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 Critiquer une religion est-il une maladie mentale

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samuel777444

samuel777444



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MessageSujet: Critiquer une religion est-il une maladie mentale   Critiquer une religion est-il une maladie mentale EmptyMar 06 Nov 2018, 15:18

06.11.2018
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samuel777444

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MessageSujet: Re: Critiquer une religion est-il une maladie mentale   Critiquer une religion est-il une maladie mentale EmptyMar 06 Nov 2018, 15:19

Journal De Montreal

Critiquer une religion est-il une maladie mentale ?


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La ministre Stéphanie Vallée fait encore une fois face à la critique avec son projet de loi 62 dit de « neutralité religieuse ». Le gouvernement libéral a l’honnêteté (ce qui ne lui arrive pas souvent...) de ne pas insérer le mot « laïcité » dans le projet de loi. On aurait tort de s’en offusquer, cette coquille vide ne contient rien, ou si peu, qui puisse s’approcher d’une quelconque définition de ce qu’est la laïcité. Le PLQ pourra au moins se targuer d’avoir légiféré, surtout après le fiasco du projet de loi sur le discours haineux l’an dernier. Ce dernier, qui n’a que trop peu fait parler de lui, n’en était pas moins extrêmement dangereux pour une société qui se prétend libre. Le « discours haineux » y était appelé à être réprimé, sans toutefois que ce concept ne soit défini. S’agit-il de la diffusion de commentaires franchement racistes ou discriminatoires, ou de la moindre petite critique des dogmes d’une religion ? Nul ne le sait, la porte ayant été laissée (délibérément ?) ouverte à l’interprétation. Et on ne le saura jamais, le projet de loi étant (fort heureusement) mort et enterré.
On ne reviendra pas davantage sur cet épisode grossier, mais il faut néanmoins se questionner sur cette idée à l’effet que la critique des religions soit une phobie. Phobie signifie textuellement une « crainte angoissante et injustifiée d'une situation, d'un objet ou de l'accomplissement d'une action » ou une « aversion très vive pour quelqu'un ou peur instinctive de quelque chose ». Le DSM V détaille les différentes caractéristiques pouvant y être associées. Cependant, les étiquettes de « phobies » sont distribuées dans l’espace public à un rythme tel qu’on peut douter que les critères véhiculés par le guide des troubles mentaux soient véritablement observés. On comprend néanmoins la volonté de classer certaines positions sociopolitiques tout autant dans la colonne de l’illégalité que dans celle de l’insanité.
Le terme d’« islamophobie » est de ceux-là. Textuellement, cela signifierait donc une peur irrationnelle, voire maladive, de l’islam.
Si « combattre l’islamophobie » signifie s’opposer au racisme anti-arabe, j’en suis. Cette forme de racisme est à jeter aux orties, autant que toutes les autres d’ailleurs. Tous les Arabes ne sont d’ailleurs pas musulmans, et tous les musulmans ne sont pas Arabes.
S’il s’agit de lutter contre le ridicule préjugé à l’effet que tous les musulmans sont des terroristes, j’applaudis encore une fois. Une éducation de qualité devrait d’ailleurs vaincre une telle étroitesse d’esprit.

Le problème, c’est quand ce mot est employé pour désigner la critique même de l’islam. Or, critiquer l’islam est un droit. L’islam est une religion et la religion est un système de pensée. Les principes de tout système de pensée doivent pouvoir être débattus. J’irais même encore plus loin : il est parfaitement légitime de penser et d’exprimer tout le mal que l'on pense d'une religion en particulier ou de la religion en elle-même. Je ne suis pas du tout antireligieux, étant moi-même croyant, mais je considère que le droit de critiquer l’objet de ma foi est tout aussi fondamental que le mien de la pratiquer.


Un livre pertinent

Je viens justement de lire un livre sur la question. L’Islamophobie (Éditions Dialogue Nord-Sud, 2016) est un collectif franco-québécois dirigé par Jérôme Blanchet-Gravel. Les collaborations sont diversifiées, et ce, sur deux plans. Si certains auteurs sont plutôt associés à la « droite » (Blanchet-Gravel), d’autres proviennent en revanche d’une « gauche » plutôt affirmée (Fourest et Ketelbuters). L’angle d’étude varie également beaucoup d’un texte à l’autre.  

En voici quelques courts résumés :

Le livre débute par une préface de Waleed Al-husseini, ancien dissident palestinien, qui revendique son droit à la critique de l’islam et pourfend l’amalgame entre celle-ci et une quelconque forme de racisme. Il s’agit d’un très bon texte pour ouvrir le collectif.

Isabelle Kersimon, journaliste et essayiste, se penche sur les racines multiculturalistes de l’« islamophobie » et sur les mécanismes qui ont favorisé sa diffusion en France.

Claude Simard, professeur retraité de l’Université Laval, signe quant à lui un texte de linguistique, centré sur l’évolution de la signification des termes d’« islamophobie » et d’« islamophobe ». Simard montre que la hausse de l’utilisation du mot est corrélée avec la montée de l’islamisme depuis le 11 septembre 2001, en plus de proposer une nouvelle définition pour les dictionnaires. Il s’agit d’une des contributions les plus complexes du recueil.

Hassan Jamali, professeur au Collège Ahuntsic, fait de la propagation de l’« islamophobie » une arme pour contrer la réforme de l’islam, dont les premières victimes sont les musulmans eux-mêmes, vivant sous des régimes répressifs. Si le présupposé de base du texte est logique, car il va de soi que le blocage de la critique d’un système empêche automatiquement son évolution, la démonstration n’en est pas moins convaincante.

L’essayiste et doctorant Jérôme Blanchet-Gravel, qui dirige le collectif, revient quant à lui sur les effets du traumatisme de la Seconde Guerre mondiale et de la terrifiante Shoah. Si les Occidentaux ont des bonnes raisons d’être marqués par ce summum de l’horreur et de tout faire en leur pouvoir pour que tels événements ne se reproduisent jamais, on peut se demander aujourd’hui à qui profite ce spectre d’instincts totalitaires fondamentalement ancrés dans les consciences populaires…

Caroline Fourest et Fiammetta Venner, essayistes laïques très connues en France, enquêtent quant à elles sur la mobilisation du concept d’islamophobie par les différents intégrismes, dans un texte à vocation internationale mais qui se centre surtout sur le cas français.

Le texte d’Annie-Ève Collin, professeure de philosophie au Collège Ahuntsic, s’inscrit dans la même veine que ce que nous affirmions dans la première partie de cet article, démontrant qu’il n’y a pas de différence fondamentale entre la croyance au sens large et la croyance religieuse. Dans un tel contexte, vouloir restreindre la remise en question de la croyance religieuse équivaudrait donc à réprimer purement et simplement la liberté d’expression. Est-ce là ce que nous souhaitons véritablement ?
Le blogueur et artiste Renart Léveillé synthétise, quant à lui, les conclusions de tous. L’islamophobie est un mot qui n’est à employer qu’avec parcimonie, et certainement pas abondamment comme le font sans gêne les grands prophètes du politiquement correct contemporain.

Pour clore le livre, le texte de l’essayiste et dramaturge Alaban Ketelbuters table sur les reculs que fait subir l’emploi généralisé du terme d’islamophobie.
Tenter d’étouffer le droit de s’en prendre à une idéologie et à ses principes directeurs est une grande menace pour la démocratie.
Qui plus est, comme l’affirme Ketelbuters, l’idée même de parler « des musulmans » comme un tout homogène est foncièrement rétrograde, confondant des citoyens d’origine maghrébine avec une religion. On se demandera dès lors qui sont les vrais discriminateurs, ceux qui critiquent des dogmes idéologiques, ou ceux qui réduisent des individus à leurs croyances.
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Tonton

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MessageSujet: Re: Critiquer une religion est-il une maladie mentale   Critiquer une religion est-il une maladie mentale EmptyMar 06 Nov 2018, 16:33

Effectivement, la critique est le signe d'une " bonne santé " mentale.

Mais critiquer ne veut pas dire, que dire du mal, critiquer c'est analyser.

Donc dans une analyse, on mesure les bon côtés comme les mauvais côtés.

Après parler de maladie mentale, pour celui qui ne fait que dire du mal, non, on peut parler plutôt de " phobie ".

Puis analyser ou critiquer la phobie.

Mais dans ce cas on change de sujet d'étude, car dans le cas de l'islamophobie, ce n'est plus l'islam qui est étudié, mais l’islamophobe.

Ainsi, on peut étudier les bons et les mauvais côtés d'une religion, puis ensuite, étudier pourquoi quelqu'un se focalise que sur les mauvais côtés.

Bien sûr dans l'autre sens c'est pareil, on peut aussi étudier pourquoi quelqu'un se focalise que sur les bons côtés.

Je dirai que ce soit dans ce cas, comme dans celui avant, c'est justement un manque non pas de critique, mais d'auto critique.

Donc, même si c'est parfois ce qui fait que mes interventions sont longues, dans le cas d'une critique d'une religion, celui qui la fait sans accorder le fait qu'à l'intérieure de la dite religion, certains sont capables aussi de faire de l'auto critique, n'a pas en réalité les bon éléments pour permettre de présenter son étude critique.

C'est un peu faite ce que je dis mais ne faite pas ce que je fais.
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samuel777444

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MessageSujet: Re: Critiquer une religion est-il une maladie mentale   Critiquer une religion est-il une maladie mentale EmptyMar 06 Nov 2018, 18:20

Une critique negative, n'en demeure pas moins une critique, et ce n'est pas parce qu'elle est negative qu'elle n'est pas fondée ou cohérente.

Parlant de critique, je trouve que ce livre ''Islamophobie'' semble d'actualité et très instructif;

Samuel a écrit:
l'Islamophobie

En voici quelques courts résumés
:

Le livre débute par une préface de Waleed Al-husseini, ancien dissident palestinien, qui revendique son droit à la critique de l’islam et pourfend l’amalgame entre celle-ci et une quelconque forme de racisme. Il s’agit d’un très bon texte pour ouvrir le collectif.

Isabelle Kersimon, journaliste et essayiste, se penche sur les racines multiculturalistes de l’« islamophobie » et sur les mécanismes qui ont favorisé sa diffusion en France.

Claude Simard, professeur retraité de l’Université Laval, signe quant à lui un texte de linguistique, centré sur l’évolution de la signification des termes d’« islamophobie » et d’« islamophobe ». Simard montre que la hausse de l’utilisation du mot est corrélée avec la montée de l’islamisme depuis le 11 septembre 2001, en plus de proposer une nouvelle définition pour les dictionnaires. Il s’agit d’une des contributions les plus complexes du recueil.

Hassan Jamali, professeur au Collège Ahuntsic, fait de la propagation de l’« islamophobie » une arme pour contrer la réforme de l’islam, dont les premières victimes sont les musulmans eux-mêmes, vivant sous des régimes répressifs. Si le présupposé de base du texte est logique, car il va de soi que le blocage de la critique d’un système empêche automatiquement son évolution, la démonstration n’en est pas moins convaincante.

L’essayiste et doctorant Jérôme Blanchet-Gravel, qui dirige le collectif, revient quant à lui sur les effets du traumatisme de la Seconde Guerre mondiale et de la terrifiante Shoah. Si les Occidentaux ont des bonnes raisons d’être marqués par ce summum de l’horreur et de tout faire en leur pouvoir pour que tels événements ne se reproduisent jamais, on peut se demander aujourd’hui à qui profite ce spectre d’instincts totalitaires fondamentalement ancrés dans les consciences populaires…

Caroline Fourest et Fiammetta Venner, essayistes laïques très connues en France, enquêtent quant à elles sur la mobilisation du concept d’islamophobie par les différents intégrismes, dans un texte à vocation internationale mais qui se centre surtout sur le cas français.

Le texte d’Annie-Ève Collin, professeure de philosophie au Collège Ahuntsic, s’inscrit dans la même veine que ce que nous affirmions dans la première partie de cet article, démontrant qu’il n’y a pas de différence fondamentale entre la croyance au sens large et la croyance religieuse. Dans un tel contexte, vouloir restreindre la remise en question de la croyance religieuse équivaudrait donc à réprimer purement et simplement la liberté d’expression. Est-ce là ce que nous souhaitons véritablement ?

Le blogueur et artiste Renart Léveillé synthétise, quant à lui, les conclusions de tous. L’islamophobie est un mot qui n’est à employer qu’avec parcimonie, et certainement pas abondamment comme le font sans gêne les grands prophètes du politiquement correct contemporain.

Pour clore le livre, le texte de l’essayiste et dramaturge Alaban Ketelbuters table sur les reculs que fait subir l’emploi généralisé du terme d’islamophobie.
Tenter d’étouffer le droit de s’en prendre à une idéologie et à ses principes directeurs est une grande menace pour la démocratie.
Qui plus est, comme l’affirme Ketelbuters, l’idée même de parler « des musulmans » comme un tout homogène est foncièrement rétrograde, confondant des citoyens d’origine maghrébine avec une religion. On se demandera dès lors qui sont les vrais discriminateurs, ceux qui critiquent des dogmes idéologiques, ou ceux qui réduisent des individus à leurs croyances.
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Tonton

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MessageSujet: Re: Critiquer une religion est-il une maladie mentale   Critiquer une religion est-il une maladie mentale EmptyMer 07 Nov 2018, 14:33

Oh mais je n'ai pas dit qu'une critique négative n'a pas de fondement.

Je dis qu'il y a un déséquilibre, puisque l'on parle de mental, quand il n'y a que des critiques négatives ou que des critiques positives. Mais si je parle de déséquilibre mental, par contre je ne dirai pas que c'est une maladie.

Il y a peu, Encelade a posté une vidéo sur la génétique humaine. La conférencière qui la présente, dit que même si sa démonstration, prouve que le racisme n'est pas fondé, ce n'est pas cela qui fera changer le comportement du raciste.

Parce que ce genre de pensée, comme bien d'autres, et pas forcement négative, ne découle pas sur un raisonnement objectif, mais sur du subjectif.

Donc, même si nous avons des références solides, comme celles que tu nous présentes, rien n'empêchera celui qui prend toute critique sur l'islam comme de l'islamophobie. Parce que la pensée de celui ci est subjective, elle n'est pas objective.

Mais est ce une maladie dans un cas comme dans l'autre ?

Non, je pense pas, je pense que c'est plutôt le reflet d'une conviction qui ensuite fait le tri dans ce qui est accepté et ce que ne l'est pas.

Tu sais, il y a bcp à apprendre sur le fonctionnement du cerveau, la place que prend la mémorisation que ce soit pour ensuite parler selon une logique et même sur la façon dont nous regardons ce qui nous entoure.

Ensuite de là découle des " déformations ", mais comme c'est lié au fonctionnement du cerveau, dans sa " norme ", on ne peut pas parler de maladie. Peut être juste parler d'un " péché enraciné ". Faudrait en discuter.

Pour ma part, je constate que lorsque l'on a " une mauvaise image " d'une personne ou de " quelque chose ", en général on se souvient surtout de ses défauts et on met rarement en avant ses qualités.
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samuel777444

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MessageSujet: Re: Critiquer une religion est-il une maladie mentale   Critiquer une religion est-il une maladie mentale EmptyMer 07 Nov 2018, 15:10

Encore une fois je trouve que tu es d'un flou magistrale, c'est au point que c'est meme dur te répondre.  

Je vais essayer d'être direct et concis;

Dans le contexte; déséquilibre mentale et maladie mentale est du pareil au meme, aucune difference. Si tu veux te permettre de poser une etiquette automatique de déséquilibrée sur la critique d'un sujet qui serait que negative, c'est ton choix.

Je vais te donner un exemple simpliste;
Alors donc pour ne pas être déséquilibrée mental selon Tonton, pr.ex. au sujet de la lapidation des adultères une critique devrait egalement parler de bon coté, comme le fait qu'il y aurait moins d'adultères.

*Une critique est par nature souvent pour ou contre quelque chose et donc souvent peut-etre que positive ou que negative, si tu fait automatiquement de ce seul critère un déséquilibre mental, on n'est vraiment pas sorti de l'auberge avec toi..
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Tonton

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MessageSujet: Re: Critiquer une religion est-il une maladie mentale   Critiquer une religion est-il une maladie mentale EmptyMer 07 Nov 2018, 15:22

samuel777444 a écrit:
Encore une fois je trouve que tu es d'un flou magistrale, c'est au point que c'est meme dur te répondre.  

Je vais essayer d'être direct et concis;

Dans le contexte; déséquilibre mentale et maladie mentale est du pareil au meme, aucune difference. Si tu veux te permettre de poser une etiquette automatique de déséquilibrée sur la critique d'un sujet qui serait que negative, c'est ton choix.

Alors donc pour ne pas être déséquilibrée mental selon Tonton, pr.ex. au sujet de la lapidation des adultères une critique devrait egalement parler de bon coté, comme le fait qu'il y aurait moins d'adultères.






Exactement, c'est ça, mais je ne partage par cette opinion. Mais certains défendent la lapidation comme ceci, effectivement. C'est ce qu'ils pensent eux, pas moi.

En fait Samuel, je pense que tu ne comprends pas que je ne donne pas forcement une opinion, je fais plutôt une analyse critique de ce que pense " un ensemble ".

Ensuite, non, un déséquilibre mental, ce n'est pas forcement une maladie.

On est tous un peu craintif sans forcement avoir de raison de l'être et sans pour autant devoir coller automatiquement un diagnostic psychiatrique sur le fait de vérifier par 2 fois si on a bien coupé l'arrivée du gaz.
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Ibralous





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MessageSujet: Re: Critiquer une religion est-il une maladie mentale   Critiquer une religion est-il une maladie mentale EmptyMar 30 Juil 2019, 01:39

ajout du 14-07-18 : à la suite d'abus caractérisés, il a été décidé que le nombre de messages quotidiens pour tout intervenant est limité à 15 et que le nombre de nouveaux sujets ouverts est limité à deux par semaine .
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