Lectures spirituelles

Humilité de l’Incarnation – François Varillon (Jésuite 1906-1978)

Dieu révèle ce qu’Il est par ce qu’Il fait. Son dessein sur l’homme, réalisé en Jésus-Christ, dévoile son être intime. On ne peut disjoindre en lui l’acte et l’être.

Si l’Incarnation est acte d’humilité, c’est que Dieu est être d’humilité, ‘qui m’a vu a vu le Père’, dit Jésus (Jean 14, 9).

Le voyant laver avec humilité des pieds d’hommes, je « vois » donc, s’il dit vrai, "Dieu même" éternellement, mystérieusement, Serviteur avec humilité au plus profond de Sa Gloire.

L’humiliation du Christ n’est pas un avatar exceptionnel de la gloire. Elle manifeste dans le temps que l’humilité est au cœur de la gloire.

Ce que j’énonce ici tranquillement est un paradoxe si fort que la raison d’abord vacille, décontenancée, et comme découragée d’avance. Si pourtant, abandonnant provisoirement les concepts à leur apparente opposition, on choisit de se référer, sans plus attendre, à l’expérience toute simple qu’on a de l’amour, même mêlée de péché.

Un rai de lumière filtre déjà à travers la nuit des mots.

On pressent qu’aimer avec orgueil n’est pas vraiment aimer.

SI DIEU EST AMOUR, IL EST HUMBLE.

rosedumatin a écrit:

Humilité de l’Incarnation – François Varillon (Jésuite 1906-1978)

Dieu révèle ce qu’Il est par ce qu’Il fait. Son dessein sur l’homme, réalisé en Jésus-Christ, dévoile son être intime. On ne peut disjoindre en lui l’acte et l’être.

Si l’Incarnation est acte d’humilité, c’est que Dieu est être d’humilité, ‘qui m’a vu a vu le Père’, dit Jésus (Jean 14, 9).

Le voyant laver avec humilité des pieds d’hommes, je « vois » donc, s’il dit vrai, "Dieu même" éternellement, mystérieusement, Serviteur avec humilité au plus profond de Sa Gloire.

L’humiliation du Christ n’est pas un avatar exceptionnel de la gloire. Elle manifeste dans le temps que l’humilité est au cœur de la gloire.

Ce que j’énonce ici tranquillement est un paradoxe si fort que la raison d’abord vacille, décontenancée, et comme découragée d’avance. Si pourtant, abandonnant provisoirement les concepts à leur apparente opposition, on choisit de se référer, sans plus attendre, à l’expérience toute simple qu’on a de l’amour, même mêlée de péché.

Un rai de lumière filtre déjà à travers la nuit des mots.

On pressent qu’aimer avec orgueil n’est pas vraiment aimer.

SI DIEU EST AMOUR, IL EST HUMBLE.

J'ai chez moi son livre "Joie de croire, joie de vivre "


Le connais-tu, ma chère ROSE ?

mario-franc_lazur a écrit:

rosedumatin a écrit:

Humilité de l’Incarnation – François Varillon (Jésuite 1906-1978)

Dieu révèle ce qu’Il est par ce qu’Il fait. Son dessein sur l’homme, réalisé en Jésus-Christ, dévoile son être intime. On ne peut disjoindre en lui l’acte et l’être.

Si l’Incarnation est acte d’humilité, c’est que Dieu est être d’humilité, ‘qui m’a vu a vu le Père’, dit Jésus (Jean 14, 9).

Le voyant laver avec humilité des pieds d’hommes, je « vois » donc, s’il dit vrai, "Dieu même" éternellement, mystérieusement, Serviteur avec humilité au plus profond de Sa Gloire.

L’humiliation du Christ n’est pas un avatar exceptionnel de la gloire. Elle manifeste dans le temps que l’humilité est au cœur de la gloire.

Ce que j’énonce ici tranquillement est un paradoxe si fort que la raison d’abord vacille, décontenancée, et comme découragée d’avance. Si pourtant, abandonnant provisoirement les concepts à leur apparente opposition, on choisit de se référer, sans plus attendre, à l’expérience toute simple qu’on a de l’amour, même mêlée de péché.

Un rai de lumière filtre déjà à travers la nuit des mots.

On pressent qu’aimer avec orgueil n’est pas vraiment aimer.

SI DIEU EST AMOUR, IL EST HUMBLE.

J'ai chez moi son livre "Joie de croire, joie de vivre "


Le connais-tu, ma chère ROSE ?

Non mon Cher MARIO, je ne connais pas ce livre........ c'est tentant en tous les cas !

rosedumatin a écrit:

mario-franc_lazur a écrit:

rosedumatin a écrit:

Humilité de l’Incarnation – François Varillon (Jésuite 1906-1978)

Dieu révèle ce qu’Il est par ce qu’Il fait. Son dessein sur l’homme, réalisé en Jésus-Christ, dévoile son être intime. On ne peut disjoindre en lui l’acte et l’être.

Si l’Incarnation est acte d’humilité, c’est que Dieu est être d’humilité, ‘qui m’a vu a vu le Père’, dit Jésus (Jean 14, 9).

Le voyant laver avec humilité des pieds d’hommes, je « vois » donc, s’il dit vrai, "Dieu même" éternellement, mystérieusement, Serviteur avec humilité au plus profond de Sa Gloire.

L’humiliation du Christ n’est pas un avatar exceptionnel de la gloire. Elle manifeste dans le temps que l’humilité est au cœur de la gloire.

Ce que j’énonce ici tranquillement est un paradoxe si fort que la raison d’abord vacille, décontenancée, et comme découragée d’avance. Si pourtant, abandonnant provisoirement les concepts à leur apparente opposition, on choisit de se référer, sans plus attendre, à l’expérience toute simple qu’on a de l’amour, même mêlée de péché.

Un rai de lumière filtre déjà à travers la nuit des mots.

On pressent qu’aimer avec orgueil n’est pas vraiment aimer.

SI DIEU EST AMOUR, IL EST HUMBLE.

J'ai chez moi son livre "Joie de croire, joie de vivre "


Le connais-tu, ma chère ROSE ?

Non mon Cher MARIO, je ne connais pas ce livre........ c'est tentant en tous les cas !

C'est un livre EPATANT . Je te le ferai lire ///

mario-franc_lazur a écrit:

rosedumatin a écrit:

mario-franc_lazur a écrit:

rosedumatin a écrit:

Humilité de l’Incarnation – François Varillon (Jésuite 1906-1978)

Dieu révèle ce qu’Il est par ce qu’Il fait. Son dessein sur l’homme, réalisé en Jésus-Christ, dévoile son être intime. On ne peut disjoindre en lui l’acte et l’être.

Si l’Incarnation est acte d’humilité, c’est que Dieu est être d’humilité, ‘qui m’a vu a vu le Père’, dit Jésus (Jean 14, 9).

Le voyant laver avec humilité des pieds d’hommes, je « vois » donc, s’il dit vrai, "Dieu même" éternellement, mystérieusement, Serviteur avec humilité au plus profond de Sa Gloire.

L’humiliation du Christ n’est pas un avatar exceptionnel de la gloire. Elle manifeste dans le temps que l’humilité est au cœur de la gloire.

Ce que j’énonce ici tranquillement est un paradoxe si fort que la raison d’abord vacille, décontenancée, et comme découragée d’avance. Si pourtant, abandonnant provisoirement les concepts à leur apparente opposition, on choisit de se référer, sans plus attendre, à l’expérience toute simple qu’on a de l’amour, même mêlée de péché.

Un rai de lumière filtre déjà à travers la nuit des mots.

On pressent qu’aimer avec orgueil n’est pas vraiment aimer.

SI DIEU EST AMOUR, IL EST HUMBLE.

J'ai chez moi son livre "Joie de croire, joie de vivre "


Le connais-tu, ma chère ROSE ?

Non mon Cher MARIO, je ne connais pas ce livre........ c'est tentant en tous les cas !

C'est un livre EPATANT . Je te le ferai lire ///

Merci mon CHER MARIO !!!

A méditer ce que tu as posté plus haut, ma chère ROSE, de François VARILLON :

" L’humiliation du Christ n’est pas un avatar exceptionnel de la gloire. Elle manifeste dans le temps que l’humilité est au cœur de la gloire.

Ce que j’énonce ici tranquillement est un paradoxe si fort que la raison d’abord vacille, décontenancée, et comme découragée d’avance. Si pourtant, abandonnant provisoirement les concepts à leur apparente opposition, on choisit de se référer, sans plus attendre, à l’expérience toute simple qu’on a de l’amour, même mêlée de péché.

Un rai de lumière filtre déjà à travers la nuit des mots.

On pressent qu’aimer avec orgueil n’est pas vraiment aimer.

SI DIEU EST AMOUR, IL EST HUMBLE "