- ong debout pour la paix a écrit:
- 20.11.2015
MOUHAMMAD Prophète de PAIX
Lorsque le Prophète Mouhammad est arrivé à Médine en 622 de l’ère
chrétienne
Quand Mohamed est arrivé à Médine /Yatrib en 622, il venait de se faire fiche à la porte de la Mecque, après s'y être rendu insupportable à tous.Il a essayé de s'y accrocher piteusement en réclamant un « djiwār ».Un «
djiwār » est une «
entrée en voisinage ».
Elle est habituellement offerte à un étranger de passage pour lui garantir la sécurité et le droit de séjour au sein de la tribu.
La
biographie du Prophète, dans le Ta'rīkh al-rusul wa-l-mulūl de Tabarī, explique que ce contrat qui l'associe avec un statut d'étranger à une famille de la Mecque, lui a été proposé par al-Mut'im, fils de 'Adī, un chef du clan des Nawfal.
Contrairement à ce que raconte la Tradition, Mohamed n'a pas quitté la Mecque de son plein gré pour aller, triomphant, à la rencontre des Médinois qui l'auraient appelé pour arbitrer leurs différends. Il s'est au contraire efforcé de rester à la Mecque par tous les moyens possibles, quitte à accepter le statut de simple invité-étranger dans sa ville de naissance.
«
Il cherchent à te faire fuir de la terre dont tu es ! » (S. 17, 76), témoigne le Coran à la fin de la période mecquoise.
Cela prouve que ce n'est pas Mohamed qui est parti librement à Medine... mais qu'au contraire il a piteusement tenté de rester à la Mecque, alors que tout le monde voulait le fiche dehors, tant il était agaçant.
Le Coran emploie le mot « ikhrādj » pour parler du départ de Mohamed (S. 60, 9 ; S. 47, 13 ; S. 22, 40 ; S. 3, 195 ; S. 3, 185 ; S. 57, 13).
Ce mot est employé pour évoquer l'action de débusquer un animal à la chasse. Mohamed a donc été débusqué de la Mecque, après en avoir été banni et s'y être désespérément accroché au prix d'un statut d'étranger-invité, un « djiwār ».
Par ailleurs, Mohamed était fauché en arrivant à Yathrib/Medine.
Il a dû se faire tout petit et se soumettre aux lois tribales du lieux.C'est le Coran qui le raconte...
L'arrivée à Yathrib n'a pas été triomphale et Mohamed mettra des années pour la dominer. Malgré les reconstructions tardives de la Tradition musulmane, Mohamed devra se soumettre jusqu’à la fin de sa vie aux pratiques tribales et rendre hommage aux chefs tribaux qui l'ont accueilli comme un réfugié.
Deux anecdotes sont évoquées dans le Coran qui confirment ce statut d'infériorité et de précarité :- La première anecdote sur l'infériorité tribale de Mohamed se trouve sourate 63, la 104e récitée ! à la fin du Coran : «
Mais les hypocrites ne comprennent pas. Ils disent : « Bien sûr que si nous rentrons à Médine, le plus puissant très certainement en fera sortir le plus humble » » (S. 63, 7-8).
Que s'est-il donc passé ?
La Tradition musulmane l'explique.
L’anecdote se situe aux alentours de 627. Lors d'un retour vers Yathrib, des hommes appartenant à Mohamed, quoiqu'arrivés les premiers à un point d'eau, ont dû laisser la place aux hommes d'Ibn Ubbayy, qui avaient réclamé la priorité au nom du statut tribal dominant de leur maître.
La menace reprise dans le Coran est très précise. Si Ibn Ubbayy avait appris par ses hommes revenus à Médine que ceux de Mohamed avaient refusé l'ordre de préséance : «
le plus puissant très certainement en [aurait fait sortir] le plus humble ».
Mohamed aurait donc été chassé de Yathrib pour non respect des usages tribaux.
La fin du verset est une piteuse tentative offerte par Sa Divinité pour restaurer la suprématie qui lui est refusée dans la réalité : «
Alors qu'à Dieu la puissance, et à Son messager et aux croyants ! Mais les hypocrites ne savent pas ! » (S. 63, fin du verset 8).
- La seconde anecdote est racontée sourate 9, récitée à la 113e position, donc à l'extrême fin de la vie de Mohamed. Elle évoque la mort et l'enterrement d'un puissant chef de Yathrib, mort en païen, le fils du fameux Ubayy.
Le fils d'Ubayy s'est toujours opposé à Mohamed et a refusé d'entrer dans son alliance.
Néanmoins Mohamed est obligé de se rendre sur sa tombe pour lui rendre l'hommage tribal et y sacrifier.
Le Coran est témoin de la frustration de Mohamed – presque de sa colère - mais aussi de l'obligation où il est de se soumettre aux allégeances tribales : «
Dorénavant tu n’auras plus à aller prier [ou sacrifier], lorsque l’un d’entre aux mourra; tu n’auras plus à te tenir sur son tombeau [pour lui rendre hommage]. Ils ont été impies envers Dieu et son Messager. [Ils sont morts] en pervers. » (S. 9, 84).
La promesse du Coran concerne l'avenir, mais confirme bien que, dans le présent et jusqu'à la fin de sa vie, Mohamed a dû se soumettre à la hiérarchie tribale de Yathrib/Médine dont il n'était pas le membre dominant.
Naturellement la Tradition musulmane, comme toute dictature de la pensée, a réécrit ces épisodes pour raconter une histoire enjolivée, toute à la gloire de prétendu Prophète Mohamed, mais le Coran garde le souvenir de sa soumission aux lois tribales et de son statu dégradé et d'infériorité.
Mohamed n'était donc pas en état de créer des liens diplomatiques avec quiconque en arrivant à Médine.Ce n'était qu'un petit arabe du coin, qui devait se soumettre aux arables plus puissants.Il était d'ailleurs totalement fauché, et dans la dépendance financière.Il aurait pu travailler, naturellement !.... comme tout le monde !
Mais il a préféré gagner son fric en allant razzier des marchants arabes qui rentraient chez eux.
Il s'agit du raid de Nakhla en 623, où des innocents ont été tués.
Mais Mohamed a pillé leur caravane et cela lui a permis de survivre.Ton prophète pacifiste..... c'est de l'histoire révisionniste de bisounous taqiyeur !
Avec moi, çà ne marche pas,
J'ai lu le Coran ! euh ! ah oui.... pardon..... j'oubliais.............. :