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 Les 100 ans de Mère Teresa

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mario-franc_lazur
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mario-franc_lazur



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MessageSujet: Les 100 ans de Mère Teresa   Les 100 ans de Mère Teresa EmptySam 04 Sep 2010, 20:54


La bienheureuse de Calcutta aurait fêté jeudi 26 août son centième anniversaire. De nombreux événements, en France et à l’étranger, honorent sa mémoire, au-delà des cercles chrétiens


En Inde et en Albanie, bien sûr, mais aussi en Israël, en France ou aux États-Unis, partout à travers le monde on célèbre ces jours-ci les 100 ans de la naissance de Mère Teresa, le 26 août 1910. Ainsi, à Jérusalem, le patriarche latin Fouad Twal célébrera, samedi 28 août, une messe spéciale à sa mémoire.

À New York, à Times Square, des panneaux d’affichages géants seront illuminés en bleu et blanc, couleurs de l’habit de sa congrégation. En Inde, un train de couleur bleue portant le nom de Mère Teresa doit entrer en service jeudi 26 août et parcourir bientôt tout le pays. Trois États des Balkans (Albanie, Macédoine, Kosovo) qui revendiquent chacun une partie du parcours de Mère Teresa ont aussi prévu des hommages.

À Crépy-en-Valois (Oise), le curé avait demandé aux paroissiens le patronage qu’ils souhaitaient donner à une nouvelle chapelle, inaugurée en septembre 2009 dans un nouveau quartier de la ville, majoritairement musulman : c’est le nom de Mère Teresa qui est arrivé en tête ! La chapelle, dont l’intérieur a été laissé en béton gris, est coiffée d’un plafond acoustique, en forme de vague, forme épurée rappelant la toge de Mère Teresa.
Décide à 12 ans devenir religieuse

Cette grande figure du XXe siècle continue à marquer les esprits, bien au-delà des cercles catholiques. D’autant plus que depuis sa mort, le 5 septembre 1997, et sa béatification accélérée par Jean-Paul II, le 19 octobre 2003, les révélations sur sa longue nuit spirituelle – une nuit qui ne cessera de s’épaissir au fur et à mesure que son activité portera du fruit – l’ont rendue encore plus digne d’admiration.

Née le 26 août 1910 à Skopje (actuelle capitale de la République de Macédoine) dans la minorité albanaise, issue d’une famille catholique et aimante, Agnès Gonxha Bojaxhiu devient, à 8 ans, orpheline de son père.

Ayant décidé à 12 ans de devenir religieuse, elle arrive à 18 ans chez les Sœurs de Notre-Dame-de-Lorette en Irlande (où elle reçoit le nom de Sœur Mary Teresa, en souvenir de Thérèse de Lisieux), et l’année suivante en Inde où ses supérieures l’envoient enseigner à l’école de filles de Calcutta.
Le « jour de l’inspiration »

C’est le 10 septembre 1946, dans le train qui l’emmène à Darjeeling (nord de l’Inde) pour sa retraite annuelle, que sa vie bascule. La religieuse, qui a alors 36 ans, entend Jésus sur la croix lui dire : « J’ai soif », et comprend, comme l’a raconté l’Américain Joseph Langford (1), que le Christ lui demande d’étancher sa soif en l’aimant à travers les déshérités des bidonvilles.

Ce « jour de l’inspiration » sera, plus tard, célébré comme la date de naissance de la congrégation, dans les cinq branches des Missionnaires de la Charité.

« Aujourd’hui comme il y a cent ans, le Christ a toujours aussi soif et continue de chercher des âmes qui étanchent sa soif. Cette soif du Christ est un mystère de l’humilité de Dieu qui choisit d’avoir besoin de ses créatures », souligne-t-on chez les Missionnaires de la Charité, installées depuis 1985 rue de la Folie-Méricourt, dans le 11e arrondissement de Paris.

La première maison, où logent six religieuses (dont trois Indiennes et une Malgache) vêtues du traditionnel sari blanc bordé de bleu, est un foyer d’accueil pour femmes en difficulté : dans la petite cour intérieure, quelques bambins s’amusent sous les yeux de leurs mères africaines. Dans l’immeuble voisin, 200 sans-abri font la queue, dès 9 heures du matin, pour profiter d’un repas chaud servi tous les jours (après la prière), été comme hiver, grâce à une dizaine de volontaires.
Des messes à la mémoire de la bienheureuse de Calcutta

« Du 27 août au 4 septembre, nous prierons une neuvaine et, le dimanche 5 septembre, Mgr Éric de Moulins-Beaufort, évêque auxiliaire de Paris, célébrera la messe chez nous, à 8 heures, comme tous les dimanches », précise une missionnaire de la Charité, avant d’ajouter que le dimanche 12 septembre, le cardinal André Vingt-Trois, archevêque de Paris, célébrera une messe « à l’intention spéciale de Mère Teresa » à Notre-Dame.

À Marseille et à Lyon, où sont également implantées les Missionnaires de la Charité, Mgr Georges Pontier (le dimanche 5 septembre) et le cardinal Philippe Barbarin (le vendredi 10 septembre, à la cathédrale Saint-Jean) célébreront également une messe à la mémoire de la bienheureuse de Calcutta.

Sur place, l’anniversaire de la « Mother » sera également fêté, notamment par les centaines de bénévoles qui viennent du monde entier proposer leurs services dans les hôpitaux, les orphelinats et autres centres des Missionnaires de la Charité.
"S’exposer aux formes les plus brutales de la misère humaine"

« Certains se sentent attirés par Calcutta comme par un aimant, sans savoir pourquoi », écrit le sociologue Xavier Zunigo, auteur de "Volontaires chez Mère Teresa" (Éd. Belin, 176 p., 19 €). Dans son enquête, il a cherché à comprendre pourquoi des Occidentaux, chrétiens ou non, jeunes ou moins jeunes, « viennent volontairement s’exposer aux formes les plus brutales de la misère humaine ».

« À Calcutta, on ne vient pas pour “aider” les pauvres. Ça, c’est bon pour les ONG et il y en a plein à Calcutta ! On va chez les Missionnaires de la Charité pour “toucher” les pauvres, pour étancher la soif d’amour des pauvres qui ont besoin d’exister en tant qu’hommes ou femmes, ne serait-ce qu’un instant avant de mourir », poursuit-il, en racontant comment il a lui aussi appris à laver un cadavre ou à retirer les vers d’un pied infecté. « Ce sont les pauvres qui veulent vous aimer, ceux qui ne reçoivent ni ne donnent quasiment jamais d’amour. Laissez-leur la possibilité de le faire ! »

Claire LESEGRETAIN

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http://evangileetcoran.unblog.fr/2009/07/31/une-reponse-chretien
Seraphine

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MessageSujet: Re: Les 100 ans de Mère Teresa   Les 100 ans de Mère Teresa EmptyVen 08 Oct 2010, 16:30

mario-franc_lazur a écrit:

La bienheureuse de Calcutta aurait fêté jeudi 26 août son centième anniversaire. De nombreux événements, en France et à l’étranger, honorent sa mémoire, au-delà des cercles chrétiens


En Inde et en Albanie, bien sûr, mais aussi en Israël, en France ou aux États-Unis, partout à travers le monde on célèbre ces jours-ci les 100 ans de la naissance de Mère Teresa, le 26 août 1910. Ainsi, à Jérusalem, le patriarche latin Fouad Twal célébrera, samedi 28 août, une messe spéciale à sa mémoire.

À New York, à Times Square, des panneaux d’affichages géants seront illuminés en bleu et blanc, couleurs de l’habit de sa congrégation. En Inde, un train de couleur bleue portant le nom de Mère Teresa doit entrer en service jeudi 26 août et parcourir bientôt tout le pays. Trois États des Balkans (Albanie, Macédoine, Kosovo) qui revendiquent chacun une partie du parcours de Mère Teresa ont aussi prévu des hommages.

À Crépy-en-Valois (Oise), le curé avait demandé aux paroissiens le patronage qu’ils souhaitaient donner à une nouvelle chapelle, inaugurée en septembre 2009 dans un nouveau quartier de la ville, majoritairement musulman : c’est le nom de Mère Teresa qui est arrivé en tête ! La chapelle, dont l’intérieur a été laissé en béton gris, est coiffée d’un plafond acoustique, en forme de vague, forme épurée rappelant la toge de Mère Teresa.
Décide à 12 ans devenir religieuse

Cette grande figure du XXe siècle continue à marquer les esprits, bien au-delà des cercles catholiques. D’autant plus que depuis sa mort, le 5 septembre 1997, et sa béatification accélérée par Jean-Paul II, le 19 octobre 2003, les révélations sur sa longue nuit spirituelle – une nuit qui ne cessera de s’épaissir au fur et à mesure que son activité portera du fruit – l’ont rendue encore plus digne d’admiration.

Née le 26 août 1910 à Skopje (actuelle capitale de la République de Macédoine) dans la minorité albanaise, issue d’une famille catholique et aimante, Agnès Gonxha Bojaxhiu devient, à 8 ans, orpheline de son père.

Ayant décidé à 12 ans de devenir religieuse, elle arrive à 18 ans chez les Sœurs de Notre-Dame-de-Lorette en Irlande (où elle reçoit le nom de Sœur Mary Teresa, en souvenir de Thérèse de Lisieux), et l’année suivante en Inde où ses supérieures l’envoient enseigner à l’école de filles de Calcutta.
Le « jour de l’inspiration »

C’est le 10 septembre 1946, dans le train qui l’emmène à Darjeeling (nord de l’Inde) pour sa retraite annuelle, que sa vie bascule. La religieuse, qui a alors 36 ans, entend Jésus sur la croix lui dire : « J’ai soif », et comprend, comme l’a raconté l’Américain Joseph Langford (1), que le Christ lui demande d’étancher sa soif en l’aimant à travers les déshérités des bidonvilles.

Ce « jour de l’inspiration » sera, plus tard, célébré comme la date de naissance de la congrégation, dans les cinq branches des Missionnaires de la Charité.

« Aujourd’hui comme il y a cent ans, le Christ a toujours aussi soif et continue de chercher des âmes qui étanchent sa soif. Cette soif du Christ est un mystère de l’humilité de Dieu qui choisit d’avoir besoin de ses créatures », souligne-t-on chez les Missionnaires de la Charité, installées depuis 1985 rue de la Folie-Méricourt, dans le 11e arrondissement de Paris.

La première maison, où logent six religieuses (dont trois Indiennes et une Malgache) vêtues du traditionnel sari blanc bordé de bleu, est un foyer d’accueil pour femmes en difficulté : dans la petite cour intérieure, quelques bambins s’amusent sous les yeux de leurs mères africaines. Dans l’immeuble voisin, 200 sans-abri font la queue, dès 9 heures du matin, pour profiter d’un repas chaud servi tous les jours (après la prière), été comme hiver, grâce à une dizaine de volontaires.
Des messes à la mémoire de la bienheureuse de Calcutta

« Du 27 août au 4 septembre, nous prierons une neuvaine et, le dimanche 5 septembre, Mgr Éric de Moulins-Beaufort, évêque auxiliaire de Paris, célébrera la messe chez nous, à 8 heures, comme tous les dimanches », précise une missionnaire de la Charité, avant d’ajouter que le dimanche 12 septembre, le cardinal André Vingt-Trois, archevêque de Paris, célébrera une messe « à l’intention spéciale de Mère Teresa » à Notre-Dame.

À Marseille et à Lyon, où sont également implantées les Missionnaires de la Charité, Mgr Georges Pontier (le dimanche 5 septembre) et le cardinal Philippe Barbarin (le vendredi 10 septembre, à la cathédrale Saint-Jean) célébreront également une messe à la mémoire de la bienheureuse de Calcutta.

Sur place, l’anniversaire de la « Mother » sera également fêté, notamment par les centaines de bénévoles qui viennent du monde entier proposer leurs services dans les hôpitaux, les orphelinats et autres centres des Missionnaires de la Charité.
"S’exposer aux formes les plus brutales de la misère humaine"

« Certains se sentent attirés par Calcutta comme par un aimant, sans savoir pourquoi », écrit le sociologue Xavier Zunigo, auteur de "Volontaires chez Mère Teresa" (Éd. Belin, 176 p., 19 €). Dans son enquête, il a cherché à comprendre pourquoi des Occidentaux, chrétiens ou non, jeunes ou moins jeunes, « viennent volontairement s’exposer aux formes les plus brutales de la misère humaine ».

« À Calcutta, on ne vient pas pour “aider” les pauvres. Ça, c’est bon pour les ONG et il y en a plein à Calcutta ! On va chez les Missionnaires de la Charité pour “toucher” les pauvres, pour étancher la soif d’amour des pauvres qui ont besoin d’exister en tant qu’hommes ou femmes, ne serait-ce qu’un instant avant de mourir », poursuit-il, en racontant comment il a lui aussi appris à laver un cadavre ou à retirer les vers d’un pied infecté. « Ce sont les pauvres qui veulent vous aimer, ceux qui ne reçoivent ni ne donnent quasiment jamais d’amour. Laissez-leur la possibilité de le faire ! »

Claire LESEGRETAIN


Merci Mario de parler de Mère Teresa !

Je dois être guidée aujourd'hui voilà ce que je voulais dire en exprimant dans le post "les stigmatisés" que Jésus a besoin de sa créature pour le salut de tous :

Citation :
« Aujourd’hui comme il y a cent ans, le Christ a toujours aussi soif et continue de chercher des âmes qui étanchent sa soif. Cette soif du Christ est un mystère de l’humilité de Dieu qui choisit d’avoir besoin de ses créatures », souligne-t-on chez les Missionnaires de la Charité, installées depuis 1985 rue de la Folie-Méricourt, dans le 11e arrondissement de Paris.


Cordialement.
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mario-franc_lazur
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MessageSujet: Re: Les 100 ans de Mère Teresa   Les 100 ans de Mère Teresa EmptyVen 08 Oct 2010, 18:39

Seraphine a écrit:

Merci Mario de parler de Mère Teresa !

Je dois être guidée aujourd'hui voilà ce que je voulais dire en exprimant dans le post "les stigmatisés" que Jésus a besoin de sa créature pour le salut de tous :

Citation :
« Aujourd’hui comme il y a cent ans, le Christ a toujours aussi soif et continue de chercher des âmes qui étanchent sa soif. Cette soif du Christ est un mystère de l’humilité de Dieu qui choisit d’avoir besoin de ses créatures », souligne-t-on chez les Missionnaires de la Charité, installées depuis 1985 rue de la Folie-Méricourt, dans le 11e arrondissement de Paris.


Cordialement.

Et qui va te guider, ma chère SERAPHINE ???
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