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 la "pilule" remise en question

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mario-franc_lazur
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MessageSujet: la "pilule" remise en question   la "pilule" remise en question EmptyMar 17 Oct 2017, 17:52

17.10.2017

« Je ne suis pas sûre que la société soit prête à entendre que ce qui a été un progrès peut être désormais questionné au regard de nouvelles informations scientifiques. Il me semble difficile de mener un débat apaisé sur le sujet », s'exclame Sabrina Debusquat. La jeune femme est l’auteur d’un livre qui a fait grand bruit, J’arrête la pilule (1), publié à la mi-septembre. Depuis, cette journaliste dit avoir été prise plusieurs fois à partie par des contradicteurs, entre autres sur des plateaux de télévision. « On m’a notamment reproché de faire peur aux femmes, et de provoquer de futures “épidémies d’IVG”… » Plus généralement, elle décrit « deux générations qui ne se comprennent pas : la première s’est libérée sexuellement à travers la chimie, la seconde est libérée mais veut s’éloigner de la chimie ». En septembre, un sondage Ifop publié dans le magazine Elle montrait ainsi que pour 75 % des femmes, « la prise de pilule n’est pas sans danger et peut provoquer de graves problèmes de santé ».
[b]

(à suivre)
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MessageSujet: Re: la "pilule" remise en question   la "pilule" remise en question EmptyMar 17 Oct 2017, 17:55

SUITE


Cette évolution inattendue conforte en tous les cas les observateurs catholiques dans leur promotion, de longue date, des méthodes naturelles de contraception. « Les mentalités commencent vraiment à changer », se réjouit Violaine Beaurepaire, monitrice au Cler, qui perçoit « un mouvement de fond dans la société ». Cette association catholique, qui forme aux méthodes naturelles de contraception depuis le début des années 1960, a vu doubler le nombre de demandes de la part de jeunes qui souhaitent devenir formateurs dans ce domaine.

« Cela concerne à la fois des croyants, qui prennent très au sérieux la parole de l’Église sur la contraception, et des non-croyants qui opèrent un retour à la nature. Tous veulent se réapproprier leur corps. On attendait cela depuis quarante ans ! » « La crise médiatique qui entoure les pilules de 3e et 4e générations (et les médicaments en général) conduit à remettre en cause la légitimité de la pilule comme seul moyen contraceptif proposé, du côté des femmes », confirme la sociologue Alexandra Roux, qui travaille, à l’EHESS et à l’Inserm, sur la contraception. Sans aller jusqu’à parler de défiance, cette observatrice confirme la montée d’une « revendication pour une diversification des méthodes proposées », poursuit-elle. C’est ce que cette sociologue démontre dans un article publié dans la revue Sciences sociales et santé, cosigné avec ses collègues Cécile Ventola et Nathalie Bajos. Se fondant sur un questionnaire rempli par plus de 1 000 médecins, les chercheuses y analysent ainsi la place centrale qu’occupe encore la pilule dans le modèle contraceptif français et le réflexe des médecins de prescrire prioritairement la pilule. « Les femmes n’ont pas totalement le contrôle de leur propre contraception », résument les chercheuses. Les praticiens ont-ils changé leurs pratiques ? Non, répondent en substance les sociologues, qui n’observent aucune « véritable remise en cause du système de prescription de la contraception ».

« Les patientes sont mieux informées, elles lisent, se documentent, attendent beaucoup plus de leur médecin qu’auparavant », constate pour sa part le docteur Bertrand de Rochambeau, président du Syndicat national des gynécologues et obstétriciens de France. Mais le gynécologue ne croit pas à une baisse durable de la pilule contraceptive, et juge que le phénomène est purement générationnel. « Cela représente une telle manne financière que j’imagine mal l’industrie pharmaceutique abandonner ce créneau. D’autres produits sont sans doute déjà en préparation. La pilule de demain prendra peut-être la forme d’une crème de beauté ou de produits qui contiendront des plantes… »

Tout cela relèverait donc d’une « mode » destinée à passer dans quelques mois ? Pour la psychanalyste Sophie Marinopoulos, la remise en cause est plus profonde que cela et constitue un basculement entre les moins de 30 ans et les autres. Cette féministe de longue date, directrice de la maison d’édition qui a publié le livre de Sabrina Debusquat, reconnaît que cette remise en cause a constitué pour elle un véritable choc. « J’ai passé ma vie à conseiller la pilule : à mes amies, à mes filles. Elle fait partie de ma vie. Et je me trouve aujourd’hui confrontée à une jeune femme qui n’a pas 30 ans, et qui me dit “je suis féministe et je veux arrêter la pilule”. Cela n’a pas été facile. Mais cela fait partie de l’évolution du droit des femmes, qui sont pleinement légitimes à interroger leur contraception. » Entre les moins de 30 ans et les autres, elle concède d’ailleurs une attitude commune, et non des moindres : « Ma génération disait non aux maternités multiples et aux maternités surprises. Les plus jeunes disent non au fait que des hormones puissent abîmer leur corps ou l’environnement. Notre point commun est de dire non. Et c’est en cela que nous sommes féministes. »

Loup Besmond de Senneville, dans le journal "La Croix"


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MessageSujet: Re: la "pilule" remise en question   la "pilule" remise en question EmptyMar 17 Oct 2017, 18:33

mario-franc_lazur a écrit:
SUITE


Cette évolution inattendue conforte en tous les cas les observateurs catholiques dans leur promotion, de longue date, des méthodes naturelles de contraception. « Les mentalités commencent vraiment à changer », se réjouit Violaine Beaurepaire, monitrice au Cler, qui perçoit « un mouvement de fond dans la société ». Cette association catholique, qui forme aux méthodes naturelles de contraception depuis le début des années 1960, a vu doubler le nombre de demandes de la part de jeunes qui souhaitent devenir formateurs dans ce domaine.

« Cela concerne à la fois des croyants, qui prennent très au sérieux la parole de l’Église sur la contraception, et des non-croyants qui opèrent un retour à la nature. Tous veulent se réapproprier leur corps. On attendait cela depuis quarante ans ! » « La crise médiatique qui entoure les pilules de 3e et 4e générations (et les médicaments en général) conduit à remettre en cause la légitimité de la pilule comme seul moyen contraceptif proposé, du côté des femmes », confirme la sociologue Alexandra Roux, qui travaille, à l’EHESS et à l’Inserm, sur la contraception. Sans aller jusqu’à parler de défiance, cette observatrice confirme la montée d’une « revendication pour une diversification des méthodes proposées », poursuit-elle. C’est ce que cette sociologue démontre dans un article publié dans la revue Sciences sociales et santé, cosigné avec ses collègues Cécile Ventola et Nathalie Bajos. Se fondant sur un questionnaire rempli par plus de 1 000 médecins, les chercheuses y analysent ainsi la place centrale qu’occupe encore la pilule dans le modèle contraceptif français et le réflexe des médecins de prescrire prioritairement la pilule. « Les femmes n’ont pas totalement le contrôle de leur propre contraception », résument les chercheuses. Les praticiens ont-ils changé leurs pratiques ? Non, répondent en substance les sociologues, qui n’observent aucune « véritable remise en cause du système de prescription de la contraception ».

« Les patientes sont mieux informées, elles lisent, se documentent, attendent beaucoup plus de leur médecin qu’auparavant », constate pour sa part le docteur Bertrand de Rochambeau, président du Syndicat national des gynécologues et obstétriciens de France. Mais le gynécologue ne croit pas à une baisse durable de la pilule contraceptive, et juge que le phénomène est purement générationnel. « Cela représente une telle manne financière que j’imagine mal l’industrie pharmaceutique abandonner ce créneau. D’autres produits sont sans doute déjà en préparation. La pilule de demain prendra peut-être la forme d’une crème de beauté ou de produits qui contiendront des plantes… »

Tout cela relèverait donc d’une « mode » destinée à passer dans quelques mois ? Pour la psychanalyste Sophie Marinopoulos, la remise en cause est plus profonde que cela et constitue un basculement entre les moins de 30 ans et les autres. Cette féministe de longue date, directrice de la maison d’édition qui a publié le livre de Sabrina Debusquat, reconnaît que cette remise en cause a constitué pour elle un véritable choc. « J’ai passé ma vie à conseiller la pilule : à mes amies, à mes filles. Elle fait partie de ma vie. Et je me trouve aujourd’hui confrontée à une jeune femme qui n’a pas 30 ans, et qui me dit “je suis féministe et je veux arrêter la pilule”. Cela n’a pas été facile. Mais cela fait partie de l’évolution du droit des femmes, qui sont pleinement légitimes à interroger leur contraception. » Entre les moins de 30 ans et les autres, elle concède d’ailleurs une attitude commune, et non des moindres : « Ma génération disait non aux maternités multiples et aux maternités surprises. Les plus jeunes disent non au fait que des hormones puissent abîmer leur corps ou l’environnement. Notre point commun est de dire non. Et c’est en cela que nous sommes féministes. »

Loup Besmond de Senneville, dans le journal "La Croix"



Ouais. Il faut quand même réguler la "natalité". L'homme est aussi concerné, cette responsabilité ne devrait pas reposer uniquement sur les femmes. Les hommes devraient s'engager à prendre leurs précautions. Les hommes sont quand mêmes fertile à tout moment contrairement aux femmes.

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OlivierV
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MessageSujet: Re: la "pilule" remise en question   la "pilule" remise en question EmptyMer 18 Oct 2017, 16:46

La petite voix a écrit:


Ouais. Il faut quand même réguler la "natalité". L'homme est aussi concerné, cette responsabilité ne devrait pas reposer uniquement sur les femmes. Les hommes devraient s'engager à prendre leurs précautions. Les hommes sont quand mêmes fertile à tout moment contrairement aux femmes.


Existe-t-il, en dehors du contraceptif que certains et certaines ne supportent pas, un mode de contraception masculin ?
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La petite voix





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MessageSujet: Re: la "pilule" remise en question   la "pilule" remise en question EmptyMer 18 Oct 2017, 17:25

OlivierV a écrit:
La petite voix a écrit:


Ouais. Il faut quand même réguler la "natalité". L'homme est aussi concerné, cette responsabilité ne devrait pas reposer uniquement sur les femmes. Les hommes devraient s'engager à prendre leurs précautions. Les hommes sont quand mêmes fertile à tout moment contrairement aux femmes.


Existe-t-il, en dehors du contraceptif que certains et certaines ne supportent pas, un mode de contraception masculin ?

L'ABSTINENCE lol!
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Cyril 84
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MessageSujet: Re: la "pilule" remise en question   la "pilule" remise en question EmptyMer 18 Oct 2017, 17:49

La petite voix a écrit:
OlivierV a écrit:
Existe-t-il, en dehors du contraceptif que certains et certaines ne supportent pas, un mode de contraception masculin ?

L'ABSTINENCE lol!

Mais aussi le "retrait anticipé"

Et le préservatif.
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MessageSujet: Re: la "pilule" remise en question   la "pilule" remise en question EmptyMer 18 Oct 2017, 19:15

Cyril 84 a écrit:
La petite voix a écrit:
OlivierV a écrit:
Existe-t-il, en dehors du contraceptif que certains et certaines ne supportent pas, un mode de contraception masculin ?

L'ABSTINENCE lol!

Mais aussi le "retrait anticipé"

Et le préservatif.


Je rebondis sur l' abstinence c'est donc la méthode des températures appelée "méthode Ogino". La femme prend sa température chaque jour, lors de l' ovulation la température augmente un peu et donc pendant ces jours là il faut faire abstinence. Ce qu'un couple respectueux l'un de l'autre pourra faire facilement. En plus, il existe des thermomètres très " modernes ".

Je ne conseille pas le stérilet car cet appareil dans l' utérus de la femme cause chaque mois un mini-avortement et ensuite sans parler des inflammations et autres qu'il peut causer.

Je n'ai jamais voulu prendre la pilule préférant les méthodes naturelles.

De plus, j'avais une amie à Bruxelles, qui a été atteinte du cancer du sein et du pancréas, elle a dit à son médecin que c'était à cause de la pilule et il n'a pas nié.

Elle est morte à l' âge de 50 ans !!! une mère qui a laissé 4 enfants et un mari seuls.  Sad
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MessageSujet: Re: la "pilule" remise en question   la "pilule" remise en question EmptyMer 18 Oct 2017, 19:20

Plus précisément :


Les contraceptions naturelles sont un moyen simple d'espacer les grossesses. Parmi elles, la méthode des températures.
Au cours du cycle menstruel, la température de la femme varie. En mesurant tous les matins sa température, la femme peut déterminer les moments où elle est fertile, et éviter alors tout rapport sexuel.

Méthode des températures : la progestérone fait monter la température corporelle

Dans le cycle menstruel féminin, la phase lutéale intervient après l'ovulation. Après éjection de l'ovocyte, le corps jaune se dégrade, sécrétant de la progestérone.
Cette progestérone va faire monter la température corporelle de la femme de quelques dixièmes de degrés Celsius. La température retombe au moment des règles.
Cycle menstruel de la femme




Prendre sa température pour déterminer sa fertilité

La méthode des températures, également appelée méthode de la courbe thermique, est basée sur les variations de température en fonction du cycle menstruel.
La femme doit mesurer sa température rectale tous les matins à la même heure, au saut du lit, à partir du premier jour de ses règles. Elle note scrupuleusement ce chiffre pour former une courbe, avec trois parties reconnaissables :
Le plateau bas : il s'agit de la température avant l'ovulation. Cette période dure environ 14 jours.
Le pic bas : la température baisse de quelques dixièmes de degrés au moment de l'ovulation.
Le plateau thermique : après l'ovulation, la température augmente d'environ ½ degré Celsius :
On considère que la température est haute si elle a augmenté d'au moins 0,3°C par rapport à la température avant ovulation.
Cette période dure environ 14 jours, si l'ovulation est de bonne qualité.
Au bout de plusieurs mois de mesure, la femme peut définir son cycle habituel, et en particulier la date de son ovulation. Il faut alors s'abstenir de tout rapport sexuel 3 jours avant la date supposée de l'ovulation, et 2 jours après.
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MessageSujet: Re: la "pilule" remise en question   la "pilule" remise en question EmptyMer 18 Oct 2017, 20:58

Lorsque j'étais dans le monastère, des couples y venaient pour présenter la méthode Ogyno ou quelque chose dans le genre. Immanquablement, ils étaient accompagnés d'une sacrée ribambelle de gamins...
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MessageSujet: Re: la "pilule" remise en question   la "pilule" remise en question EmptyJeu 19 Oct 2017, 14:17

OlivierV a écrit:
Lorsque j'étais dans le monastère, des couples y venaient pour présenter la méthode Ogyno ou quelque chose dans le genre. Immanquablement, ils étaient accompagnés d'une sacrée ribambelle de gamins...


Tu as vécu dans un monastère ?!?
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MessageSujet: Re: la "pilule" remise en question   la "pilule" remise en question EmptyJeu 19 Oct 2017, 14:21

OlivierV a écrit:
Lorsque j'étais dans le monastère, des couples y venaient pour présenter la méthode Ogyno ou quelque chose dans le genre. Immanquablement, ils étaient accompagnés d'une sacrée ribambelle de gamins...


C'est un choix du couple et non une conséquence de la méthode Ogino.
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MessageSujet: Re: la "pilule" remise en question   la "pilule" remise en question EmptyJeu 19 Oct 2017, 17:02

OlivierV a écrit:
Lorsque j'étais dans le monastère, des couples y venaient pour présenter la méthode Ogyno ou quelque chose dans le genre. Immanquablement, ils étaient accompagnés d'une sacrée ribambelle de gamins...


Ils avaient peut-être choisi d' avoir une famille nombreuse. Au fond, si la santé de la femme est bonne quelques bambins (je parle de 3 ou 4) c'est super !

Evidemment, je vois cela du côté que j'étais hélas enfant unique ... c'est si triste !!!

A part cela cette méthode est fiable et si vraiment on ne veut pas, on peut accompagner du préservatif.

Les jeux de l' Amour suffisent très bien .... l' Union des corps en est évidemment la finalité.
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MessageSujet: Re: la "pilule" remise en question   la "pilule" remise en question EmptyJeu 19 Oct 2017, 17:25

mario-franc_lazur a écrit:
OlivierV a écrit:
Lorsque j'étais dans le monastère, des couples y venaient pour présenter la méthode Ogyno ou quelque chose dans le genre. Immanquablement, ils étaient accompagnés d'une sacrée ribambelle de gamins...


Tu as vécu dans un monastère ?!?

Oui, plusieurs de la Congrégation Saint-Jean. Ainsi que dans une fraternité monastique bénédictine en Ardèche et dans un monastère de sœurs orthodoxes.
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MessageSujet: Re: la "pilule" remise en question   la "pilule" remise en question EmptyJeu 19 Oct 2017, 17:27

rosedumatin a écrit:
OlivierV a écrit:
Lorsque j'étais dans le monastère, des couples y venaient pour présenter la méthode Ogyno ou quelque chose dans le genre. Immanquablement, ils étaient accompagnés d'une sacrée ribambelle de gamins...


Ils avaient peut-être choisi d' avoir une famille nombreuse. Au fond, si la santé de la femme est bonne quelques bambins (je parle de 3 ou 4) c'est super !

Il s'agissait plutôt de cinq ou six...

Citation :
Evidemment, je vois cela du côté que j'étais hélas enfant unique ... c'est si triste !!!

A part cela cette méthode est fiable et si vraiment on ne veut pas, on peut accompagner du préservatif.

Les jeux de l' Amour suffisent très bien .... l' Union des corps en est évidemment la finalité.

L'église catholique n'interdit-elle pas l'usage du préservatif ?
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MessageSujet: Re: la "pilule" remise en question   la "pilule" remise en question EmptyJeu 19 Oct 2017, 17:29

OlivierV a écrit:
mario-franc_lazur a écrit:



Tu as vécu dans un monastère ?!?

Oui, plusieurs de la Congrégation Saint-Jean. Ainsi que dans une fraternité monastique bénédictine en Ardèche et dans un monastère de  sœurs orthodoxes.

Hé ben Shocked je suis certains que tu as eu une vie très passionnante, j'aimerai bien la connaitre! À quand un livre ? lol!
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MessageSujet: Re: la "pilule" remise en question   la "pilule" remise en question EmptyJeu 19 Oct 2017, 17:30

OlivierV a écrit:
rosedumatin a écrit:
OlivierV a écrit:
Lorsque j'étais dans le monastère, des couples y venaient pour présenter la méthode Ogyno ou quelque chose dans le genre. Immanquablement, ils étaient accompagnés d'une sacrée ribambelle de gamins...


Ils avaient peut-être choisi d' avoir une famille nombreuse. Au fond, si la santé de la femme est bonne quelques bambins (je parle de 3 ou 4) c'est super !

Il s'agissait plutôt de cinq ou six...

Citation :
Evidemment, je vois cela du côté que j'étais hélas enfant unique ... c'est si triste !!!

A part cela cette méthode est fiable et si vraiment on ne veut pas, on peut accompagner du préservatif.

Les jeux de l' Amour suffisent très bien .... l' Union des corps en est évidemment la finalité.

L'église catholique n'interdit-elle pas l'usage du préservatif ?


En effet, l' Eglise catholique par la voix de Jean-Paul II s'est exprimée contre mais il a été très critiqué sur le sujet !

De toute façon, ce n'est pas un " dogme " et donc l' infaillibité papale n'est pas en jeu.
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MessageSujet: Re: la "pilule" remise en question   la "pilule" remise en question EmptyJeu 19 Oct 2017, 17:30

Cyril 84 a écrit:
La petite voix a écrit:


L'ABSTINENCE lol!

Mais aussi le "retrait anticipé"

Et le préservatif.

Oui, je me suis trompé en écrivant "contraceptif". Je voulais bien parler du préservatif que certains et certaines ne supportent pas pour cause d'allergie cutanée.
Ceci dit, ces solutions sont tout de même bien plus contraignantes que la pilule, à mon avis.
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MessageSujet: Re: la "pilule" remise en question   la "pilule" remise en question EmptyJeu 19 Oct 2017, 17:35

rosedumatin a écrit:


En effet, l' Eglise catholique par la voix de Jean-Paul II s'est exprimée contre mais il a été très critiqué sur le sujet !

De toute façon, ce n'est pas un " dogme " et donc l' infaillibité papale n'est pas en jeu.

Je crois qu'il a surtout été critiqué parce que les médias n'ont fait que répercuter l'idée que le contraceptif était interdit.
Alors que derrière cette interdiction, il y avait tout un développement sur la sexualité. Beaucoup ont interprété cette interdiction comme voulant dire "ayez des relations sexuelles, de quelle nature qu'elles soient, mais sans préservatif", alors que ce n'était absolument pas ce qui était dit...
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MessageSujet: Re: la "pilule" remise en question   la "pilule" remise en question EmptyJeu 19 Oct 2017, 17:36

Anozira a écrit:
OlivierV a écrit:


Oui, plusieurs de la Congrégation Saint-Jean. Ainsi que dans une fraternité monastique bénédictine en Ardèche et dans un monastère de  sœurs orthodoxes.

Hé ben Shocked je suis certains que tu as eu une vie très passionnante, j'aimerai bien la connaitre! À quand un livre ? lol!

Trop trash pour être publié... la "pilule" remise en question 898997
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MessageSujet: Re: la "pilule" remise en question   la "pilule" remise en question EmptyJeu 19 Oct 2017, 17:43

OlivierV a écrit:
Anozira a écrit:


Hé ben Shocked je suis certains que tu as eu une vie très passionnante, j'aimerai bien la connaitre! À quand un livre ? lol!

Trop trash pour être publié... la "pilule" remise en question 898997

Non justement, le public aime les histoires trash. la "pilule" remise en question 17865

Non mais sérieusement ta vie m'intrigue. Shocked
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MessageSujet: Re: la "pilule" remise en question   la "pilule" remise en question EmptyJeu 19 Oct 2017, 19:09

OlivierV a écrit:
rosedumatin a écrit:


En effet, l' Eglise catholique par la voix de Jean-Paul II s'est exprimée contre mais il a été très critiqué sur le sujet !

De toute façon, ce n'est pas un " dogme " et donc l' infaillibité papale n'est pas en jeu.

Je crois qu'il a surtout été critiqué parce que les médias n'ont fait que répercuter l'idée que le contraceptif était interdit.
Alors que derrière cette interdiction, il y avait tout un développement sur la sexualité. Beaucoup ont interprété cette interdiction comme voulant dire "ayez des relations sexuelles, de quelle nature qu'elles soient, mais sans préservatif", alors que ce n'était absolument pas ce qui était dit...


Il faut se méfier des médias et de la désinformation.
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MessageSujet: Re: la "pilule" remise en question   la "pilule" remise en question EmptyJeu 19 Oct 2017, 20:41

rosedumatin a écrit:

Il faut se méfier des médias et de la désinformation.

Sans aucun doute !
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MessageSujet: Re: la "pilule" remise en question   la "pilule" remise en question EmptyVen 20 Oct 2017, 11:56

Citation :

Ouais. Il faut quand même réguler la "natalité".


Où ? En France ou en Inde ?
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MessageSujet: Re: la "pilule" remise en question   la "pilule" remise en question Empty

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