Éducation nationale

Un prêtre racontait une histoire qui s'est passée pendant son enfance (probablement à la fin des années 1950). Deux garçons du collège catholique de son village avaient volé une moto. Il se sont baladés, après quoi ils avaient abandonné le deux-roues dans un endroit au hasard d'où il a été récupéré finalement par le propriétaire. Un peu avarié mais pas de gros dégâts. Le directeur les a punis en les mettant devant l'école, chacun avec une plaque pendue à leur cou : « Nous sommes deux voleurs » et « Nous avons volé une moto » (je reproduis de mémoire) et il sont restés ainsi le reste de la journée. À notre époque, cela serait invraisemblable. Même si cela arrivait, ce prêtre se verrait vite puni autant par l'Éducation Nationale que par l'Église.
Je me pose la question si les piétons qui verraient la scène (pour ne pas parler de la presse comme il faut) ne prendraient pas le parti des voleurs, en voyant dans le prêtre encore un persécuteur en soutane qui a l'habitude d'humilier les pauvres petits gosses qui, sans doute, ne bénéficient pas d'une moto à la maison.

joseph1 a écrit:

Un prêtre racontait une histoire qui s'est passée pendant son enfance (probablement à la fin des années 1950). Deux garçons du collège catholique de son village avaient volé une moto. Il se sont baladés, après quoi ils avaient abandonné le deux-roues dans un endroit au hasard d'où il a été récupéré finalement par le propriétaire. Un peu avarié mais pas de gros dégâts. Le directeur les a punis en les mettant devant l'école, chacun avec une plaque pendue à leur cou : « Nous sommes deux voleurs » et « Nous avons volé une moto » (je reproduis de mémoire) et il sont restés ainsi le reste de la journée. À notre époque, cela serait invraisemblable. Même si cela arrivait, ce prêtre se verrait vite puni autant par l'Éducation Nationale que par l'Église.
Je me pose la question si les piétons qui verraient la scène (pour ne pas parler de la presse comme il faut) ne prendraient pas le parti des voleurs, en voyant dans le prêtre encore un persécuteur en soutane qui a l'habitude d'humilier les pauvres petits gosses qui, sans doute, ne bénéficient pas d'une moto à la maison.

Oui, Histoire intéressante. Qu'en penser ?

mario-franc_lazur a écrit:

joseph1 a écrit:

Un prêtre racontait une histoire qui s'est passée pendant son enfance (probablement à la fin des années 1950). Deux garçons du collège catholique de son village avaient volé une moto. Il se sont baladés, après quoi ils avaient abandonné le deux-roues dans un endroit au hasard d'où il a été récupéré finalement par le propriétaire. Un peu avarié mais pas de gros dégâts. Le directeur les a punis en les mettant devant l'école, chacun avec une plaque pendue à leur cou : « Nous sommes deux voleurs » et « Nous avons volé une moto » (je reproduis de mémoire) et il sont restés ainsi le reste de la journée. À notre époque, cela serait invraisemblable. Même si cela arrivait, ce prêtre se verrait vite puni autant par l'Éducation Nationale que par l'Église.
Je me pose la question si les piétons qui verraient la scène (pour ne pas parler de la presse comme il faut) ne prendraient pas le parti des voleurs, en voyant dans le prêtre encore un persécuteur en soutane qui a l'habitude d'humilier les pauvres petits gosses qui, sans doute, ne bénéficient pas d'une moto à la maison.

Oui, Histoire intéressante. Qu'en penser ?

Et que penser de cette autre histoire  ?

un professeur condamné pour une "tape dans le dos" d'une élève

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joseph1 a écrit:

un professeur condamné pour une "tape dans le dos" d'une élève

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L’enseignant a été condamné à 100 jours amende à 5€ chacun. Le juge a expliqué avoir considéré "que l’acte était intentionnel, même accompli sur l’ordre de la plaisanterie ou de la réprimande, et avait pu porter atteinte à l’intégrité de l’élève". Le professeur compte faire appel.

Qu'entend donc par l'intégrité de l'élève ?

mario-franc_lazur a écrit:

joseph1 a écrit:

un professeur condamné pour une "tape dans le dos" d'une élève

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L’enseignant a été condamné à 100 jours amende à 5€ chacun. Le juge a expliqué avoir considéré "que l’acte était intentionnel, même accompli sur l’ordre de la plaisanterie ou de la réprimande, et avait pu porter atteinte à l’intégrité de l’élève". Le professeur compte faire appel.

Qu'entend donc par l'intégrité de l'élève ?

Certainement l'intégrité physique de l'élève qui n'a pas supporté qu'un homme lui tape l'épaule, c'est du moins ce que je suppose puisqu'on ne connait pas le délibéré exact du tribunal avec tous les entendus.

D'après les camarades de classe de l'élève ce n'était pas une tape très forte et elle n'aurait pas claqué très fort non plus.

Aux USA en Californie, un professeur a frappé un élève qui venait de le traiter de " nègre", et quand je dis frapper c'est plutôt dérouiller qu'il faudrait dire. Tout a commencé par une tenue mal appropriée pour venir en cours, selon le professeur. Marston Miley, 64 ans, qui a ainsi demandé à l’adolescent de quitter sa classe.

Selon le Washington Post, qui rapporte cette affaire, le jeune homme s’est levé mais au lieu d’obéir, il a jeté un ballon de basket sur l’enseignant et l’a insulté, en le traitant plusieurs fois de « nègre ».

Une cagnotte pour venir en aide à ce professeur a été ouverte par des collègues, des parents d'élève et aussi par des élèves de ce professeur très estimé. Cette collecte de fonds, dont le slogan est « Les professeurs méritent le respect » a déjà permis de récolter plus de 135 000 dollars.

L' article ci-dessous de la revue " Causeur" intéressera tous les parents d' élèves. En particulier les croyants, chrétiens ou musulmans, seront à mon sens plus particulièrement attentifs aux passages se rapportant à la diffusion de diverses idéologies, en lieu et place des apprentissages fondamentaux.

Le lien avec l' article :
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