Pourquoi on a convoqué le premier concile 48?

C'est la question

bon croyant a écrit:

C'est la question

parce qu'il y a eu un concile en 48 ?

Donne le lien dans ce cas.

Car, je peux me tromper, mais :


Le premier concile de Nicée est un concile général des évêques de l'Empire romain qui se tint à Nicée en Bithynie, sur convocation de Constantin Ier, du 20 mai au 25 juillet 325, sous les patriarcats de Sylvestre de Rome, d'Alexandre d'Alexandrie, d'Eustathe d'Antioche, d'Alexandre de Constantinople et de Macaire de Jérusalem.

Pétunia a écrit:

parce qu'il y a eu un concile en 48 ?

Je suppose que c'est le Concile de Jérusalem dont il est question qui s'est tenu sur plusieurs années entre 49 et 50 pour la première partie et entre 52 et 58 (?) en seconde partie. Et tu vas voir c'est encore Paul qui est sur la sellette, lui qui n'était pas présent et a connu le résultat de ces discussions qu'à son retour en 58.

Lucie21 a écrit:

Pétunia a écrit:

parce qu'il y a eu un concile en 48 ?

Je suppose que c'est le Concile de Jérusalem dont il est question qui s'est tenu sur plusieurs années entre 49 et 50 pour la première partie et entre 52 et 58 (?) en seconde partie. Et tu vas voir c'est encore Paul qui est sur la sellette, lui qui n'était pas présent et a connu le résultat de ces discussions qu'à son retour en 58.

Merci Lucie, oui tu as raison, je n'y ai pas pensé.. 

Du coup, c'est aussi la circoncision qui va revenir également...

Voici le texte que j'ai trouvé :

Citation :

LE CONCILE DE JÉRUSALEM

Vers 48, se pose à Antioche la question de l’opportunité de la circoncision pour les non-juifs, lorsque des chrétiens arrivés de Judée dénoncent la « liberté acquise dans le Christ Jésus », que Paul et Barnabé invoquent pour ne pas imposer ce rite aux chrétiens venus du paganisme. La communauté décide alors de demander l’arbitrage des apôtres et des anciens de Jérusalem, et y envoie Paul et Barnabé, ainsi que leur compagnon grec, Tite, accompagnés par une délégation.

Apôtres et Anciens de Jérusalem acceptent Tite, « non circoncis », reconnaissant par là la validité de l’annonce de Paul concernant la liberté de la grâce. Ils désignent aussi les principaux responsables de l’Église et reconnaissent la vocation missionnaire de Pierre, pour les circoncis, et de Paul, pour les incirconcis. Ce discernement fonde une sorte de partage du champ missionnaire : les « colonnes » de l’Église – Jacques, Képhas et Jean – évangéliseront les Juifs, et Paul et Barnabé, les païens.

L’INCIDENT D’ANTIOCHE

L’incident survenu lors de la visite de Pierre à Antioche témoigne de la rectitude de Paul, pour qui la vérité de l’Évangile ne souffre pas d’accommodation. De quoi s’agit-il ? Un chrétien juif circoncis ne pouvait alors s’asseoir à la table d’un chrétien païen sans encourir d’impureté. Or, dans le contexte d’Antioche, Pierre témoigne de la primauté en la foi au Christ qui rassemble tous les hommes et y contrevient… jusqu’à l’arrivée de chrétiens envoyés par Jacques qui préside à la communauté de Jérusalem ; il dissimule alors ses sentiments. Paul se dresse : « Je lui résistai en face, car il avait tort ».

Le compromis décidé à Jérusalem préservait l’existence des communautés mixtes, tout en refusant la pleine communion entre circoncis et incirconcis, telle que Paul l’avait prêchée dans les jeunes Églises d’Asie mineure. Paul rejette ce compromis avec indignation : le salut de Jésus-Christ est donc considéré comme secondaire ? Paul revendique la vie nouvelle dans la foi, le don de l’Esprit et l’antériorité de la promesse divine sur la loi… La rupture est brutale : avec Jacques et l’Église de Jérusalem, avec Pierre et Barnabé, hésitants, qui se rallient à Jacques, avec l’Église d’Antioche elle-même qui entérine ce compromis (Ac 15,40). Seul, Silas le suivra. Après ce long noviciat de 15 ans, une nouvelle période s’ouve pour Paul.

D'ailleurs je ne comprends pas pourquoi une polémique autour de la circoncision, d'autant plus que plus aucun homme n'est circoncis comme l'a été Abraham et les Juifs jusqu'à l'invasion des romains, sauf peut-être ceux qui le sont dès leur naissance.

Lucie21 a écrit:

D'ailleurs je ne comprends pas pourquoi une polémique autour de la circoncision, d'autant plus que plus aucun homme n'est circoncis comme l'a été Abraham et les Juifs jusqu'à l'invasion des romains, sauf peut-être ceux qui le sont dès leur naissance.

ou pour des raisons médicales.

En tout cas, quand c'est un choix, il n'y a pas de raison de polémiquer, tu as raison.

Pétunia a écrit:

bon croyant a écrit:

C'est la question

parce qu'il y a eu un concile en 48 ?

Donne le lien dans ce cas.

Car, je peux me tromper, mais :


Le premier concile de Nicée est un concile général des évêques de l'Empire romain qui se tint à Nicée en Bithynie, sur convocation de Constantin Ier, du 20 mai au 25 juillet 325, sous les patriarcats de Sylvestre de Rome, d'Alexandre d'Alexandrie, d'Eustathe d'Antioche, d'Alexandre de Constantinople et de Macaire de Jérusalem.

le premier concile est celui de Jérusalem 48. les Actes en font mention

Lucie21 a écrit:

Pétunia a écrit:

parce qu'il y a eu un concile en 48 ?

Je suppose que c'est le Concile de Jérusalem dont il est question qui s'est tenu sur plusieurs années entre 49 et 50 pour la première partie et entre 52 et 58 (?) en seconde partie. Et tu vas voir c'est encore Paul qui est sur la sellette, lui qui n'était pas présent et a connu le résultat de ces discussions qu'à son retour en 58.

Paul n'y était pas présent par méfiance de lui. Ce concile a été convoqué sur déposition de Jean appelé Marc qui accompagnait Paul dans son premier voyage missionnaire

bon croyant a écrit:

le premier concile est celui de Jérusalem 48. les Actes en font mention

bon croyant, si tu lisais ce qu'on écrit, tu saurais que nous l'avons dit, c'est Lucie qui a trouvé et j'ai mis le texte à10h42.

Pétunia a écrit:

bon croyant a écrit:

le premier concile est celui de Jérusalem 48. les Actes en font mention

bon croyant, si tu lisais ce qu'on écrit, tu saurais que nous l'avons dit, c'est Lucie qui a trouvé et j'ai mis le texte à10h42.

Quels sont les raisons de sa convocation , c'est là la question

bon croyant a écrit:

Pétunia a écrit:

bon croyant, si tu lisais ce qu'on écrit, tu saurais que nous l'avons dit, c'est Lucie qui a trouvé et j'ai mis le texte à10h42.

Quels sont les raisons de sa convocation , c'est là la question

Lucie et Pétunia ont répondu à ta question.

Merci de lire leurs réponses

bon croyant a écrit:

Pétunia a écrit:

bon croyant, si tu lisais ce qu'on écrit, tu saurais que nous l'avons dit, c'est Lucie qui a trouvé et j'ai mis le texte à10h42.

Quels sont les raisons de sa convocation , c'est là la question

Mardi 6 juillet à 10h42 Pétunia a répondu à la question, relis un peu plus haut et ensuite par politesse, remercies-là par courtoisie

Skander a écrit:

bon croyant a écrit:

Quels sont les raisons de sa convocation , c'est là la question

Mardi 6 juillet à 10h42 Pétunia a répondu à la question, relis un peu plus haut et ensuite par politesse, remercies-là par courtoisie

bon croyant ne lit pas ce qu'on écrit !! A quoi bon lui répondre ??

Hier à 22h45, je lui ai remis ceci :

bon croyant, si tu lisais ce qu'on écrit, tu saurais que nous l'avons dit, c'est Lucie qui a trouvé et j'ai mis le texte à10h42.

Il n'y a jamais eu de concile en 48, pourquoi ?

On a appelé cette période qui s'étend de 49 et 57-58 de différentes façons : Concile de Jérusalem, Assemblées de Jérusalem, Réunion de Jérusalem ou encore Concile des Apôtres. Et c'est bien après leurs tenues qu'on les a appelées ainsi.

Ce sont des discussions qui se sont tenues après la conversion du centurion Corneille par Pierre (et non c'est pas Paul).

La question principale était de savoir si l'on devait devenir Juif pour devenir chrétien c'est-à-dire : est-ce que la foi était suffisante ou bien fallait-il être sous la loi pour devenir chrétien.

Et finalement, c'est Jacques (frère de Jésus) qui, pourtant en faveur de la loi, va donner raison à Pierre qui était en faveur de la foi, en donnant tord aux chrétiens issus du pharisianisme en écartant l'obligation de la circoncision avant le baptême et en allégeant les interdits au strict minimum pour les chrétiens issus des nations soit : interdiction de manger des viandes non saignées, interdiction de faire des sacrifices à des idoles, interdiction de la fornication.

Par contre, je rajoute personnellement, Jésus-Christ nous a donné deux lois qui sont :

- Tu aimeras ton Dieu de toutes tes forces et de toute ton âme

- Tu aimeras ton prochain comme toi-même

Si l'on aime Dieu de toutes ses forces et de toute son âme, on aime également son prochain fait à l'image de Dieu.

Et si l'on aime son prochain comme soi-même, en grande majorité, les lois juives (à part peut-être les lois juridiques, et encore) sont respectées.

Et au sujet de la circoncision qui tient tant à cœur notre bon croyant, elle n'a plus aucune valeur aux yeux de Dieu puisque depuis l'invasion romaine de la Judée, les Juifs ont cessés de pratiquer celle demandée par Dieu à Abraham, et ainsi Juifs, musulmans, chrétiens qui la pratiquent, pratiquent celle que les païens pratiquaient et pratiquent toujours.

Lucie21 a écrit:

Et au sujet de la circoncision qui tient tant à cœur notre bon croyant, elle n'a plus aucune valeur aux yeux de Dieu puisque depuis l'invasion romaine de la Judée, les Juifs ont cessés de pratiquer celle demandée par Dieu à Abraham, et ainsi Juifs, musulmans, chrétiens qui la pratiquent, pratiquent celle que les païens pratiquaient et pratiquent toujours.

Chère Lucie pourrais-tu développer ta dernière phrase, ce qui est en gras et ce qui est souligné s'il te plaît car je suis très ignorante sur ce point et ça m'intéresse beaucoup.

Lucie21 a écrit:

Et finalement, c'est Jacques (frère de Jésus) qui, pourtant en faveur de la loi, va donner raison à Pierre qui était en faveur de la foi, en donnant tord aux chrétiens issus du pharisianisme en écartant l'obligation de la circoncision avant le baptême et en allégeant les interdits au

Et ma chère Lucie comment tu expliques ceci :"Mais lorsque Céphas vint à Antioche, je lui résistai en face, parce qu'il était répréhensible.12. En effet, avant l'arrivée de quelques personnes envoyées par Jacques, il mangeait avec les
païens; et, quand elles furent venues, il s'esquiva et se tint à l'écart, par crainte des circoncis.
13. Avec lui les autres Juifs usèrent aussi de dissimulation, en sorte que Barnabas même fut
entraîné par leur hypocrisie" Aux Galates 2/11-15

La vraie cause du concile de Jérusalem : Barnabas et Marc (l'évangéliste) n'avaient rien en commun avec Paul

Actes :" Barnabas voulait emmener aussi Jean, surnommé Marc; 38. mais Paul jugea plus convenable de ne pas prendre avec eux celui qui les avait quittés depuis la Pamphylie, et qui ne les avait point accompagnés dans leur oeuvre. 39. Ce dissentiment fut assez vif pour être cause qu'ils se séparèrent l'un de l'autre. Et Barnabas, prenant Marc avec lui, s'embarqua pour l'île de Chypre.


Saint Marc (l'évangéliste) connaissait bien les intentions de Paul désastreuses pour le message de l'évangile .

Lucie21 a écrit:

Et finalement, c'est Jacques (frère de Jésus) qui, pourtant en faveur de la loi, va donner raison à Pierre qui était en faveur de la foi, en donnant tord aux chrétiens issus du pharisianisme en écartant l'obligation de la circoncision avant le baptême et en allégeant les interdits au strict minimum pour les chrétiens issus des nations soit : interdiction de manger des viandes non saignées, interdiction de faire des sacrifices à des idoles, interdiction de la fornication.

Paul et les apôtres se sont finalement rangés du côté de la Foi, montrant en cela qu'ils avaient totalement compris le message de Jésus et qu'ils ne voulaient en rien le dénaturer.

--Dans tous les évangiles on voit Jésus critiquer les représentants de la loi inflexible et hypocrite: les pharisiens.

--Dans tous les évangiles on voit Jésus partager les repas de la foule dans la plus grande promiscuité. Il n'est dégoûté par personne

19 Le Fils de l'homme est venu, mangeant et buvant, et ils disent: C'est un mangeur et un buveur, un ami des publicains et des gens de mauvaise vie. Mais la sagesse a été justifiée par ses oeuvres.
Matthieu 11 19

-- Partout on voit Jésus guérir tous les gens qu'ils soient juifs ou non.

- La Cananénne qui voulait qu'il guérisse sa fille

- le centurion romain qui demandait la guérison de son serviteur.

- le Samaritain qui est le seul lépreux à remercier Jésus de sa guérison

- ajoutons la parabole du bon Samaritain

-- dans le sermon sur la montagne, il n'y a aucun critère de respect de la loi pour être admis parmi les brebis, mais uniquement de la charité, nourrir,  vêtir, les pauvres, visiter les malades et les prisonniers, être doux et juste. La Loi passe après.

Ceci est l'essentiel du message de Jésus, c'est ce qu'il a dit lui-même et c'est l'essence du christianisme. Il est réjouissant de voir que grâce à la fidélité des apôtres et de Paul ce message nous soit parvenu.

Personnellement tout en résumant les paroles et les actions  de Jésus, je garde en tête qu'il y a toujours plusieurs niveaux de lecture dans la Bible. Il y a le sens littéral et le sens symbolique.

Le fait de manger et de boire avec tout le monde quelle que soit sa religion ou son origine juive ou étrangère  ou sa position sociale a un sens propre: Jésus a l'esprit ouvert et ne fait aucune discrimination envers personne. Il ne s'estime pas pollué d'avoir mangé avec un non juif.

Ensuite  il est question de boire et de manger et donc suivant les sens symboliques il est question de partager son enseignement: de partager la nourriture spirituelle. C'est repris aussi avec la multiplication des pains.

Le message est donc constamment souligné que Jésus s'adresse à tout le monde et non pas aux seuls Juifs.

Si un Musulman le considère véritablement comme un prophète il devrait retenir ce message aussi.

cailloubleu* a écrit:

. Il ne s'estime pas pollué d'avoir mangé avec un non juif.

Jésus ne permettait pas aux non-juifs de le suivre. souvent il les qualifiait de porc et de chiens

bon croyant a écrit:

cailloubleu* a écrit:

. Il ne s'estime pas pollué d'avoir mangé avec un non juif.

Jésus ne permettait pas aux non-juifs de le suivre. souvent il les qualifiait de porc et de chiens

Mais non, tu voudrais bien

Mais ce n'est pas ainsi, en Marc 5, Jésus part même en terre étrangère au delà du Lac de Tibériade et guérit des païens

Les petits chiens? tu fais référence à la Cananéenne dont il voulait éprouver la foi, cette femme le priait de guérir sa fille ce que Jésus a fait:
Femme, ta foi est grande; qu'il te soit fait comme tu veux. Et, à l'heure même, sa fille fut guérie.

Et pour les pourceaux c'est n'importe quelle personne qui ne comprendra jamais, qui a le coeur pour toujours endurci et ne cherche qu'à nuire et critiquer, ça pourrait être un pharisien hypocrite:

Matthieu 7
6 Ne donnez pas les choses saintes aux chiens, et ne jetez pas vos perles devant les pourceaux, de peur qu'ils ne les foulent aux pieds, ne se retournent et ne vous déchirent.

Il n'est pas question de païens dans ces versets

Et c'est très bien observé  lorsqu'on parle de choses saintes à une personne qui ne s'intéresse qu'à la nuisance, elle se retourne contre nous et tente de nous déchirer.


Allez BC, passe ton chemin tu es toujours en train de noircir Jésus, à croire qu'il n'est pas ton prophète dans l'Islam.

cailloubleu* a écrit:

Mais ce n'est pas ainsi, en Marc 5, Jésus part même en terre étrangère au delà du Lac de Tibériade et guérit des païens

Jésus est parti en terre paienne seulement pour dire : Je ne suis pas envoyé aux nations mais seulement aux juifs.


ce contraste net entre le lieu et la paroles veut dire qu'il n'est pas le Messie

bon croyant a écrit:

cailloubleu* a écrit:

Mais ce n'est pas ainsi, en Marc 5, Jésus part même en terre étrangère au delà du Lac de Tibériade et guérit des païens

Jésus est parti en terre paienne seulement pour dire : Je ne suis pas envoyé aux nations mais seulement aux juifs.


ce contraste net entre le lieu et la paroles veut dire qu'il n'est pas le Messie

A force de parler de Jésus tu vas finir par te convertir mon cher boncroyant.

cailloubleu* a écrit:

bon croyant a écrit:

Jésus est parti en terre paienne seulement pour dire : Je ne suis pas envoyé aux nations mais seulement aux juifs.


ce contraste net entre le lieu et la paroles veut dire qu'il n'est pas le Messie

A force de parler de Jésus tu vas finir par te convertir mon cher boncroyant.

je suis déja converti. Jésus PSl est mon prophète et mon frère dans l'Islam

bon croyant a écrit:

cailloubleu* a écrit:

A force de parler de Jésus tu vas finir par te convertir mon cher boncroyant.

je suis déja converti. Jésus PSl est mon prophète et mon frère dans l'Islam

Parfait alors ne tords pas ses paroles.

bon croyant a écrit:

cailloubleu* a écrit:

. Il ne s'estime pas pollué d'avoir mangé avec un non juif.

Jésus ne permettait pas aux non-juifs de le suivre. souvent il les qualifiait de porc et de chiens

Cette réponse est navrante, extrémiste même, elle ne t'honore pas et montre plutôt ton ignorance de l'écriture des Evangiles et du sens à leur donner (je crains que tu en fasses autant avec le Coran) et pourtant l'interprétation de cet épisode où Jésus parlait de "petits chiens" à une femme non-juive n'était en aucun cas une comparaison malsaine.

Ce que Jésus voulait dire, comme il l’a expliqué à ses disciples, c’était qu’à ce moment-​là sa priorité était d’aider les Juifs. C’est ce qu’il a fait comprendre à cette femme à l’aide d’un exemple :

« Ce n’est pas bien de prendre le pain des enfants et de le jeter aux petits chiens » Matthieu 15 : 21-26

La femme n'a pas pris cela pour une comparaison insultante comme toi tu l'as fait, au contraire elle a répondu avec sagesse .

« Oui, Seigneur ; et pourtant les petits chiens mangent bien des miettes qui tombent de la table de leurs maîtres. » Matthieu 15 : 27-28

La réponse de Jésus va à l'encontre de la tienne cher Bon Croyant :

Alors Jésus lui dit: Femme, ta foi est grande; qu'il te soit fait comme tu veux. Et, à l'heure même, sa fille fut guérie.


Ainsi Jésus a reconnu la foi de cette femme non-juive et il a accédé à sa demande, une attitude bien éloignée de celle méprisante que tu lui prêtes, c'est bien triste de penser comme tu penses.