| | La parousie, un extrémisme religieux ? | |
| | Auteur | Message |
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Ibralous
| Sujet: La parousie, un extrémisme religieux ? Lun 29 Juil 2019, 16:24 | |
| 29 juillet 2019 Chrétiens et musulmans partagent une vision analogue de la parousie : c'est au final d'un combat suprême contre son antithèse que, fort d'une armée de fidèles, le Christ-Roi (PBL) - pour les musulmans, identifié au ou assisté du Mahdi (PBL): il y a deux variantes... - accomplit les temps eschatologiques. Extrémisme religieux ? Le texte suivant devrait donner à avancer sur la question...- Cliquez ici pour voir la suite du trop long message introductif:
Le concept de royauté de Droit divin repose sur une vision unitive des trois mondes de l’univers traditionnel : spirituel, subtil et sensible. Mais unitif ne signifie pas syncrétique. Bien au contraire, il n’est opératoire qu’une fois bien discernées les limites de chacun de ses mondes, leurs rapports et les ambiguïtés, parfois complexes, de leurs frontières éminemment vivantes. En l’état actuel de confusion généralisée des valeurs et des faits, la tâche est herculéenne, certes digne des écuries d’Augias, et, disons-le tout de suite, je ne prétends, en aucune manière, l’assurer seul. Tentons, tout de même, d’éclaircir, tant que faire se peut, les pistes de travail les plus sûres.
De prime abord, le monde sensible semble facilement se distinguer, en ce qu’il met en cause les limites de nos sens. Dans les ouvrages anciens, il est, souvent, assimilé au monde visible, le séparant des mondes subtil et spirituel formant, pour leur part, le monde invisible. Mais le monde subtil partage, avec le monde sensible, la caractéristique de ne jamais sortir du contingenté : qu’on évoque le mental ou le psychisme, la raison ou le sentiment, les ondes électromagnétiques, les pouvoirs supranormaux ou quelque « entité » invisible, on ne cesse de faire appel, aussi controversés soient-ils, à des enchaînements de causes et d’effets, à quelque « accident de la substance ».
Par contre, le monde spirituel est un ensemble ouvert, non borné « en haut », s’élevant graduellement, en ses stations supérieures, vers l’Illimité, l’Essence suprême de toute existence, hors de toutes contingences et, cependant, source et aboutissement de toutes. Remarquons qu’un tel Principe, dès lors qu’aucune contingence ne peut l’atteindre, ne constitue, en aucune façon, un parti pris pour ou contre un quelconque théisme. Ni Bouddha ni Lao Tseu, par exemple, n’ont voulu se prononcer à ce sujet, alors que le monothéiste musulman reste confondu, devant l’impénétrable nuit qui couvre l’Essence Divine… Ce qui est, ici, affirmé instruit, de fait, un monisme existentiel d’ordre strictement spirituel, d’où émanent, chacun dualisé, les mondes subtil et sensible. En cette architecture, la moindre réalité séparée apparaît comme un symbole potentiel du monde spirituel dont les modes opératoires demeurent, en grande partie, hors du champ des deux autres. Ceci est d’une importance capitale, dans toutes les sciences traditionnelles.
Quantitatif, qualitatif, rationnel, intelligible, imaginable, initiatique et révélé ordonnent, variablement, ces trois mondes. Si le quantitatif fut, longtemps, l’apanage du monde sensible, le progrès technique, en repoussant l’invisibilité du monde subtil, nous accoutume à mesurer un tant soit peu d’imperceptible, au point, même, de nous offrir diverses théories, apparemment complètes, de l’existence. Ce n’est, évidemment pas, le lieu de discourir sur le bien-fondé ou non de celles-ci. Notons, cependant, que, souvent exclusives, elles ont tendance à dévaloriser le point de vue de nos devanciers, sans toujours prendre le temps d’en mesurer la profondeur qualitative ni méditer sur l’origine empirique, fût-elle lointaine, du moindre procédé d’extension de nos perceptions. On l’oublie trop souvent : le caractère machinal d’une mesure n’assure que sa justesse au regard d’unités relatives, arbitrairement choisies pour le confort de nos sens, voire celui de notre entendement. Car, bien évidemment, le discours du sensible ne devient audible qu’en ce que « quelque faculté impalpable » nous permet d’en saisir sens. Si les diverses mesures et pathologies encéphaliques nous indiquent des probabilités d’existence et de localisation d’activités mentales, la quasi-totalité des qualités humaines – de l’intellection à la foi, du sens de l’identité à celui du don de soi – demeurent, en dépit de l’incessant labeur de spéculateurs forcenés, « inquantifiables », obstinément incluses dans le monde subtil. On les reconnaît, parce qu’on les connaît, en soi-même, et cela constitue la preuve, inébranlable, de leur existence.
Or que connaît-on ? L’éducation, la culture ambiante, les idées dominantes, fondent nos outils de connaissance, nous ouvrant des portes, tout en condamnant d’autres. Telle construction mentale, telle organisation sociale, paraissent, aux uns, d’une évidence universelle, lors que les autres n’y voient qu’absurdités variablement risibles. Pour mériter le titre de savant, il faut avoir passé trente années de sa vie ; ici, à quelque étude toute intellectuelle ; là, dans le côtoiement journalier des « esprits ». Le monde subtil comporte une indéfinité de plans de conscience dont la reconnaissance relève d’un apprentissage et, quels que semblent irréductibles les incompatibilités de genre, toute recherche traditionnelle se doit de considérer ceux-là sans exception ; sinon dans le détail : entreprise illusoire ; du moins, dans leur globalité et dans l’architecture de leurs rapports, quitte à les hiérarchiser. Nous retrouvons, là, la problématique des convictions personnelles de chaque étudiant et nous ne pouvons que renvoyer chacun à l’approfondissement de celles-ci. Cependant, il semble nécessaire de préciser, encore, quelques notions, décisives dans l’univers traditionnel. Ainsi, on n’oubliera pas de situer, en permanence, l’homme comme un état intermédiaire, entre Ciel et Terre, lumière et obscurité, unité et multiplicité. Parmi les nombreux développements possibles de cette représentation, on portera une attention, toute particulière, à la dualité « infra-humain/supra-humain ». Précaution utile, quand trop de conceptions modernes, notamment psychanalytiques, sont tant obnubilées par l’humain qu’elles en viennent à ignorer cette dialectique, surtout en sa partie « céleste », et, donc, « supérieure ».
Enfin, si nous ne trancherons pas sur la nature exacte des plans suggérés par les ordres antérieur traditionnel et postérieur moderne (1) – bien des études devront être menées, bien des points de vue confrontés, avant d’avancer plus avant en ce sens – nous affirmerons, sans détour, que ni l’un ni l’autre ne saurait accaparer le monde spirituel. A ce sujet, il est, tout d’abord, impératif de ne jamais perdre de vue qu’il n’existe aucune hiérarchie spirituelle, entre les divers signes offerts à notre entendement : chacun d’eux symbolise un état particulier de l’être, dans l’intégralité de sa potentialité. Tout procède du Principe, selon diverses lois d’existence, et tout y retourne, selon des voies de réalisation non moins diverses. Cela dit, une certaine confusion de sens tend à imposer, à la pensée, un cloisonnement étanche, entre spirituel et non-spirituel, excluant, par exemple, certaines activités mentales, physiques ou sociales, de toute potentialité spirituelle, et cantonnant d’autres dans le champ, désormais restreint, d’une vie de l’esprit, couramment assimilée à une vue de l’esprit.
On confond, ici, ésotérisme et exotérisme. Les termes sont, malheureusement, fort galvaudés, surtout le premier, fréquemment utilisé pour définir une sorte de poubelle, suspecte et fascinante, d’irrationalités disparates (2). On est, évidemment, fort loin de ce dont il est, en réalité, question. L’éso (ès), c’est, en grec : le dedans ; l’exo (ex) : le dehors. Nous retrouvons, ici, les notions de noyau et membrane, centre et périphérie et l’on peut comprendre, en ces images, la source du mésusage signalé : l’ésotérisme est, nécessairement, un monde secret, non apparent. Mais cela ne signifie, bien évidemment pas, que tout ce qui est caché, voire abscons, soit, nécessairement, ésotérique…
Nous atteignons, maintenant, un point critique du sens de La Tradition. L’emploi de la majuscule permet de ne pas se méprendre. La Tradition avec un grand T n’est rien d’autre que la Voie du retour au Principe ; c’est-à-dire, au Soi de soi-même. Cette Voie, intemporelle et non localisée, peut être abordée de différentes manières adaptées à un temps, voire un lieu, particulier, qui comportent, toutes et dans tous les cas, une face et un dos, une doctrine apparente et une « saveur » secrète. La doctrine s’apprend et appartient, de fait, au monde subtil. On peut l’analyser, la critiquer ou l’accepter toute entière, en un simple élan de foi ; construire, à partir d’elle, une société, un empire, un univers : elle reste, en tous les cas, soumise à la loi du temps et des limitations existentielles ; notamment quand elle anime une religion.
Cependant, l’essentiel de la spiritualité n’est pas là. Pour être connu, il implique un travail de la personne, dans sa globalité, nécessairement initié par un influx transmis par un être réellement accompli, un véritable maître spirituel. Il n’y a pas, ici, de faute d’orthographe : c’est bien le travail qui est initié et son aboutissement dépend de la capacité de la personne à s’y identifier totalement, corps et âme, à, littéralement, s’y perdre. Cela ne se trouve dans aucun livre et bien des maîtres préfèrent l’implication silencieuse à l’explication verbale. La Vérité n’a, en son absolue Totalité, aucun nom. L’humble conscience de cette nécessité situe l’une des plus limitatives bornes de nos engagements. Elle ne les corrompt en aucune manière ; bien au contraire : en les relativisant, elle leur donne à se dire ; sinon, à tout le moins, partager.
Nous voici à l’articulation centrale de mon propos. Pour en entendre la suite, il faut s’arrêter, un instant, sur la notion de personne, « ce qui, en chacun de nous, ne peut être traité comme un objet (3)». « En chacun de nous », est-ce à dire seulement « individu » ? Une telle réduction de sens est banale, aujourd'hui que nous sommes, tout un chacun, « isolé ensemble (4) » en Plus Petite Unité de Consommation (PPUC), pour les besoins de la Reine Marchandise. Mais la personne va bien au-delà de l’indivis d’un corps humain : c’est conscience de soi. Notion gigogne, donc, qui nous transporte, continuellement, du privé au public, du physique au moral, et vice-versa, dans toute une diversité d’enveloppes où les notions de communauté et de parti ont à faire place. Et, bien au-delà, quand elle émerge, enfin, au Soi suprême qui l’a fondée et dont nous portons tous la trace, indélébile, au plus intime de nous-même, bien avant l’apparition de notre ego ; autrement dit, de toute identité sociale.
Sensible, subtile, spirituelle, la personne se révèle ainsi multiples états de l’être (5). Dans quel ordre de priorités et quelles formalités, ces emboîtements de conscience ordonnent-ils un bien commun ? Ici se pose la dialectique, maintes fois éprouvée, entre autonomie et hétéronomie. Des codes ont à s’établir – certains par apprentissage, d’autres par débat – et c’est de l’ampleur des consensus autour d’eux que s’élabore le mouvement de ce bien commun. La perception de celui-ci diffère selon les personnes – individus, familles, communautés de convictions ou d’intérêts, nations, Humanité, planète (Gaïa), cosmos… – et toutes doivent avoir lieux et temps, pour témoigner de leur point de vue, variablement partial, y produire un dynamisme susceptible de participer à l’œuvre commune.
Mais de quelle œuvre parle-ton ? En référence à quelle « hiérarchie » : ordre sacré ; ou « babélarchie » : ordre profane ? Autrement dit, dans quelle balance, entre les faits et les valeurs ? D’aucuns soutiennent, mordicus, que seul le débat en la « chose publique » – la fameuse « res publicae » (république) des Latins – est de nature à régler cet équilibre, alors qu’augmente, exponentiellement, la capacité de nuisance de la communauté des hommes : accroissement démographique, progrès technique, etc. ; dont un despote, même éclairé par quelque oligarchie savante, ne saurait maîtriser seul la complexité ; pire, risquerait fort d’aggraver, par excès de pouvoir. Mais qui – ou quoi… – prit la décision, en ce fameux 19ème siècle charnière de l’organisation politique des Etats, d’engager notre planète dans l’exploitation sans frein de ses ressources ? Personne probablement ; ni roi, ni président, en tout cas, l’un et l’autre garrottés par des considérations beaucoup plus immédiates, notamment financières, dont les bailleurs, obnubilés par leurs chiffres d’affaires, pouvaient, eux, y courber à leur guise peuples et biotopes.
On en est toujours là et nul ne s’aventure à tirer bilan global, pour ne citer qu’un des plus prégnants exemples de cette incurie politique, des quelque cent soixante années d’exploitation industrielle des hydrocarbures. Déjà terrifiante, la note sociale (guerres, maladies génériques, accidents de la route, etc.) est désormais dépassée par sa consœur environnementale (réchauffement planétaire, pollutions plastiques, etc.). On navigue à vue. C’est à de plus en plus court terme que gouverner signifie prévoir et tout à fait symptomatique de l’égarement du pouvoir que représenter soit, aujourd’hui, la fonction centrale d’un chef d’Etat. La dictature de la « chose marchande » ne lui demande, en effet, que d’être le clou de son spectacle. Qu’aurait donc à faire, en cette galère, un roi réputé de Droit divin ? S’il existe réponse à cette question, elle n’a certainement rien à voir avec les ersatz de royauté actuellement en cours sur notre planète, tous précisément réduits à des parures, tout-à-fait conformes à leurs pastiches présidentiels, et tous uniformément formatés aux mêmes diktats du spectaculaire.
Elle suppose un réel rétablissement de la vision unitive des trois mondes dont j’ai esquissé tantôt les grandes lignes. Et, à coup sûr, un événement suffisamment bouleversant pour appeler à une autre direction. De nombreuses eschatologies spécifiques, notamment chrétienne et musulmane, convergent en l’attente d’un tel signe. Il ne peut être, indubitablement selon la Tradition , qu’initié « d’en haut », des plans les plus supérieurs du monde spirituel, et, quelle que soit notre fatigue à supporter les errements de nos actuels gouvernements, on s’égarerait, encore et encore, à croire pouvoir le susciter « d’en bas ». Écartons-nous donc, comme de la peste, des prétendus fondamentalismes appelant à la guerre sainte. Mais nous avons tous devoir – c’est même là, aujourd'hui, la seule noblesse qu’il nous reste – de nous y préparer, en travaillant, chacun en nous-même et, si possible, en concertation avec tout celui ou celle en même quête, à élever notre personne en ses plus hauts degrés, humblement, chaque jour, en chacun de nos actes, chacun de nous selon les meilleurs principes de sa foi. En respectant strictement les formes de celle-ci, il y découvrira, bientôt, en lui-même, que son fond les transcende, rouvrant enfin à l’Uni-vers. Ainsi se construit, invisible et d’autant plus réellement invincible, l’armée du Roi. Ibraluz Juin-Juillet 2019 Notes (1) Allusion, ici, à un autre travail comparant les cosmologies astrologiques « traditionnelle » et « moderne ». (2) Rappelons, à cet égard, la formidable pression exercée par le négatif non-dit de la formule de Hegel : " Tout ce qui est irrationnel est irréel ". (3) Heureuse formule d’Emmanuel Mounier, philosophe chrétien du siècle dernier et fondateur de la revue « Esprit », dans son ouvrage fondamental : Le personnalisme, PUF, Paris, 1949. (4) Guy Debord, aphorisme 172 de son ouvrage majeur : La société du spectacle, Champ Libre, Paris, 1971. (5) Voir, à cet égard, le travail de René Guénon ; notamment : « Les états multiples de l’être », « Le Roi du Monde », « Le symbolisme de la croix » ou, plus global encore mais plus ardu, « Les principes du calcul infinitésimal »… (6) Avec un grand T, au sens, bien évidemment, de ce que j’en ai dit tantôt.
[Mis en "spoiler" par CR84 car :] - LA CHARTE a écrit:
- Les messages introductifs d'un nouveau sujet, eux, ne doivent pas dépasser 15 lignes et ont pour but d'annoncer le sujet : ils seront rappelés au début de chaque nouvelle page du sujet.
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| | | Pétunia Moderateur
| Sujet: Re: La parousie, un extrémisme religieux ? Lun 29 Juil 2019, 16:43 | |
| Peux-tu relire la chartre ? - Citation :
- Les messages introductifs d'un nouveau sujet, eux, ne doivent pas dépasser 15 lignes et ont pour but d'annoncer le sujet : ils seront rappelés au début de chaque nouvelle page du sujet. Le message introductif ne doit donc pas comporter de vidéo ... Il est de plus demandé aux auteurs d'un nouveau sujet d'inscrire la date en haut de leur message !
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| | | Tonton
| Sujet: Re: La parousie, un extrémisme religieux ? Lun 29 Juil 2019, 18:23 | |
| il me semble aussi, qu'il n'est permis d'introduire un sujet qu’après avoir participer 50 fois à ceux qui sont déjà en place. |
| | | Pétunia Moderateur
| Sujet: Re: La parousie, un extrémisme religieux ? Lun 29 Juil 2019, 19:03 | |
| - Tonton a écrit:
- il me semble aussi, qu'il n'est permis d'introduire un sujet qu’après avoir participer 50 fois à ceux qui sont déjà en place.
oui, merci Tonton |
| | | Tonton
| Sujet: Re: La parousie, un extrémisme religieux ? Lun 29 Juil 2019, 19:18 | |
| ben normalement on arrive pas chez quelqu'un avec ses valises et ses meubles. C'est logique. |
| | | Ibralous
| Sujet: lettre et esprit... Lun 29 Juil 2019, 19:33 | |
| Pétunia a écrit : Citation : Les messages introductifs d'un nouveau sujet, eux, ne doivent pas dépasser 15 lignes et ont pour but d'annoncer le sujet : ils seront rappelés au début de chaque nouvelle page du sujet. Le message introductif ne doit donc pas comporter de vidéo ... Il est de plus demandé aux auteurs d'un nouveau sujet d'inscrire la date en haut de leur message !
Tonton a écrit: il me semble aussi, qu'il n'est permis d'introduire un sujet qu’après avoir participer 50 fois à ceux qui sont déjà en place.
Je vous entends bien. J'aurais donc bafoué telle ou telle lettre de notre Charte. L'esprit de notre forum ? A vous de voir... En tout cas, vous semblez, tous les deux, plus empressés à défendre celle-là que celui-ci, et moins encore à commenter mon travail. Serait-il aussi vain qu'inutile ? Il m'était difficile, pour ne pas dire impossible, vous en conviendrez, de le réduire à 15 lignes... s'il s'agit vraiment d'introduire un débat réel sur une question si centrale à la critique de l'extrémisme religieux. Bon courage, en tout cas, dans l'approfondissement de votre foi ! - Tonton a écrit:
- ben normalement on arrive pas chez quelqu'un avec ses valises et ses meubles. C'est logique.
Tu veux dire, Tonton, que je ne suis pas chez moi, en ce forum dont j'ai cependant bien noté, je te rassure, la fondation par des catholiques, en accord avec le magistère de l’église Catholique qui déclare :"Les autres religions qu'on trouve de par le monde s'efforcent d'aller, de façons diverses, au-devant de l'inquiétude du cœur humain en proposant des voies, c'est-à-dire des doctrines, des règles de vie et des rites sacrés. L'Église Catholique ne rejette rien de ce qui est vrai et saint dans ces religions. Elle considère avec un respect sincère ces manières d'agir et de vivre, ces règles et ces doctrines qui, quoiqu'elles différent en beaucoup de points de ce qu'elle-même tient et propose, cependant apportent souvent un rayon de la vérité qui illumine tous les hommes (...) Elle exhorte donc ses fils pour que, avec prudence et charité, par le dialogue et par la collaboration avec ceux qui suivent d'autres religions, et tout en témoignant de la foi et de la vie chrétiennes, ils reconnaissent, préservent et fassent progresser les valeurs spirituelles, morales et socioculturelles qui se trouvent en eux". (« Nostrae Aetate »)... Bon courage, donc, à l'instar de ce que je vous le souhaitais en mon précédent post, dans votre lecture dudit magistère ! |
| | | cailloubleu* Moderateur
| | | | mario-franc_lazur Administrateur - Fondateur
| Sujet: Re: La parousie, un extrémisme religieux ? Mar 30 Juil 2019, 18:55 | |
| - Ibralous a écrit:
Tonton a écrit: il me semble aussi, qu'il n'est permis d'introduire un sujet qu’après avoir participer 50 fois à ceux qui sont déjà en place.
Je vous entends bien. J'aurais donc bafoué telle ou telle lettre de notre Charte. L'esprit de notre forum ? A vous de voir... En tout cas, vous semblez, tous les deux, plus empressés à défendre celle-là que celui-ci, et moins encore à commenter mon travail. Serait-il aussi vain qu'inutile ? Il m'était difficile, pour ne pas dire impossible, vous en conviendrez, de le réduire à 15 lignes... s'il s'agit vraiment d'introduire un débat réel sur une question si centrale à la critique de l'extrémisme religieux. Bon courage, en tout cas, dans l'approfondissement de votre foi !
Ce qu'il faut faire, mon cher IBRALOUS, c'est présenter le sujet dans le message introductif et cela peut se faire en quelques lignes. Pourquoi cette règle ? Parce que ce message introductif est rappelé en haut de chaque page du topic. |
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