le syncrétisme

21.05.16.

Bonjour,

Le syncrétisme, religion à part entière, est un mélange entre religion révélée ( Judaïsme, Christianisme, Islam ) et les cultes anciens.

Dans le Christianisme, il est présent par exemple aux caraïbes par la préservation de cultes d'origine africaine. Dans l'islam, dans les pays ayant au départ une culture hindouiste en l'ayant préservé malgré la conversion à l'islam.

Que peut bien penser Dieu de ceci ?

Personne n'aura la réponse mais nous pouvons grâce à l'honnêteté des scribes juifs, étudier le syncrétisme et les réactions de Dieu. Nous pourrons voir travers les textes, qui souvent commencent par citer la désobéissance puis par souvent préciser l'absence d'un roi et donc d'une unité entre les 12 tribus, que malgré les atrocités commises, qui vont au delà de l'idolâtrie car certains comportement sont abominables, Dieu laissera à la fois les hommes subirent les effets de leur désobéissance envers Lui tout en restant fidèle à l'engagement qu'il a pris envers son 1e peuple.

Je vous propose donc de présenter plusieurs textes de l'AT.

Puis de débattre ensuite sur l'importance du leader ship qu'avaient Moïse et Josué car les textes parlant de syncrétisme se situent après leurs ministères. Ce qui explique peut être pourquoi une citation revient souvent : " A cette époque, il n'y avait pas de roi en Israël et chacun faisait ce qui lui semble bon ".

Voici les textes.

1e texte un exemple de syncrétisme :

juges 17 :

1 Il y avait un homme de la montagne d’Ephraïm, nommé Mica.
2 Il dit à sa mère : Les mille et cent sicles d’argent qu’on t’a pris, et pour lesquels tu as fait des imprécations ( traduit parfois par des malédictions ) même à mes oreilles, voici, cet argent est entre mes mains, c’est moi qui l’avais pris. Et sa mère dit: Béni soit mon fils par l’Eternel !
3 Il rendit à sa mère les mille et cent sicles d’argent ; et sa mère dit : Je consacre de ma main cet argent à l’Eternel, afin d’en faire pour mon fils une image taillée et une image en fonte ; et c’est ainsi que je te le rendrai.
4 Il rendit à sa mère l’argent. Sa mère prit deux cents sicles d’argent. Et elle donna l’argent au fondeur, qui en fit une image taillée et une image en fonte. On les plaça dans la maison de Mica.

Nous voyons ici en gras les éléments du syncrétisme. Nous pouvons voir aussi que Mica a volé l'argent de sa mère, ce qui moralement, est une attitude contraire à la loi de Dieu. La maman, consciente que son fils a commis une grave désobéissance ( les imprécations ) va penser pouvoir obtenir le pardon divin par une action religieuse mélangeant à la fois la connaissance de l'Eternel et l'idolâtrie.

2e texte : l'égarement du peuple, mais que font les lévites, tribu consacrée selon les prescriptions de Moïse ?

5 Ce Mica avait une maison de Dieu ; il fit un éphod et des théraphim, et il consacra l’un de ses fils, qui lui servit de prêtre.
6 En ce temps-là, il n’y avait point de roi en Israël. Chacun faisait ce qui lui semblait bon.
7 ¶ Il y avait un jeune homme de Bethléhem de Juda, de la famille de Juda ; il était Lévite, et il séjournait là.
8 Cet homme partit de la ville de Bethléhem de Juda, pour chercher une demeure qui lui convînt. En poursuivant son chemin, il arriva dans la montagne d’Ephraïm jusqu’à la maison de Mica.
9 Mica lui dit : D’où viens-tu ? Il lui répondit : Je suis Lévite, de Bethléhem de Juda, et je voyage pour chercher une demeure qui me convienne.
10 Mica lui dit : Reste avec moi ; tu me serviras de père et de prêtre, et je te donnerai dix sicles d’argent par année, les vêtements dont tu auras besoin, et ton entretien. Et le Lévite entra.
11 Il se décida ainsi à rester avec cet homme, qui regarda le jeune homme comme l’un de ses fils.
12 Mica consacra le Lévite, et ce jeune homme lui servit de prêtre et demeura dans sa maison.
13 Et Mica dit : Maintenant, je sais que l’Eternel me fera du bien, puisque j’ai ce Lévite pour prêtre.

le syncrétisme ne semble pas du tout déranger le lévite qui semble plutôt satisfait de profiter de sa naissance pour en vivre. Nous savons que se suffire de la fonction sans pour autant respecter l'esprit de la Loi de Dieu sera un sujet de conflit entre Jésus et certains membres de l'autorité religieuse.

Ensuite, nous pouvons voir que les danites ( la tribu de Dan ) sont en quête de leur territoire, ce qui permet de situer les récits peu de temps après l'entrée en terre promise car le livre des juges ne suit pas une chronologie précise.

Dans le récit de la tribu de Dan, apparaît encore la citation : " en ce temps là, il n'y avait pas de roi en Israël et chacun faisait ce qui lui semble bon ". Dans le cas des danites, ils étaient sensé conquérir les territoires des philistins. Sans doute avaient ils oublié comment Jéricho a été prise et les récits racontant comment les juifs malgré leur infériorité militaire et technologique ont remporté des victoires avec l'aide de Dieu. En effet, plutôt que d'affronter la puissance militaire des philistins avec foi, le récit se poursuit avec le choix de conquérir un territoire où vit une tribu paisible.

En chemin, il passe par la maison de Mica. c'est la suite des versets que je viens de citer, mais pour minimiser la lecture, que chacun pourra poursuivre selon son désir, dans cette histoire, les danites dépouillent Mica de ses objets d'idolâtrie et réussissent à convaincre le lévite qui est plus valorisant de servir de prêtre à toute une tribu plutôt qu'à un seul homme.

Bien sûr Mica se plaint auprès des danites qui lui répondent qu'ils pourraient lui faire bien pire :

Bonjour la fraternité entre tribus !!!!

mais ce que nous pouvons voir aussi, c'est que pour Mica, les danites lui ont tout prix en lui prenant ses objets de culte et son prêtre. En effet, en tant que croyant nous dirons que l'essentiel ne peut jamais être pris car l'essentiel c'est Dieu lui même.

Mais, il ne faut pas raisonner selon notre esprit et comprendre plutôt que :

Autant la mère de Mica, Mica lui même, le lévite et les danites pensaient réellement agir en respectant l'Eternel, puisqu'ils pensent tous qu'en agissant de cette façon qu'ils vont s'attirer ses faveurs.

Prenons le cas du lévite, il est pris en charge par un homme puis ensuite par toute une tribu : sans doute qu'il a pu prendre cela pour une bénédiction : toute une tribu, la classe !


Poursuivons ensuite les récits car le pire reste à venir, je m'escuse pour la brutalité du récits suivant, éloignez, c'est un impératif, vos enfants de vos écrans. Croyez moi, il ne faut pas qu'ils puissent lire ce qui va suivre, c'est tout simplement abominable.

3e texte : l'abomination

juges 19 :

1 Dans ce temps où il n’y avait point de roi en Israël, un Lévite, qui séjournait à l’extrémité de la montagne d’Ephraïm, prit pour sa concubine une femme de Bethléhem de Juda.

Ensuite sa concubine fut infidèle et suit le récit ou le lévite va chez le père de celle ci pour y séjourner quelque jour. Les jours du séjour se succèdent de façon particulière puisque le départ est plusieurs fois remis au lendemain. Il peut avoir étude sur le fait que le temps est peut être important pour la suite du récit en voyant peut être la main de Dieu qui agit pour faire concorder les évènements, mais ce n'est pas dit dans le texte, c'est donc de l'interprétation qui de toute façon n'est pas ici, le plus important dans l'idée de débat, bien que nous pouvons voir une sanction divine non révélée comme telle car le suite est abonnables.

Pendant le voyage, le lévite s'arrête chez un membre de la tribu de benjamin à Guibea, ville de la tribu de benjamin. vous n'êtes pas obligé de lire les versets suivant, mais ils permettent de voir le manque de fraternité.

Ils se dirigèrent de ce côté pour aller passer la nuit à Guibea. Le Lévite entra, et il s’arrêta sur la place de la ville. Il n’y eut personne qui les reçût dans sa maison pour qu’ils y passassent la nuit.
16 Et voici, un vieillard revenait le soir de travailler aux champs ; cet homme était de la montagne d’Ephraïm, il séjournait à Guibea, et les gens du lieu étaient Benjamites.
17 Il leva les yeux, et vit le voyageur sur la place de la ville. Et le vieillard lui dit : Où vas-tu, et d’où viens-tu ?
18 Il lui répondit : Nous allons de Bethléhem de Juda jusqu’à l’extrémité de la montagne d’Ephraïm, d’où je suis. J’étais allé à Bethléhem de Juda, et je me rends à la maison de l’Eternel. Mais il n’y a personne qui me reçoive dans sa demeure.
19 Nous avons cependant de la paille et du fourrage pour nos ânes ; nous avons aussi du pain et du vin pour moi, pour ta servante, et pour le garçon qui est avec tes serviteurs. Il ne nous manque rien.
20 Le vieillard dit : Que la paix soit avec toi ! Je me charge de tous tes besoins, tu ne passeras pas la nuit sur la place.
21 Il les fit entrer dans sa maison, et il donna du fourrage aux ânes. Les voyageurs se lavèrent les pieds ; puis ils mangèrent et burent.

voilà le pire

22 Pendant qu’ils étaient à se réjouir, voici, les hommes de la ville, gens pervers, entourèrent la maison, frappèrent à la porte, et dirent au vieillard, maître de la maison : Fais sortir l’homme qui est entré chez toi, pour que nous le connaissions.
23 Le maître de la maison, se présentant à eux, leur dit : Non, mes frères, ne faites pas le mal, je vous prie ; puisque cet homme est entré dans ma maison, ne commettez pas cette infamie.
24 Voici, j’ai une fille vierge, et cet homme a une concubine ; je vous les amènerai dehors ; vous les déshonorerez, et vous leur ferez ce qu’il vous plaira. Mais ne commettez pas sur cet homme une action aussi infâme.
25 Ces gens ne voulurent point l’écouter. Alors l’homme prit sa concubine, et la leur amena dehors. Ils la connurent, et ils abusèrent d’elle toute la nuit jusqu’au matin ; puis ils la renvoyèrent au lever de l’aurore.

ce récit n'est pas sans rappeler celui en genèse 19 (4 à 8 ), mais voilà si Lot dans ce récit a été confronté à la même abomination, il était parmi une tribu qui connaissait pas l'Eternel, ce qui n'est pas le cas ici.


26 Vers le matin, cette femme alla tomber à l’entrée de la maison de l’homme chez qui était son mari, et elle resta là jusqu’au jour.
27 Et le matin, son mari se leva, ouvrit la porte de la maison, et sortit pour continuer son chemin. Mais voici, la femme, sa concubine, était étendue à l’entrée de la maison, les mains sur le seuil.
28 Il lui dit : Lève-toi, et allons-nous-en. Elle ne répondit pas. Alors le mari la mit sur un âne, et partit pour aller dans sa demeure.
29 Arrivé chez lui, il prit un couteau, saisit sa concubine, et la coupa membre par membre en douze morceaux, qu’il envoya dans tout le territoire d’Israël.
30 Tous ceux qui virent cela dirent : Jamais rien de pareil n’est arrivé et ne s’est vu depuis que les enfants d’Israël sont montés du pays d’Egypte jusqu’à ce jour ; prenez la chose à cœur, consultez-vous, et parlez !

la concubine est violée à mort, le lévite commet aussi une action horrible en découpant le cadavre plutôt que de respecter une cérémonie sacrée. La parenthèse peut se faire aussi sur la position de la femme et de la fille, elles ne sont que de simples objets, ce qui est aussi contraire à la Loi de Dieu.
Le lévite va justifier son acte par le fait qu'il veut par cette méthode abominable, fédérer les tribus contre la tribu de benjamin.

vous pouvez le lire en poursuivant la lecture, moi je vais aller un peu plus vite.


Et, enfin une réaction positive, quand les stratégies de combat s'élaborent, ceux qui vont punir la tribu de benjamin vont enfin penser à consulter l'Eternel :

juges 20

23 Et les enfants d’Israël montèrent, et ils pleurèrent devant l’Eternel jusqu’au soir ; ils consultèrent l’Eternel, en disant : Dois-je m’avancer encore pour combattre les fils de Benjamin, mon frère ? L’Eternel répondit : Montez contre lui.


Réaction positive pour 2 points, d'abord parce que pour une fois la fraternité est mise en avant, ensuite parce que la question est remise entre les mains de Dieu.


La suite du récit , les combats, réduira la tribu de benjamin à 600 membres. Dieu ne permit donc pas son entière extermination.


Pour comprendre ce qui s'est passé, je vais citer Josué, le texte suffit.

josué 21 :

43 C’est ainsi que l’Eternel donna à Israël tout le pays qu’il avait juré de donner à leurs pères ; ils en prirent possession et s’y établirent.
44 L’Eternel leur accorda du repos tout alentour, comme il l’avait juré à leurs pères ; aucun de leurs ennemis ne put leur résister, et l’Eternel les livra tous entre leurs mains.
45 De toutes les bonnes paroles que l’Eternel avait dites à la maison d’Israël, aucune ne resta sans effet : toutes s’accomplirent.


Mais voilà...

juges 2 :


1 Un envoyé de l’Eternel monta de Guilgal à Bokim, et dit : Je vous ai fait monter hors d’Egypte, et je vous ai amenés dans le pays que j’ai juré à vos pères de vous donner. J’ai dit : Jamais je ne romprai mon alliance avec vous ;
2 et vous, vous ne traiterez point alliance avec les habitants de ce pays, vous renverserez leurs autels. Mais vous n’avez point obéi à ma voix. Pourquoi avez-vous fait cela ?
3 J’ai dit alors : Je ne les chasserai point devant vous ; mais ils seront à vos côtés, et leurs dieux vous seront un piège.

10 Toute cette génération fut recueillie auprès de ses pères, et il s’éleva après elle une autre génération, qui ne connaissait point l’Eternel, ni ce qu’il avait fait en faveur d’Israël.
11 Les enfants d’Israël firent alors ce qui déplaît à l’Eternel, et ils servirent les Baals.
12 Ils abandonnèrent l’Eternel, le Dieu de leurs pères, qui les avait fait sortir du pays d’Egypte, et ils allèrent après d’autres dieux d’entre les dieux des peuples qui les entouraient ; ils se prosternèrent devant eux, et ils irritèrent l’Eternel.
13 Ils abandonnèrent l’Eternel, et ils servirent Baal et les Astartés.
14 La colère de l’Eternel s’enflamma contre Israël. Il les livra entre les mains de pillards qui les pillèrent, il les vendit entre les mains de leurs ennemis d’alentour, et ils ne purent plus résister à leurs ennemis.
15 Partout où ils allaient, la main de l’Eternel était contre eux pour leur faire du mal, comme l’Eternel l’avait dit, comme l’Eternel le leur avait juré. Ils furent ainsi dans une grande détresse.
16 L’Eternel suscita des juges, afin qu’ils les délivrassent de la main de ceux qui les pillaient.
17 Mais ils n’écoutèrent pas même leurs juges, car ils se prostituèrent à d’autres dieux, se prosternèrent devant eux. Ils se détournèrent promptement de la voie qu’avaient suivie leurs pères, et ils n’obéirent point comme eux aux commandements de l’Eternel.
18 Lorsque l’Eternel leur suscitait des juges, l’Eternel était avec le juge, et il les délivrait de la main de leurs ennemis pendant toute la vie du juge ; car l’Eternel avait pitié de leurs gémissements contre ceux qui les opprimaient et les tourmentaient.
19

ous voyons ainsi comment le syncrétisme s'est installé dans les tribus d'Israël, par les compromis fait avec les autres et les lourdes conséquence.

toutefois, nous voyons que Dieu ne rompt pas son alliance, il corrige certes mais reste fidèle et miséricordieux.

Ainsi, la tribu de benjamin ne disparaîtra pas, malgré leur égarement.

Plus tard, de cette tribu naîtra celui qui est considéré par les juifs comme l'un des plus grand plus prophètes : Jérémie.

Ensuite, Paul de Tarse, qui connu lui même un temps d'égarement, compris le christ. Il est lui aussi un membre de la tribu de benjamin.


Mais ce que nous pouvons retenir, est que malgré les difficultés, malgré les actes mauvais des hommes, Dieu reste fidèle, louons le. Il reste fidèle à ses engagements. Il corrige certes, mais reste fidèle à sa parole.


Ensuite cette exemple de syncrétisme, Jésus le rencontra aussi, en Samarie. les samaritains étaient aussi, suite à l'invasion assyrienne, tombé dans le syncrétisme en mélangeant l'Eternel et les dieux assyriens.

Les juifs et les samaritains pourtant frères au départ, se sont livré à plusieurs conflits armés et ne se parlaient pas. Pourtant Jésus adressa la parole à une femme samaritaine au puit de Jacob.

Alors nous seulement, il s'adresse à une femme, en plus samaritaine et en plus de peu de vertu. En effet elle venait puiser de l'eau en plein soleil, vers midi, alors que les femmes le font le matin ou le soir pour éviter la forte chaleur. Cette femme ne voulait donc rencontrer personne car elle recevait les moqueries des autres femmes. D'ailleurs Jésus lui demande, l'incita plutôt à être honnête avec elle même mais ne la priva pas de sa révélation.

il prit aussi l'exemple du samaritain pour répondre à la question de qui est mon prochain ?



je dis tout cela parce que sans roi, les soucis arrivent, comme il est dit dans les textes, sans la guidance de Moïse et de Josué les ennuis arrivent. Pendant l'absence de Moïse sur le mont Sinaï, la tribu fit un veau d'or.

Finalement quel roi nous faut il ? un roi éternel que nous chrétien nous revendiquons être Jésus Christ. Aussi si nous le revendiquons comme roi, alors suivons son exemple, et ne jugeons pas les autres en fonction de leur culture mais prenons exemple sur son attitude envers la samaritaine quand nous abordons nos relations interreligieuses en ne les insultant pas de syncrétisme alors qu'il semblerait que c'est une triste réalité dans l'histoire des religions en générale.

Il faut donc aller au delà des préjugés, comme christ le faisait, se contenter simplement du dialogue, comme christ le faisait, sans tenir compte des écarts de conviction, comme christ le faisait.

Oh, je crois que mon post n'est pas à la bonne place, un modérateur aurait il l'amabilité de le placer là où il pense pourvoir trouver sa place ?

merci : )

Tonton a écrit:

Oh, je crois que mon post n'est pas à la bonne place, un modérateur aurait il l'amabilité de le placer là où il pense pourvoir trouver sa place ?

merci : )

C'est fait cher Tonton.

merci cyril

A vrai dire, Tonton, l'étude que tu as faite appelle de notre part une réflexion digne du contenu et de la façon dont tu as présenté ton sujet et comme des versets sont cités pour appuyer ta thèse, cela demande du temps et de la réflexion pour que quelqu'un puisse répondre en se basant sur une solide argumentation à la hauteur de la tienne.

Une bonne impression à prime abord puisque le sujet déjà mérite que l'on s'y attarde, disparité entre les religions ?

Une bonne impression pour lire à tête reposée et te répondre, quand le débat sera lancé d'autres viendront se rajouter car au fond ce sujet là désigne un mot, par lui même, toute la symbolique Chrétienne, l'union et l'union ne se vaut que si l'on est nombreux et force pour appuyer cette thèse essentielle du dogmatique Chrétien.