Origine de la ville de Lourdes et de son pélerinage.

15.04.2015

En 778, l’empereur français Charlemagne, lassé par la résistance opiniâtre du Seigneur sarrasin Mirât occupant la citadelle de Mirambel (l'actuelle citadelle de Lourdes, en France) s'apprête à lever le siège lorsqu’un compagnon de Charlemagne l’évêque du Puy-en-Velay, ville de la région française d’Auvergne, a une inspiration et obtient l'autorisation d'aller parlementer avec l'assiégé.

Il propose à Mirât de se rendre, non pas au souverain, mais à la Reine des cieux. La proposition plaît au chef Maure qui dépose ses armes aux pieds de la Vierge noire du Puy et se fait baptiser. Le jour de son baptême, Mirât prend le nom de Lorus qui, transmis à la ville, devint plus tard Lourdes.

Lors de la reddition il est écrit que Mirât : « ne connaît aucun mortel au-dessus de lui et préfère la mort à la honte de la capitulation ; qu'il rend les armes au serviteur de Notre Dame, et est prêt à recevoir le baptême, à condition que son comté ne relève jamais, soit pour lui soit pour ses descendants que d'Elle seule. » Charlemagne signe l'accord. Le 11 février 1858, Notre Dame apparaît à Sainte Bernadette et demande à être vénérée à Lourdes

Marquis de la Franquerie
Tiré de La Vierge Marie dans l'histoire de France du, Editions Résiac pages 36 à 38


Lu sur le Web :

En 778, Charlemagne, qui combattait avec succès les Maures (arabes) dans le sud de la france, buta à Lourdes devant une forteresse défendue par Mirat et ses troupes, qui avaient juré de ne se rendre à aucun mortel. Après plusieurs mois de siège du château, alors que Mirat allait être réduit par la famine à capituler, un aigle passa au-dessus du château-fort, emportant un poisson énorme qu'il venait de pêcher dans le lac (une truite ou un brochet selon les versions...). Hasard miraculeux : l'aigle lâcha le poisson au-dessus du château. La proie vint à tomber en un point de l'enceinte, appelé "Pierre de l'aigle". Mirat saisit le poisson et l'envoie à Charlemagne qui décide, croyant à une abondance de réserves, de lever le siège... L'empereur a pour conseiller l'évêque du Puy-en-Velay. Celui-ci, inspiré, décide une manoeuvre subtile en invitant Mirat à déposer les armes non pas devant Charlemagne, mais devant la statue de la "Reine des Cieux" célébrée au Puy, et que les musulmans honorent aussi. Il en fut ainsi et Mirat, peu après, voulut se faire baptiser et prit le nom de Lorus (qui signifie "la rose" en arabe), qui deviendra Lourdes.

Je ne connais pas cette histoire.
Peux-tu nous donner tes sources ?
Il y a eu des Maures dans le sud ouest de la France entre le VIIIe et le Xe siècle. Ils y sont arrivés avec la conquête arabe. Certains y sont restés plusieurs siècles en pouvant pratiquer leur foi musulmane librement, alors qu'ils avaient été battu militairement.

Certains ont forcement fini par se convertir au catholicisme, ou par immigrer, puisque ce foyer de musulmans s'est éteint sans doute vers le Xe siècle.

mario-franc_lazur a écrit:

Lu sur le Web :


En 778, Charlemagne, qui combattait avec succès les Maures (arabes) dans le sud de la france, buta à Lourdes devant une forteresse défendue par Mirat et ses troupes, qui avaient juré de ne se rendre à aucun mortel. Après plusieurs mois de siège du château, alors que Mirat allait être réduit par la famine à capituler, un aigle passa au-dessus du château-fort, emportant un poisson énorme qu'il venait de pêcher dans le lac (une truite ou un brochet selon les versions...). Hasard miraculeux : l'aigle lâcha le poisson au-dessus du château. La proie vint à tomber en un point de l'enceinte, appelé "Pierre de l'aigle". Mirat saisit le poisson et l'envoie à Charlemagne qui décide, croyant à une abondance de réserves, de lever le siège... L'empereur a pour conseiller l'évêque du Puy-en-Velay. Celui-ci, inspiré, décide une manoeuvre subtile en invitant Mirat à déposer les armes non pas devant Charlemagne, mais devant la statue de la "Reine des Cieux" célébrée au Puy, et que les musulmans honorent aussi. Il en fut ainsi et Mirat, peu après, voulut se faire baptiser et prit le nom de Lorus (qui signifie "la rose" en arabe), qui deviendra Lourdes.

Voilà un sujet très intéressant mon cher MARIO, je vois que j'ai bien choisi mon pseudo !!!

rosedumatin a écrit:

mario-franc_lazur a écrit:

Lu sur le Web :


En 778, Charlemagne, qui combattait avec succès les Maures (arabes) dans le sud de la france, buta à Lourdes devant une forteresse défendue par Mirat et ses troupes, qui avaient juré de ne se rendre à aucun mortel. Après plusieurs mois de siège du château, alors que Mirat allait être réduit par la famine à capituler, un aigle passa au-dessus du château-fort, emportant un poisson énorme qu'il venait de pêcher dans le lac (une truite ou un brochet selon les versions...). Hasard miraculeux : l'aigle lâcha le poisson au-dessus du château. La proie vint à tomber en un point de l'enceinte, appelé "Pierre de l'aigle". Mirat saisit le poisson et l'envoie à Charlemagne qui décide, croyant à une abondance de réserves, de lever le siège... L'empereur a pour conseiller l'évêque du Puy-en-Velay. Celui-ci, inspiré, décide une manoeuvre subtile en invitant Mirat à déposer les armes non pas devant Charlemagne, mais devant la statue de la "Reine des Cieux" célébrée au Puy, et que les musulmans honorent aussi. Il en fut ainsi et Mirat, peu après, voulut se faire baptiser et prit le nom de Lorus (qui signifie "la rose" en arabe), qui deviendra Lourdes.

Voilà un sujet très intéressant mon  cher MARIO, je vois que j'ai bien choisi mon pseudo !!!

Oui, mon amie Rosedumatin, et au moins on s'instruit sur ce site!.....

pinson a écrit:

rosedumatin a écrit:

mario-franc_lazur a écrit:

Lu sur le Web :


En 778, Charlemagne, qui combattait avec succès les Maures (arabes) dans le sud de la france, buta à Lourdes devant une forteresse défendue par Mirat et ses troupes, qui avaient juré de ne se rendre à aucun mortel. Après plusieurs mois de siège du château, alors que Mirat allait être réduit par la famine à capituler, un aigle passa au-dessus du château-fort, emportant un poisson énorme qu'il venait de pêcher dans le lac (une truite ou un brochet selon les versions...). Hasard miraculeux : l'aigle lâcha le poisson au-dessus du château. La proie vint à tomber en un point de l'enceinte, appelé "Pierre de l'aigle". Mirat saisit le poisson et l'envoie à Charlemagne qui décide, croyant à une abondance de réserves, de lever le siège... L'empereur a pour conseiller l'évêque du Puy-en-Velay. Celui-ci, inspiré, décide une manoeuvre subtile en invitant Mirat à déposer les armes non pas devant Charlemagne, mais devant la statue de la "Reine des Cieux" célébrée au Puy, et que les musulmans honorent aussi. Il en fut ainsi et Mirat, peu après, voulut se faire baptiser et prit le nom de Lorus (qui signifie "la rose" en arabe), qui deviendra Lourdes.

Voilà un sujet très intéressant mon  cher MARIO, je vois que j'ai bien choisi mon pseudo !!!

Oui, mon amie Rosedumatin, et au moins on s'instruit sur ce site!.....

cher PINSON, ravie de te croiser ....

Estandrine a écrit:

mario-franc_lazur a écrit:

15.04.2015

Quand un chef maure dépose les armes aux pieds de la Vierge

En 778, l’empereur français Charlemagne, lassé par la résistance opiniâtre du Seigneur sarrasin Mirât occupant la citadelle de Mirambel (l'actuelle citadelle de Lourdes, en France) s'apprête à lever le siège lorsqu’un compagnon de Charlemagne l’évêque du Puy-en-Velay, ville de la région française d’Auvergne, a une inspiration et obtient l'autorisation d'aller parlementer avec l'assiégé.

Il propose à Mirât de se rendre, non pas au souverain, mais à la Reine des cieux. La proposition plaît au chef Maure qui dépose ses armes aux pieds de la Vierge noire du Puy et se fait baptiser. Le jour de son baptême, Mirât prend le nom de Lorus qui, transmis à la ville, devint plus tard Lourdes.

Lors de la reddition il est écrit que Mirât : « ne connaît aucun mortel au-dessus de lui et préfère la mort à la honte de la capitulation ; qu'il rend les armes au serviteur de Notre Dame, et est prêt à recevoir le baptême, à condition que son comté ne relève jamais, soit pour lui soit pour ses descendants que d'Elle seule. » Charlemagne signe l'accord. Le 11 février 1858, Notre Dame apparaît à Sainte Bernadette et demande à être vénérée à Lourdes


Marquis de la Franquerie
Tiré de La Vierge Marie dans l'histoire de France du, Editions Résiac pages 36 à 38

Intérêssant, mais quand je vois "vierge noir" et "reine des cieux" ça me fait penser à des déesses païennes...
"Les enfants ramassent du bois, Les pères allument le feu, Et les femmes pétrissent la pâte, Pour préparer des gâteaux à la reine du ciel, Et pour faire des libations à d'autres dieux, Afin de m'irriter." Jérémie 7 v 18
Enfin, c'est écrit dans la bible j'invente pas... je m'étend pas les débat protestants/catholique sont interdit.

Oui, ne nous étendons pas, mais je tiens tout de même à préciser, ma chère ESTANDRINE, que Marie n'est aucunement une déesse, et que l'expression "reine du Ciel" n'est qu'une façon de dire que c'est, dans le Ciel, la plus sainte de toutes les saintes ....

Les Catholiques croient fermement que Marie est Reine du Ciel, Mère de Dieu, Vierge Immaculée.

Elle a été préservée d'avance de la tache originelle en vertu des mérites de son Fils Jésus qui allait s'incarner en Elle.

De toute Eternité, Dieu connait Marie.

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LES MYSTÈRES DU SAINT ROSAIRE

5e Mystère Glorieux: Marie est couronnée Reine du ciel et de la terre.

«Un signe grandiose apparut dans le ciel: une Femme, ayant le soleil pour manteau, la lune sous les pieds, et sur la tête une couronne de douze étoiles» (Ap 12, 1).

«Enfin, la Vierge immaculée, préservée par Dieu de toute atteinte de la faute originelle, ayant accompli le cours de sa vie terrestre, fut élevée corps et âme à gloire du ciel, et exaltée par le Seigneur comme la Reine de l'univers, pour être ainsi plus entièrement conforme à son Fils, Seigneur des seigneurs, victorieux du péché et de la mort» (Concil Vatican II, Lumen gentium, n. 59; cf. CEC, n. 966).

Vraiment très beau sujet. J'ignorais complètement cette anecdote de l'époque de Charlemagne. Concernant Marie, il y avait effectivement des chrétiens qui la considéraient comme une déesse ; la troisième personne de la Trinité. Ils étaient évidemment considérés comme hérétiques et étaient donc poursuivis jusque dans leurs retranchements… en Arabie. Voilà pourquoi le prophète de l'islam est persuadé que les chrétiens considèrent Marie de la sorte. Sachant par ailleurs que l'islam a énormément influencé la Réforme protestante, aucun étonnement de voir ces derniers perpétuer ce genre d'amalgame.

De tête comme ça, je ne peux vous donner aucune source, mais si vous demandez je sais où retrouver ce que j'avance.

rosedumatin a écrit:

/...................................;;
«Enfin, la Vierge immaculée, préservée par Dieu de toute atteinte de la faute originelle, ayant accompli le cours de sa vie terrestre, fut élevée corps et âme à gloire du ciel, et exaltée par le Seigneur comme la Reine de l'univers, pour être ainsi plus entièrement conforme à son Fils, Seigneur des seigneurs, victorieux du péché et de la mort» (Concil Vatican II, Lumen gentium, n. 59; cf. CEC, n. 966).

Comprenons-nous bien : cela ne rend pas Marie comme l'égale de DIEU, pas du tout ! mais comme participant pleinement, et à la tête du cortège de tous les saints, à la Vie Divine, de même que nous tous, si nous le voulons bien , nous participerons plus tard, après notre mort ( et après la purification du Purgatoire pour la plupart) à cette Vie divine promise aux Elus !... Et Marie sera à la tête du "cortège", reine du Ciel ....

Le chant du cygne a écrit:

Vraiment très beau sujet. J'ignorais complètement cette anecdote de l'époque de Charlemagne. Concernant Marie, il y avait effectivement des chrétiens qui la considéraient comme une déesse ; la troisième personne de la Trinité. Ils étaient évidemment considérés comme hérétiques et étaient donc poursuivis jusque dans leurs retranchements… en Arabie. Voilà pourquoi le prophète de l'islam est persuadé que les chrétiens considèrent Marie de la sorte. Sachant par ailleurs que l'islam a énormément influencé la Réforme protestante, aucun étonnement de voir ces derniers perpétuer ce genre d'amalgame.

De tête comme ça, je ne peux vous donner aucune source, mais si vous demandez je sais où retrouver ce que j'avance.

Il doit s'agir, mon cher CDC, des Collyridiens !

Epiphane, dans une de ses oeuvres, l’Ancoratus, en 13, 2, parle de ce groupe qu’il paraît avoir connu en Arabie au IVe siècle à partir d’une source orale (Panarion 79, 1, 2)

L’hérésie collyridienne n’est d'ailleurs pas la seule déviation mariale relevée par Epiphane : en effet, il connaît aussi les «antidicomarianites » qui tendent à considérer Marie comme une femme ordinaire, lui refusant le privilège de la virginité
– groupe dont il est question en Panarion 78.

D’ailleurs, dans le passage de l’Ancoratus, en 13, 1, il oppose les deux déviations mariales en ces termes :
« Il y a ceux qui disent de Sainte Marie, la toujours vierge, qu’après la naissance du Sauveur, elle a eu des relations conjugales avec Joseph : nous les avons appelés antidicomarianites. Il y a ceux qui offrent un gâteau de sacrifice (kolluriv") au nom de Marie : on les appelle les collyridiens ».

Ainsi, selon l’hérésiologue, ces deux déviations consistent pour l’une à refuser de reconnaître les privilèges de Marie, notamment sa virginité et pour l’autre à exalter Marie en la plaçant au centre d’un culte.

Revenons aux Collyridiens :
1
« Collyridiens. - Secte chrétienne du IVe siècle, dont le siège paraît avoir été en Arabie. Leur nom vient de ce qu'ils rendaient à la Vierge un culte dont la cérémonie principale était l'offrande de gâteaux (kollurides). Cette cérémonie était faite par des femmes. Epiphane (Panarium contra haereses) la réprouve, parce qu'il la trouve associée à un culte dans lequel il voit une adoration, qui place Marie au rang de la divinité, et parce qu'elle fait participer des femmes au sacerdoce. Du fait que les Collyridiens étaient considérés comme hérétiques au IVe siècle, Basnage (Histoire de l'Eglise) conclut que tout culte quelconque voué à Marie était condamné à cette époque. »

fraternellement


(recopié de : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] )

mario-franc_lazur a écrit:

rosedumatin a écrit:

/...................................;;
«Enfin, la Vierge immaculée, préservée par Dieu de toute atteinte de la faute originelle, ayant accompli le cours de sa vie terrestre, fut élevée corps et âme à gloire du ciel, et exaltée par le Seigneur comme la Reine de l'univers, pour être ainsi plus entièrement conforme à son Fils, Seigneur des seigneurs, victorieux du péché et de la mort» (Concil Vatican II, Lumen gentium, n. 59; cf. CEC, n. 966).

Comprenons-nous bien : cela ne rend pas Marie comme l'égale de DIEU, pas du tout ! mais comme participant pleinement, et à la tête du cortège de tous les saints, à la Vie Divine, de même que nous tous, si nous le voulons bien , nous participerons plus tard, après notre mort ( et après la purification du Purgatoire pour la plupart) à cette Vie divine promise aux Elus !... Et Marie sera à la tête du "cortège", reine du Ciel ....

Si tu permets cher MARIO, il y aura quand même une différence avec nous c' est que Marie tout comme le Christ n'a jamais connu le péché !!!!

la preuve en est qu'elle est montée directement au ciel, sans avoir nul besoin de purification comme nous autres.

mario-franc_lazur a écrit:

Le chant du cygne a écrit:

Vraiment très beau sujet. J'ignorais complètement cette anecdote de l'époque de Charlemagne. Concernant Marie, il y avait effectivement des chrétiens qui la considéraient comme une déesse ; la troisième personne de la Trinité. Ils étaient évidemment considérés comme hérétiques et étaient donc poursuivis jusque dans leurs retranchements… en Arabie. Voilà pourquoi le prophète de l'islam est persuadé que les chrétiens considèrent Marie de la sorte. Sachant par ailleurs que l'islam a énormément influencé la Réforme protestante, aucun étonnement de voir ces derniers perpétuer ce genre d'amalgame.

De tête comme ça, je ne peux vous donner aucune source, mais si vous demandez je sais où retrouver ce que j'avance.

Il doit s'agir, mon cher CDC, des Collyridiens !

Epiphane, dans une de ses oeuvres, l’Ancoratus, en 13, 2, parle de ce groupe qu’il paraît avoir connu en Arabie au IVe siècle à partir d’une source orale (Panarion 79, 1, 2)

L’hérésie collyridienne n’est d'ailleurs pas la seule déviation mariale relevée par Epiphane : en effet, il connaît aussi les «antidicomarianites » qui tendent à considérer Marie comme une femme ordinaire, lui refusant le privilège de la virginité
– groupe dont il est question en Panarion 78.

D’ailleurs, dans le passage de l’Ancoratus, en 13, 1, il oppose les deux déviations mariales en ces termes :
« Il y a ceux qui disent de Sainte Marie, la toujours vierge, qu’après la naissance du Sauveur, elle a eu des relations conjugales avec Joseph : nous les avons appelés antidicomarianites. Il y a ceux qui offrent un gâteau de sacrifice (kolluriv") au nom de Marie : on les appelle les collyridiens ».

Ainsi, selon l’hérésiologue, ces deux déviations consistent pour l’une à refuser de reconnaître les privilèges de Marie, notamment sa virginité et pour l’autre à exalter Marie en la plaçant au centre d’un culte.

Revenons aux Collyridiens :
1
« Collyridiens. - Secte chrétienne du IVe siècle, dont le siège paraît avoir été en Arabie. Leur nom vient de ce qu'ils rendaient à la Vierge un culte dont la cérémonie principale était l'offrande de gâteaux (kollurides). Cette cérémonie était faite par des femmes. Epiphane (Panarium contra haereses) la réprouve, parce qu'il la trouve associée à un culte dans lequel il voit une adoration, qui place Marie au rang de la divinité, et parce qu'elle fait participer des femmes au sacerdoce. Du fait que les Collyridiens étaient considérés comme hérétiques au IVe siècle, Basnage (Histoire de l'Eglise) conclut que tout culte quelconque voué à Marie était condamné à cette époque. »

fraternellement


(recopié de :   [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]   )

Précisément… Et c'est ce qui explique pourquoi Mohamed aurait fait ce contresens grossier. Il n'était pas plus bête qu'un autre, il n'avait juste pas les bonnes cartes en main.

rosedumatin a écrit:

pinson a écrit:

rosedumatin a écrit:

Voilà un sujet très intéressant mon  cher MARIO, je vois que j'ai bien choisi mon pseudo !!!

Oui, mon amie Rosedumatin, et au moins on s'instruit sur ce site!.....

  cher PINSON, ravie de te croiser ....

Ravissement réciproque, amie Rosedumatin ....

rosedumatin a écrit:

Les Catholiques croient fermement que Marie est Reine du Ciel, Mère de Dieu, Vierge Immaculée.

Elle a été préservée d'avance de la tache originelle en vertu des mérites de son Fils Jésus qui allait s'incarner en Elle.

De toute Eternité, Dieu connait Marie.

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]


LES MYSTÈRES DU SAINT ROSAIRE

5e Mystère Glorieux: Marie est couronnée Reine du ciel et de la terre.

«Un signe grandiose apparut dans le ciel: une Femme, ayant le soleil pour manteau, la lune sous les pieds, et sur la tête une couronne de douze étoiles» (Ap 12, 1).

«Enfin, la Vierge immaculée, préservée par Dieu de toute atteinte de la faute originelle, ayant accompli le cours de sa vie terrestre, fut élevée corps et âme à gloire du ciel, et exaltée par le Seigneur comme la Reine de l'univers, pour être ainsi plus entièrement conforme à son Fils, Seigneur des seigneurs, victorieux du péché et de la mort» (Concil Vatican II, Lumen gentium, n. 59; cf. CEC, n. 966).

mario-franc_lazur a écrit:

Lu sur le Web :


En 778, Charlemagne, qui combattait avec succès les Maures (arabes) dans le sud de la france, buta à Lourdes devant une forteresse défendue par Mirat et ses troupes, qui avaient juré de ne se rendre à aucun mortel. Après plusieurs mois de siège du château, alors que Mirat allait être réduit par la famine à capituler, un aigle passa au-dessus du château-fort, emportant un poisson énorme qu'il venait de pêcher dans le lac (une truite ou un brochet selon les versions...). Hasard miraculeux : l'aigle lâcha le poisson au-dessus du château. La proie vint à tomber en un point de l'enceinte, appelé "Pierre de l'aigle". Mirat saisit le poisson et l'envoie à Charlemagne qui décide, croyant à une abondance de réserves, de lever le siège... L'empereur a pour conseiller l'évêque du Puy-en-Velay. Celui-ci, inspiré, décide une manoeuvre subtile en invitant Mirat à déposer les armes non pas devant Charlemagne, mais devant la statue de la "Reine des Cieux" célébrée au Puy, et que les musulmans honorent aussi. Il en fut ainsi et Mirat, peu après, voulut se faire baptiser et prit le nom de Lorus (qui signifie "la rose" en arabe), qui deviendra Lourdes.

Merci Mario pour ce récit ! c' est la preuve que Dieu regardait vers Lourdes, ce n'est pas étonnant que Marie est venue donner un message à une petite jeune fille de 14 ans. La force de Dieu éclate dans le plus faible et il y a envoyé Marie, vers cette enfant démunie de tout, sans aucune prétention , une toute petite jeune fille de 1, 40 m à l' époque. Bernadette avait surtout l' âme pure et disait " si la sainte Vierge avait trouvé une plus pauvre que moi, elle l'aurait choisie " ou encore " je suis le balai de la sainte Vierge, qu'est ce qu'on fait d' un balai après qu'on s' en est servi ? on le range derrière la porte "

Quelle humilité !

Je me suis rendue plusieurs fois à Lourdes, ce lieu béni et j' espère encore y retourner.

A Nevers aussi, j' ai visité le couvent où Bernadette est entrée après les apparitions, on y voit son corps incorruptible, conservé et qui pourtant n'a subi aucun traitement.

Elle est morte à 36 ans, la Vierge lui avait dit : " je ne vous promets pas d' être heureuse en ce monde mais dans l' autre " ! "