soit canonisée ?

rosedumatin a écrit:

Je connais surtout mes chers amis et amies, le bon pape Jean XXIII pour son initiative d'ouvrir le Concile Vatican II.

Dans son " Journal de l' âme " que je lis actuellement pour mieux le connaitre car j'avais 8 ans lors de son élection, il dit " le premier surpris de l' ouverture du Concile ..... ce fut moi " !! voyez quel humour et comment il a parlé sous l'impulsion de l' Esprit.
..................................................................

Oh ! MERCI, ma bien chère ROSE pour ce magnifique triptyque si bien mis en valeur par le don que tu as dans l'art de la composition personnelle à parir de documents existants ...
______________________________

" Le centre culturel français Saint-Louis, à Rome, a fait salle comble jeudi 24 avril pour une conférence du cardinal français Paul Poupard sur Jean XXIII et Jean-Paul II, à l’approche de leur canonisation.

La sainteté des deux papes, le cardinal français en a rendu témoignage, la relevant notamment dans le quotidien qu’il a partagé successivement à la curie romaine à leurs côtés.


« Un autre plus grand pourra venir »

Ainsi lorsqu’il était encore jeune collaborateur à la Secrétairerie d’État dans les années 1960, il recueillit cette confidence de Jean XXIII faite après sa rencontre avec le chef de l’Église anglicane. « Je ne suis ni un grand théologien, ni un grand philosophe, ni un grand historien, ni un grand savant, ni un grand politicien, dit le pape, mais peut-être que le bon Dieu avait besoin d’un pauvre homme pour faire cela, et que cela aurait été bien difficile à un grand théologien, à un grand… etc., mais maintenant que c’est fait, un autre plus grand pourra venir et continuer parce que j’aurai, moi, tout simplement commencé ». Pour le cardinal Poupard, aujourd’hui âgé de 83 ans, cela reste la rencontre la plus émouvante avec « l’humilité vivante ».

Cette humilité ressort aussi dans l’attitude douce et obéissante de Jean XXIII face à la mort, dont le cardinal français a livré plusieurs rares citations, non dénuées du trait d’humour si caractéristique du pape italien. « Tous les jours sont bons pour vivre et tous aussi sont bons pour mourir », confiait-il quelques jours avant sa mort en 1963 : « Pour moi, les valises sont prêtes, mais je suis prêt aussi à continuer à travailler ».

« La prière comme respiration intérieure »

À propos de Jean-Paul II, le cardinal Poupard, qui fut son « ministre de la culture », a d’abord insisté sur la profondeur de la prière : « Évoquer Jean-Paul II, c’est surtout découvrir la sainteté d’une vie dont la prière est comme la respiration intérieure, le moteur si l’on peut dire d’une existence ».

Le cardinal français en fut témoin lorsqu’il le rejoignait dans sa chapelle privée. Ou même en plein déjeuner lorsque, posant sa fourchette, il vit le pape se recueillir un moment pour une sœur religieuse qui tenait son appartement et qui à cet instant subissait une grave opération. « Le premier devoir du pape pour l’Église et le monde est la prière », confiait Jean-Paul II.

Le cardinal Poupard a aussi mis en avant « l’inépuisable bienveillance pour les personnes » de Jean-Paul II, « mal à l’aise si l’on disait du mal de quelqu’un », et à l’inverse son « jugement inflexible sur les idées »

« Comme Jean XXIII, saint Jean-Paul II est profondément humain », a résumé Paul Poupard, faisant ressortir cette profondeur pour chacun d’eux à travers anecdotes, bons mots et quelques imitations, qui ont animé son intervention d’une heure.

Intérêt pour la France

En réponse ensuite à une question du public sur les saints français ayant compté pour Jean-Paul II, le cardinal a cité Louis Marie Grignon de Montfort. Mais il a ajouté aussi combien chaque nation, pour le pape polonais, avait vocation aussi à la sainteté. D’où la célèbre interpellation de Jean-Paul II à la France, « fille aînée de l’Église ».

La conférence du cardinal Poupard a ouvert un programme destiné aux pèlerins francophones et réparti dans les cinq églises françaises à l’occasion des canonisations."

Sébastien Maillard (à Rome)

chemseddine a écrit:

c'est une question que je me suis souvent posé, est-ce que tous les Papes ont été canonisés ?
et aussi qu'est-ce que ça représente vous qu'une personne soit canonisée ?

Ouh la !!! Pas du tout, mon cher CHEMSEDDINE !

Un tiers seulement (80 sur 266) .


Certains papes n'ont même pas été des modèles de vertus loin de là !

Une personne canonisée est une personne dont l'héroïcité des vertus a été reconnue et les saints sont des modèles, et on peut-- pour les Catholiques -- leur demander d'intercéder pour nous, le cas échéant !

quand on est canonisés, on devient Saint patron ou c'est autre chose
si oui, comment décide-t-on qui est patron de quoi ?

mario-franc_lazur a écrit:

rosedumatin a écrit:

Je connais surtout mes chers amis et amies, le bon pape Jean XXIII pour son initiative d'ouvrir le Concile Vatican II.

Dans son " Journal de l' âme " que je lis actuellement pour mieux le connaitre car j'avais 8 ans lors de son élection, il dit " le premier surpris de l' ouverture du Concile ..... ce fut moi " !! voyez quel humour et comment il a parlé sous l'impulsion de l' Esprit.
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Oh !  MERCI, ma bien chère ROSE pour ce magnifique triptyque si bien mis en valeur par le don que tu as dans l'art de la composition personnelle à parir de documents existants ...
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" Le centre culturel français Saint-Louis, à Rome, a fait salle comble jeudi 24 avril pour une conférence du cardinal français Paul Poupard sur Jean XXIII et Jean-Paul II, à l’approche de leur canonisation.

La sainteté des deux papes, le cardinal français en a rendu témoignage, la relevant notamment dans le quotidien qu’il a partagé successivement à la curie romaine à leurs côtés.


« Un autre plus grand pourra venir »

Ainsi lorsqu’il était encore jeune collaborateur à la Secrétairerie d’État dans les années 1960, il recueillit cette confidence de Jean XXIII faite après sa rencontre avec le chef de l’Église anglicane. « Je ne suis ni un grand théologien, ni un grand philosophe, ni un grand historien, ni un grand savant, ni un grand politicien, dit le pape, mais peut-être que le bon Dieu avait besoin d’un pauvre homme pour faire cela, et que cela aurait été bien difficile à un grand théologien, à un grand… etc., mais maintenant que c’est fait, un autre plus grand pourra venir et continuer parce que j’aurai, moi, tout simplement commencé ». Pour le cardinal Poupard, aujourd’hui âgé de 83 ans, cela reste la rencontre la plus émouvante avec « l’humilité vivante ».

Cette humilité ressort aussi dans l’attitude douce et obéissante de Jean XXIII face à la mort, dont le cardinal français a livré plusieurs rares citations, non dénuées du trait d’humour si caractéristique du pape italien. « Tous les jours sont bons pour vivre et tous aussi sont bons pour mourir », confiait-il quelques jours avant sa mort en 1963 : « Pour moi, les valises sont prêtes, mais je suis prêt aussi à continuer à travailler ».

« La prière comme respiration intérieure »

À propos de Jean-Paul II, le cardinal Poupard, qui fut son « ministre de la culture », a d’abord insisté sur la profondeur de la prière : « Évoquer Jean-Paul II, c’est surtout découvrir la sainteté d’une vie dont la prière est comme la respiration intérieure, le moteur si l’on peut dire d’une existence ».

Le cardinal français en fut témoin lorsqu’il le rejoignait dans sa chapelle privée. Ou même en plein déjeuner lorsque, posant sa fourchette, il vit le pape se recueillir un moment pour une sœur religieuse qui tenait son appartement et qui à cet instant subissait une grave opération. « Le premier devoir du pape pour l’Église et le monde est la prière », confiait Jean-Paul II.

Le cardinal Poupard a aussi mis en avant « l’inépuisable bienveillance pour les personnes » de Jean-Paul II, « mal à l’aise si l’on disait du mal de quelqu’un », et à l’inverse son « jugement inflexible sur les idées »

« Comme Jean XXIII, saint Jean-Paul II est profondément humain », a résumé Paul Poupard, faisant ressortir cette profondeur pour chacun d’eux à travers anecdotes, bons mots et quelques imitations, qui ont animé son intervention d’une heure.

Intérêt pour la France

En réponse ensuite à une question du public sur les saints français ayant compté pour Jean-Paul II, le cardinal a cité Louis Marie Grignon de Montfort. Mais il a ajouté aussi combien chaque nation, pour le pape polonais, avait vocation aussi à la sainteté. D’où la célèbre interpellation de Jean-Paul II à la France, « fille aînée de l’Église ».

La conférence du cardinal Poupard a ouvert un programme destiné aux pèlerins francophones et réparti dans les cinq églises françaises à l’occasion des canonisations."

Sébastien Maillard (à Rome)

Cher Mario,

Jean-Paul II, bientôt officiellement " saint " était polonais dans le monde " Karol Woytyla " et voici un extrait du journal de Sainte Faustine sa compatriote où il est fait allusion à lui, dans le n° 1928 de ce journal , l' Eglise reconnait aussi qu'il s'agit de notre Bien-Aimé Jean-Paul II , Jésus dit à Faustine :

" Alors que je priais pour la Pologne, j'ai entendu ces paroles : "J'aime particulièrement la Pologne. Si elle obéit à Ma volonté, je l'élèverai en puissance et en sainteté. c'est d'elle que sortira l'étincelle qui préparera le monde à Ma venue dernière."
"Je suis la Miséricorde-même pour l'âme contrite. la plus grande misère de l'âme n'allume pas Ma colère, mais Mon Coeur frémit d'une grande miséricorde pour elle."

chemseddine a écrit:

quand on est canonisés, on devient Saint patron ou c'est autre chose
si oui, comment décide-t-on qui est patron de quoi ?

Des miracles sont requis avant de canoniser, Jean-Paul II et Jean XXIII seront inscrits au ' Catalogue des saints ' en vertu de leur vie héroique et non en vertu des grâces mystiques qu'ils ont reçues. De plus l' Eglise très prudent requiert au moins un miracle :


Voici le cas de Jean-Paul II :


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Les médecins du Vatican reconnaissent le miracle nécessaire à la canonisation de Jean Paul II
béatification de Jean Paul II | canonisation de Jean Paul II | Congrégation pour la cause des saints | guérison miraculeuse | Jean Paul II


La commission de sept médecins de la Congrégation pour les causes des saints a validé comme miracle la guérison scientifiquement inexplicable d’une femme par l'intercession de Jean Paul II.

Cette reconnaissance ouvre la voie à la prochaine canonisation de l'ancien pontife.


A suivre sur le lien donné ...........

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L'attentat dont fut victime Jean-Paul II, le 13 mai 1981 (fête de ND de Fatima) montre clairement que Marie a qui il avait dédié son pontificat l'a préservé , je remercie notre Sainte Mère de nous l' avoir protégé,  je rends grâce.

Loin de le diminuer ( physiquement,  certes malgré tout) mais au point de vue spirituel son "aura" fut renforcée , cela ne l'a pas empêché de combattre le communisme, de faire chuter le mur de Berlin ...

Il nous est devenu plus cher après son attentat, nous l'avons tant aimé et respecté, prié pour lui, le sang des martyrs est semence pour l' Eglise ..........

Saint Jean-Paul II, Bien-Aimé, bénissez moi je vous aime .............

Jean-Paul II a pardonné réellement a son agresseur tel le Christ pardonnait à ses bourreaux.

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Le dimanche 27 avril, l’Eglise catholique vivra un grand moment: le pape François canonisera deux de ses illustres prédécesseurs, Jean XXIII et Jean-Paul II. Cet événement aura lieu à Rome, mais les fidèles de Belgique peuvent également s’y associer.

A l’invitation de Mgr Léonard, des fidèles de Bruxelles ont lancé une veillée d’action de grâce. Une « action de grâce » est une prière de reconnaissance ou de remerciement après quelque chose d’heureux. Cette veillée est donc mise sur place pour remercier Dieu d’avoir donné deux si grands exemples au peuple chrétien. Ecoutez Eric Druenne, un des organisateurs de cet événement :  


[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]



Cette veillée aura lieu le dimanche 27 avril à 20h30 en l’église Saint-Jacques sur Coudenberg (Place Royale).

La veillée commencera par un rappel de tout ce que ces deux saints papes ont apporté aux fidèles, grâce à un diaporama de photos diffusées sur grand écran et une lecture de citations des deux papes. Mgr Léonard, tout juste revenu de Rome, lira un passage de l’Evangile de Jean et tiendra l’homélie. Afin d’être réellement proche de Dieu pour le remercier, la veillée se terminera par un temps d’adoration du Saint-Sacrement.

Des volontaires sont demandés pour la chorale, n’hésitez pas à proposer vos services.

M.B



Visitez aussi le site des Médias Catholiques consacré aux canonisation de Jean XXIII et Jean-Paul II.

Très riche en informations consernant la canonisation de nos deux papes   

Julie a écrit:

Très riche en informations consernant la canonisation de nos deux papes   

et en illustrations travaillées bellement par notre ROSEDUMATIN ......

mario-franc_lazur a écrit:

Julie a écrit:

Très riche en informations consernant la canonisation de nos deux papes   

et en illustrations travaillées bellement par notre ROSEDUMATIN ......

Oui !!!  et   ma chère   

 a vous 2 , Mon cher Mario et Ma chère Rose pour votre finesse

Pourquoi les canonisations ensemble de saint Jean XXIII et de saint Jean-Paul le grand ? (17 mn).
Par Arnaud Dumouch, 27 avril 2014, fête de la Miséricorde divine.
Cette chronique n’engage que son auteur. Selon moi, le pape François fait ici un geste pastoral indispensable : depuis le saint Concile Vatican II, le scandale de la division dans l’Eglise de deux camps extrémistes doit cesser.
Le premier, qui n’a pas quitté l’Eglise en apparence, se revendique d’un pape Jean XXIII dont une fausse image est sublimée par la pensée de mai 68. Il aurait remis l’Eglise sur ses pieds en en faisant ce que Jésus voulait : une association centrée sur l’attention sociale aux pauvres. Mais ce courant, n’ayant à la bouche que les mots « tolérance, démocratie », s’est montré intolérant dans son action, voir sectaire, dépassant la mesure qu’il dénonçait avec raison chez les anciens (voir Matthieu 23, 29).
Le second, lié à Monseigneur Lefebvre, fut source d’un schisme visible et est décrit de manière très forte par l’Abbé Fabrice Loiseau du diocèse de Toulon : « Courant en perdition, divisé, en détresse, à cause d’une position intenable entre foi au Magistère protégé des papes et refus du Magistère depuis Jean XXIII ».
Le geste du pape François montre qu’il est maintenant nécessaire que ces deux courants cessent de déchirer la tunique sans couture du Christ et se repentent du scandale et des divisions qu’ils montrent à tous depuis 50 ans, en en revenant à l’unité de l’Eglise, autour des Magistères authentiques de saint Jean XXIII et de saint Jean-Paul le grand.

rosedumatin a écrit:

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Le dimanche 27 avril, l’Eglise catholique vivra un grand moment: le pape François canonisera deux de ses illustres prédécesseurs, Jean XXIII et Jean-Paul II. Cet événement aura lieu à Rome, mais les fidèles de Belgique peuvent également s’y associer.

A l’invitation de Mgr Léonard, des fidèles de Bruxelles ont lancé une veillée d’action de grâce. Une « action de grâce » est une prière de reconnaissance ou de remerciement après quelque chose d’heureux. Cette veillée est donc mise sur place pour remercier Dieu d’avoir donné deux si grands exemples au peuple chrétien. Ecoutez Eric Druenne, un des organisateurs de cet événement :  


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Cette veillée aura lieu le dimanche 27 avril à 20h30 en l’église Saint-Jacques sur Coudenberg (Place Royale).

La veillée commencera par un rappel de tout ce que ces deux saints papes ont apporté aux fidèles, grâce à un diaporama de photos diffusées sur grand écran et une lecture de citations des deux papes. Mgr Léonard, tout juste revenu de Rome, lira un passage de l’Evangile de Jean et tiendra l’homélie. Afin d’être réellement proche de Dieu pour le remercier, la veillée se terminera par un temps d’adoration du Saint-Sacrement.

Des volontaires sont demandés pour la chorale, n’hésitez pas à proposer vos services.

M.B

Visitez aussi le site des Médias Catholiques consacré aux canonisation de Jean XXIII et Jean-Paul II.

C'est un grand jour pour l'Eglise catholique et c'est inédit : "2 papes canonisés ensemble" par "2 papes", l'un en fonction et l'autre émérite, puisque le pape François a demandé à Benoît XVI de concélébrer avec Lui la messe de béatification.   

J'ai eu l'occasion, par 3 fois, de rêvé à Jean Paul II et il y a 8 jours, c'est au Pape François que j'ai rêvé. J'étais avec lui et je lui parlais comme si on s'était toujours connu alors que je ne l'ai pas encore rencontré.   

Puisse cet évènement auquel vont assister 25 chefs d'état et 15 chef de gouvernement du monde entier, marquer leurs esprits. Demandons qu'à l'occasion de leur canonisation, St Jean XXIII et Saint Jean-Paul II, ces 2 grands témoins de Jésus réunis sur la place St Pierre avec le pape François et le pape Emérite Benoît XVI, fasse un miracle dans le coeur de tous ces dirigeants et que nombreux soient ceux qui en assistant sur place ou grace aux média, à cette canonisation, qui retrouve le chemin de la foi en Jésus   

Je ne vais pas entrer dans une discutions sur la canonisation de ces deux papes.
Ils ont marqué tous les deux l'histoire de l'Eglise à leur manière.
Mais je m’arrêterai sur Evénement lui même.
Voila un évènement qui va montrer de façon évidente que les chrétiens sont bien vivant dans le monde.
Ces deux papes on marqué la théologie de la Foi Chrétienne.
il faut maintenant passer à la pratique et le Pape François est là pour cela.
Nous voyons et avons été témoin d'un histoire humaine pas très glorieuse.
Avec ces deux papes et ceux qui ont été leurs successeurs nous avons juger, analysé, ce que nous vivons au regards de la parole de Dieu.
Avec François , fort de ce que nous avons eux et reçu de ces deux papes il nous faut agir et réagir pour appliquer en vérité la parolle suivante de Jésus-Christ:
"Aimez vous les uns les autres comme JE vous ai Aimé"
Après la prière et la fête il nous faut passer à l'action

Dieu nous demande d'être des Saints mais il sait que nous ne serons pas parfait car Dieu Seul est Parfait.

Les grands saints de l'histoire de l'Eglise ne se sont jamais venté d'être parfait mais il nous ont montrer la marche à suivre au regard de la parole de Dieu.
Parole de Dieu qu'ils ont appliqué avec leur faiblesses d'homme car tout croyant tend vers la perfection en sachant qu'il ne l'atteindra pas.
C'est ce qui fait la sainteté.

Portons témoignage de notre Foi et faisons le avec l'Espoir que Dieu nous accorde par Jésus-Christ et L'esprit Saint.

"Je vous précède en Galilée..............."

Une très belle cérémonie.
Le peuple est avec l 'Eglise.

J'aurais une question quelles sont les critères qui imposent la canonisation ? en Islam seul ALLAH(Dieu) peut désigner les saints ,ses élus, quelle est le mécanisme de l'église qui décrète qui est saint et qui ne l'ai pas ? j'ai toujours été curieux a ce sujet

Salomon a écrit:

J'aurais une question quelles sont les critères qui imposent la canonisation ? en Islam seul ALLAH(Dieu) peut désigner les saints ,ses élus, quelle est le mécanisme de l'église qui décrète qui est saint et qui ne l'ai pas ? j'ai toujours été curieux a ce sujet

Grâce aux miracles reconnus comme inexplicables et qui , eux, ne peuvent venir que de DIEU.

Arnaud Dumouch a écrit:

Le second, lié à Monseigneur Lefebvre, fut source d’un schisme visible et est décrit de manière très forte par l’Abbé Fabrice Loiseau du diocèse de Toulon : « Courant en perdition, divisé, en détresse, à cause d’une position intenable entre foi au Magistère protégé des papes et refus du Magistère depuis Jean XXIII ».
Le geste du pape François montre qu’il est maintenant nécessaire que ces deux courants cessent de déchirer la tunique sans couture du Christ et se repentent du scandale et des divisions qu’ils montrent à tous depuis 50 ans, en en revenant à l’unité de l’Eglise, autour des Magistères authentiques de saint Jean XXIII et de saint Jean-Paul le grand.

Un lien sur le sujet :


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mario-franc_lazur a écrit:

Salomon a écrit:

J'aurais une question quelles sont les critères qui imposent la canonisation ? en Islam seul ALLAH(Dieu) peut désigner les saints ,ses élus, quelle est le mécanisme de l'église qui décrète qui est saint et qui ne l'ai pas ? j'ai toujours été curieux a ce sujet

Grâce aux miracles reconnus comme inexplicables et qui , eux, ne peuvent venir que de DIEU.

quelle miracle ont réalisé les deux papes?

paulau a écrit:

Une très belle cérémonie.
Le peuple est avec l 'Eglise.

Oui très belle cérémonie tout en simplicité.
Présence de Benoit XVI très discrète et pleine d'humilité.
Et parmi les officiel quelques représentants de pays musulmans.
Oui a l'unité dans l'Eglise mais pas en reculant dans le passé sur les méthodes d'actions.

Se faire écouter et écouter tel devrait-être la devise de l’Église face au monde qui change plus rapidement que les papes et les clercs qui sont autour de lui.

27.04.2014

21:04:58

Pour ceux qui n'ont pas pu voir les cérémonies de ce matin à la télévision !

ChrisLam a écrit:

paulau a écrit:

Une très belle cérémonie.
Le peuple est avec l 'Eglise.

Et parmi les officiel quelques représentants de pays musulmans.

Ah ! je ne les ai pas vus !!! Te souviens-tu de leur nom ???

Rétrospectivement, à la lumière de la canonisation, nous pouvons comprendre l'Histoire absurde du XXe siècle.
Le Mal avait pris le nom de socialisme et régnait sur la moitié de la planète. Le pire système d'asservissement et d'avilissement que l'homme eut inventé tenait sous sa botte des centaines de millions d'hommes. Et cette pauvre vieille Eglise catholique, toute imprégnée de ses innombrables péchés, a donné au monde Jean-Paul II.
Jean-Paul II et Lech Walesa, enfants du peuple le plus catholique, peuple polonais qui s'est levé, a repoussé et détruit ce Mal.

Saint Jean-Paul II est sans le moindre doute le plus grand héros du XXe siècle et l'un des plus grands saints catholiques.

mario-franc_lazur a écrit:

ChrisLam a écrit:

paulau a écrit:

Une très belle cérémonie.
Le peuple est avec l 'Eglise.

Et parmi les officiel quelques représentants de pays musulmans.

Ah ! je ne les ai pas vus !!! Te souviens-tu de leur nom ???

Non car c'est en suivant la cérémonie sur KTO et FRANCE2 que j'ai vu parmi les officiels du corps diplomatique deux personnes à la fin de la cérémonie qui saluait le saint Père ( peut-être des ambassadeurs) qui n'avait pas une tenu occidentale mais bien un tenue typiquement arabe .
Ce qui m'a frappé c'est que ces deux personnes était plus souriante et chaleureuse envers François que notre premier Ministre. Ce qui me fait dire que la laïcité avalait comme un sabre apporte une certaine raideur dans les relations entre les religions et l'état en France.
La France c'est la France............
Parmi le corps constitué il y avait des pays qui avait des chefs d'états peu recommandables. On va encore jaser..............

Oui Un pape, plus un pape émérite, pour deux papes canonisés c'est tout un symbole.
800.000 personnes cela fait du monde et quelques millions par les médias dans le monde.
Et aucun incident entre les divers chrétiens présents mis à part des problème de bousculade qui ne peuvent pas être évités dans ce genre de rassemblement.
On a une église qui bouge, qui garde son cap et se débarrasse du lest inutile passible de nous faire couler. Mais comme dans toute tempête malgré le calme le bateau tangue et remue encore pas mal.
La Bateau Eglise n'a qu'un seul Maître Jésus-Christ L'Amiral est des hommes de quart les chrétiens avec un capitaine et les capitaine avec l'équipage (nous) doivent assurer la bonne marche du navire dans la bonne direction.
Et cela toutes voiles dehors pour que le souffle de l'esprit nous aide dans cette aventure humaine qui nous mène vers le paradis.
Et si la bateau tangue Jésus nous remet sur une mer calmée ou il fait bon naviguer tous ensemble et en mesure si possible.
Et Les Capitaines comme les deux papes canonisés nous disent de façon différente avec leurs charisme :" N'ayez pas peur"

paulau a écrit:

Rétrospectivement, à la lumière de la canonisation, nous pouvons comprendre l'Histoire absurde du XXe siècle.
Le Mal avait pris le nom de socialisme et régnait sur la moitié de la planète. Le pire système d'asservissement et d'avilissement que l'homme eut inventé tenait sous sa botte des centaines de millions d'hommes. Et cette pauvre vieille Eglise catholique, toute imprégnée de ses innombrables péchés, a donné au monde Jean-Paul II.
Jean-Paul II et Lech Walesa, enfants du peuple le plus catholique, peuple polonais qui s'est levé, a repoussé et détruit ce Mal.

Saint Jean-Paul II est sans le moindre doute le plus grand héros du XXe siècle et l'un des plus grands saints catholiques.

Bravant la foule très dense et malgré la fatigue, des pèlerins du monde (au moins 800000) ont assisté, ce dimanche 27 avril 2014, à la canonisation de Jean XXIII et Jean-Paul II lors d’une messe concélébrée par le pape émérite Benoît XVI et le pape François :