Un nuage
c'est d'usage,
un rameau
-c'est bien beau-
suspendus
au dessus
de l'océan
dont le vent
fait vibrer
-c'est piqué-
les feuilles
qu'on éffeuille
Cet espace
-c'est la grâce-
pour iceux
-dans mes yeux-
me revient
-c'est certain-
Etranges
-c'est louanges-,
sacadées
-c'est dédié-
murmures
-c'est bien sûr-
puis un ton
barriton
qui s'en va
-c'est comme ça-
et revient
pas bien loin
Le soleil
-c'est pareil-
s'éteint
-c'est malin-
par moments,
pour un temps,
pour laisser
-c'est biaisé-
sa place
qui enlace
aux éclairs
-laisse faire-
relançant
-c'est tentant-
l'épopée
racontée
du vaisseau
-c'est très beau-
qui portait
-c'est portrait-
l'Ilote
-redingote-
enchainé
par les pieds
et les mains
-parchemins-
pour avoir
-c'est vouloir-
reconnu
au dessus
son bon dieu
dans les cieux
Sous les flôts
-c'est idiot-
sa pensée
témoignée
se repose
en une pose
en témoin
-c'est malin-
où mille
-ça fourmille-
et une
-c'est chacunes-
créatures
- c'est tonssures-
lui rendent
-c'est offrande-
hommage
-c'est dommage-
la journée
-ajournée-
m'échappe
-c'est une chape-
Je n'ai pas
c'est comme ça
remarqué
-c'est parqué-
le soleil,
son pareil
se coucher
-hébété-
Je dirais
-c'est dire vrai-
seulement
à présent
que l'azur
-c'est bien sûr-
a fermé,
éclipsé
son livre
-il faut vivre-
pour tous ceux
-c'est tant mieux-
qui veulent
- c'est pas veule-
acquérir
-c'est suffire-
le bon sens
et l'essence
de la vie
par ici
Merveilleux
-c'est tant mieux-
inlassable,
increvable
est le tour
-cet atour-
continu,
absolu
du cycle,
d'l'hémicycle,
éternel,
usuel