YASMINA KHADRA

Yasmina Khadra à Herve



12 Mai 2010

DEPECHES CATHOBEL - BELGIQUE - Herve

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Invité par les professeurs de français du Collège Marie-Thérèse, l'écrivain algérien a fait part de son art littéraire devant quelque trois cents personnes qui ont bu littéralement son message profondément humaniste. Le lendemain Yasmina Khadra doit rencontrer les deux cents finalistes de l'école qui ont étudié ses livres et se sont préparés cette rencontre privilégiée.
Yasmine Khadra a fait part de sa vocation, de son besoin d'écrire et de communiquer. Né en Algérie en 1955, son père, dès l'âge de neuf ans l'inscrit dans une école militaire. C'est là par besoin de liberté et d'évasion au-delà des murs de l'enceinte qu'il lit beaucoup et se met à écrire. Aujourd'hui il est universellement connu, apprécié et invité à des rencontres dans tous les continents. Ses livres sont traduits dans 34 langues. Il se déclare parfaitement bilingue, épousant entièrement le génie tant oriental qu'occidental. Longuement interrogé sur l'Algérie, la guerre, l'islam, l'islamisme, le voile et la burqua, il se révèle être un homme d'écoute, d'accueil, sans concession avec le terrorisme, mais porteur du désir d'unir, d'appeler à la confiance et de sortir les gens de leur enfermement. « Aller vers l'autre c'est s'ouvrir à son jumeau ». Lors d'une rencontre avec un journaliste il disait : « je ne suis pas un messager, je suis un homme alerte, vigilant, qui voit le monde courir à sa perte et qui essaye de réagir. Je sais combien les gens sont abusés par les raccourcis médiatiques et les stéréotypes politiques et, armé de mon expérience et de mon amour de l'homme, j'essaye de calmer les esprits en remettant chaque chose dans son contexte. Je tente de rassurer les intelligences, d'éveiller les consciences et de mobiliser les esprits autour d'un merveilleux idéal qui s'appelle : la vie. Les gens, souvent, ne se rendent pas compte de la chance qu'ils ont d'être en vie. La vie est tellement précieuse qu'il devient impératif, obsessionnel de la préserver ».
"L'écrivain, comme tout artiste, doit parler alors que très souvent les intellectuels aujourd'hui se taisent trop préoccupés de la promotion de leur propre image. Oui, l'art est un chemin vers l'homme, le spirituel et l'universel."
Ctb/GM

rosedumatin a écrit:

Yasmina Khadra à Herve



12 Mai 2010

DEPECHES CATHOBEL - BELGIQUE - Herve

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Invité par les professeurs de français du Collège Marie-Thérèse, l'écrivain algérien a fait part de son art littéraire devant quelque trois cents personnes qui ont bu littéralement son message profondément humaniste. Le lendemain Yasmina Khadra doit rencontrer les deux cents finalistes de l'école qui ont étudié ses livres et se sont préparés cette rencontre privilégiée.
Yasmine Khadra a fait part de sa vocation, de son besoin d'écrire et de communiquer. Né en Algérie en 1955, son père, dès l'âge de neuf ans l'inscrit dans une école militaire. C'est là par besoin de liberté et d'évasion au-delà des murs de l'enceinte qu'il lit beaucoup et se met à écrire. Aujourd'hui il est universellement connu, apprécié et invité à des rencontres dans tous les continents. Ses livres sont traduits dans 34 langues. Il se déclare parfaitement bilingue, épousant entièrement le génie tant oriental qu'occidental. Longuement interrogé sur l'Algérie, la guerre, l'islam, l'islamisme, le voile et la burqua, il se révèle être un homme d'écoute, d'accueil, sans concession avec le terrorisme, mais porteur du désir d'unir, d'appeler à la confiance et de sortir les gens de leur enfermement. « Aller vers l'autre c'est s'ouvrir à son jumeau ». Lors d'une rencontre avec un journaliste il disait : « je ne suis pas un messager, je suis un homme alerte, vigilant, qui voit le monde courir à sa perte et qui essaye de réagir. Je sais combien les gens sont abusés par les raccourcis médiatiques et les stéréotypes politiques et, armé de mon expérience et de mon amour de l'homme, j'essaye de calmer les esprits en remettant chaque chose dans son contexte. Je tente de rassurer les intelligences, d'éveiller les consciences et de mobiliser les esprits autour d'un merveilleux idéal qui s'appelle : la vie. Les gens, souvent, ne se rendent pas compte de la chance qu'ils ont d'être en vie. La vie est tellement précieuse qu'il devient impératif, obsessionnel de la préserver ».
"L'écrivain, comme tout artiste, doit parler alors que très souvent les intellectuels aujourd'hui se taisent trop préoccupés de la promotion de leur propre image. Oui, l'art est un chemin vers l'homme, le spirituel et l'universel."
Ctb/GM

BIEN, BIEN, ce Yasmina Khadra ..

Je ne connaissais pas !!!

mario-franc_lazur a écrit:

rosedumatin a écrit:

Yasmina Khadra à Herve



12 Mai 2010

DEPECHES CATHOBEL - BELGIQUE - Herve

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Invité par les professeurs de français du Collège Marie-Thérèse, l'écrivain algérien a fait part de son art littéraire devant quelque trois cents personnes qui ont bu littéralement son message profondément humaniste. Le lendemain Yasmina Khadra doit rencontrer les deux cents finalistes de l'école qui ont étudié ses livres et se sont préparés cette rencontre privilégiée.
Yasmine Khadra a fait part de sa vocation, de son besoin d'écrire et de communiquer. Né en Algérie en 1955, son père, dès l'âge de neuf ans l'inscrit dans une école militaire. C'est là par besoin de liberté et d'évasion au-delà des murs de l'enceinte qu'il lit beaucoup et se met à écrire. Aujourd'hui il est universellement connu, apprécié et invité à des rencontres dans tous les continents. Ses livres sont traduits dans 34 langues. Il se déclare parfaitement bilingue, épousant entièrement le génie tant oriental qu'occidental. Longuement interrogé sur l'Algérie, la guerre, l'islam, l'islamisme, le voile et la burqua, il se révèle être un homme d'écoute, d'accueil, sans concession avec le terrorisme, mais porteur du désir d'unir, d'appeler à la confiance et de sortir les gens de leur enfermement. « Aller vers l'autre c'est s'ouvrir à son jumeau ». Lors d'une rencontre avec un journaliste il disait : « je ne suis pas un messager, je suis un homme alerte, vigilant, qui voit le monde courir à sa perte et qui essaye de réagir. Je sais combien les gens sont abusés par les raccourcis médiatiques et les stéréotypes politiques et, armé de mon expérience et de mon amour de l'homme, j'essaye de calmer les esprits en remettant chaque chose dans son contexte. Je tente de rassurer les intelligences, d'éveiller les consciences et de mobiliser les esprits autour d'un merveilleux idéal qui s'appelle : la vie. Les gens, souvent, ne se rendent pas compte de la chance qu'ils ont d'être en vie. La vie est tellement précieuse qu'il devient impératif, obsessionnel de la préserver ».
"L'écrivain, comme tout artiste, doit parler alors que très souvent les intellectuels aujourd'hui se taisent trop préoccupés de la promotion de leur propre image. Oui, l'art est un chemin vers l'homme, le spirituel et l'universel."
Ctb/GM

BIEN, BIEN, ce Yasmina Khadra ..

Je ne connaissais pas !!!

Cher Mario !!!!!!!!! [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Il faut bien que je t'épate de temps à autre sinon je serai en reste ! [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

rosedumatin a écrit:

Il faut bien que je t'épate de temps à autre sinon je serai en reste ! [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Et moi aussi je vais essayer d'épater le monde, en vous révélant que Yasmina Khadra (arabe ياسمينة خضراء qui signifie « jasmin vert ») est en fait le pseudonyme de l'écrivain algérien Mohammed Moulessehoul, né le 10 janvier 1955 à Kenadsa dans la wilaya de Bechar dans le Sahara algérien (alors en Algérie française).

Notre frère LA REPONSE doit le connaître !!!


Je sais aussi ( VIVE WIKIPEDIA [publicité gratuite]) qu'il a été officier dans l'armée algérienne, il démissionne en 2000, pour se consacrer à sa vocation : l' écriture, et choisit de s'exprimer en langue française. En 2002 dans "L'imposture des mots", Khadra-Moullessehoul répond aux attaques qui fustigent son passé militaire.

Il choisit de rendre hommage aux femmes algériennes et à son épouse en particulier, en prenant ses deux prénoms, Yasmina Khadra, et ne révèle son identité masculine qu'en 2001 avec la parution de son roman autobiographique "L'Écrivain" et son identité tout entière dans "L'imposture des mots" en 2002. Or à cette époque ses romans ont déjà touché un grand nombre de lecteurs et de critiques.

Un grand Algérien et un grand homme !

pinson a écrit:

rosedumatin a écrit:

Il faut bien que je t'épate de temps à autre sinon je serai en reste ! [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Et moi aussi je vais essayer d'épater le monde, en vous révélant que Yasmina Khadra (arabe ياسمينة خضراء qui signifie « jasmin vert ») est en fait le pseudonyme de l'écrivain algérien Mohammed Moulessehoul, né le 10 janvier 1955 à Kenadsa dans la wilaya de Bechar dans le Sahara algérien (alors en Algérie française).

Notre frère LA REPONSE doit le connaître !!!


Je sais aussi ( VIVE WIKIPEDIA [publicité gratuite]) qu'il a été officier dans l'armée algérienne, il démissionne en 2000, pour se consacrer à sa vocation : l' écriture, et choisit de s'exprimer en langue française. En 2002 dans "L'imposture des mots", Khadra-Moullessehoul répond aux attaques qui fustigent son passé militaire.

Il choisit de rendre hommage aux femmes algériennes et à son épouse en particulier, en prenant ses deux prénoms, Yasmina Khadra, et ne révèle son identité masculine qu'en 2001 avec la parution de son roman autobiographique "L'Écrivain" et son identité tout entière dans "L'imposture des mots" en 2002. Or à cette époque ses romans ont déjà touché un grand nombre de lecteurs et de critiques.

Un grand Algérien et un grand homme !

Pinson, tu es adorable, mon coeur fond....... tu étais jaloux de Mario ?????

Eh bien voilà que toi aussi tu viens de m'épater vraiment..... et quel souffle rafraichissant tu es sur ce forum.........

Oh dis !!!!!!!! descends plus souvent de ta branche...... j'ai remarqué ton absence..... bon cela ne me regarde pas...... et ta fraicheur de ton m'a manqué !

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rosedumatin a écrit:

pinson a écrit:

rosedumatin a écrit:

Il faut bien que je t'épate de temps à autre sinon je serai en reste ! [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Et moi aussi je vais essayer d'épater le monde, en vous révélant que Yasmina Khadra (arabe ياسمينة خضراء qui signifie « jasmin vert ») est en fait le pseudonyme de l'écrivain algérien Mohammed Moulessehoul, né le 10 janvier 1955 à Kenadsa dans la wilaya de Bechar dans le Sahara algérien (alors en Algérie française).

Notre frère LA REPONSE doit le connaître !!!


Je sais aussi ( VIVE WIKIPEDIA [publicité gratuite]) qu'il a été officier dans l'armée algérienne, il démissionne en 2000, pour se consacrer à sa vocation : l' écriture, et choisit de s'exprimer en langue française. En 2002 dans "L'imposture des mots", Khadra-Moullessehoul répond aux attaques qui fustigent son passé militaire.

Il choisit de rendre hommage aux femmes algériennes et à son épouse en particulier, en prenant ses deux prénoms, Yasmina Khadra, et ne révèle son identité masculine qu'en 2001 avec la parution de son roman autobiographique "L'Écrivain" et son identité tout entière dans "L'imposture des mots" en 2002. Or à cette époque ses romans ont déjà touché un grand nombre de lecteurs et de critiques.

Un grand Algérien et un grand homme !

Pinson, tu es adorable, mon coeur fond....... tu étais jaloux de Mario ?????

Eh bien voilà que toi aussi tu viens de m'épater vraiment..... et quel souffle rafraichissant tu es sur ce forum.........

Oh dis !!!!!!!! descends plus souvent de ta branche...... j'ai remarqué ton absence..... bon cela ne me regarde pas...... et ta fraicheur de ton m'a manqué !

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Oui je connait certaines personnes de sa famille mais je n'ai pas encore eu l'honneur de le connaitre personnellement."Au fil des années, le succès de Yasmina Khadra ne se dément pas. Derrière ce pseudonyme féminin, se cache un officier supérieur de l'armée algérienne, Mohammed Moulessehoul, qui décide un jour de prendre sa retraite et de se consacrer entièrement à l'écriture. Né d'un père infirmier et d'une mère nomade, il est confié à une institution militaire à l'âge de neuf ans, d'où il sort sous-lieutenant."

Petite question sans importance :

Dans quelle ville de Belgique se trouve ce Collège Marie-Thérèse ?

pinson a écrit:

Petite question sans importance :

Dans quelle ville de Belgique se trouve ce Collège Marie-Thérèse ?

Ce collège se trouve à Herve !

J'ai entendu parlé de cette homme, Yasmina c'est le nom de sa femme je croit, j'ai jamais lu un de c'est livres, je sait pas pourquoi sa me tente pas trop.

kamal a écrit:

J'ai entendu parlé de cette homme, Yasmina c'est le nom de sa femme je croit, j'ai jamais lu un de c'est livres, je sait pas pourquoi sa me tente pas trop.

Bonjour, Kamal, il y avait longtemps !!! Comment vas-tu ?


Pour acheter et lire un livre, il faut en effet en avoir envie .

Mais ce post portait en fait sur des extraits à commenter, à l'occasion d'un conférence tenue en Belgique ; et pas sur ses livres en général !!!


Bonne journée, mon ami .