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 Sainte Marie Eugénie de Jésus

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MessageSujet: Sainte Marie Eugénie de Jésus   Sainte Marie Eugénie de Jésus EmptySam 09 Mar 2013, 19:36

dimanche 10 mars 2013

Ste Marie Eugénie de Jésus Fondatrice des « Religieuses de l'Assomption »

Marie-Eugénie de Jésus, née Anne-Eugénie Milleret de Brou, naquit à Metz le 26 août 1817, elle partagea son enfance entre l'hôtel particulier des Milleret de Brou et la vaste propriété de Preisch, aux frontières du Luxembourg, de l'Allemagne et de la France.

Comblée, dans une famille non-croyante dont le père voltairien est un haut-fonctionnaire et la mère, excellente éducatrice, ne pratique que le formalisme religieux, elle connaîtra une véritable rencontre mystique avec Jésus Christ le jour de sa première communion, à Noël, en 1829.

Après 1830, son père, ruiné, doit vendre la propriété de Preisch, puis l'hôtel de Metz. Ses parents se séparent; elle va à Paris avec sa mère qui sera emportée brutalement par le choléra en 1832. Elle est recueillie dans une riche famille d'amis, à Châlons. L'adolescente de 17 ans connaît alors le désarroi et la solitude dans les mondanités qui l'entourent: « Je passai quelques années à me questionner sur la base et l'effet des croyances que je n'avais pas comprises... Mon ignorance de l'enseignement de l'Église était inconcevable et pourtant j'avais reçu les instructions communes du catéchisme » (Lettre à Lacordaire - 1841)

Son père la fait revenir à Paris. Durant le carême 1836, elle retrouve la lumière en entendant l'abbé Lacordaire prêcher à Notre-Dame. « Votre parole me donnait une foi que rien ne devait plus faire vaciller ». « Ma vocation date de Notre-Dame » dira-t-elle plus tard. Elle se passionne alors pour le renouveau du christianisme de Lamenais, de Montalembert et de ses amis.

Parmi eux, l'abbé Combalot dont elle entend les prédications à Saint-Sulpice en mars 1837. C'est à Saint-Eustache qu'elle le rencontre pour la première fois. Il rêvait de fonder une congrégation dédiée à Notre-Dame de l'Assomption, pour former les jeunes filles des milieux dirigeants, non-croyants pour la plupart. Elle rêvait de réaliser une vocation religieuse mais elle hésite d'abord à le suivre, puis elle accepte.

Il l'envoie en formation chez les Visitandines de la Côte Saint-André (Isère) qui la marquent de l'esprit et de la spiritualité de saint François de Sales.

En octobre 1838, c'est la rencontre avec l'abbé d'Alzon qui fondera les Pères de l'Assomption en 1845. Cette grande amitié durera 40 ans. Elle a déjà, précises dans son esprit, les bases de sa pédagogie: elle récuse une éducation mondaine où l'instruction profane est au rabais; elle veut un christianisme authentique et non un vernis superficiel; elle entend donner aux jeunes filles une formation de tout l'être à la lumière du Christ.

En avril 1839, elles sont deux jeunes filles à se réunir dans ce but, dans un petit appartement, rue Férou, à Paris; en octobre, elles se retrouvent bientôt à quatre dans une maison de la rue de Vaugirard, étudiant la théologie, l'Écriture Sainte et les sciences profanes. Kate O'Neill, une irlandaise, est déjà là, elle qui prendra le nom religieux de Thérèse-Emmanuel; sa forte personnalité accompagnera Marie-Eugénie de Jésus de son amitié et de son aide durant toute sa vie. Les sœurs se séparent définitivement de l'abbé Combalot en mai 1841. Sa direction fantasque et son manque de mesure vis-à-vis de l'Archevêque de Paris risquaient de tout compromettre.

Mgr Affre leur offre l'appui de son Vicaire général, Mgr Gros. C'est une libération. Les sœurs reprennent leurs études et font leur profession religieuse le 14 août 1841.

Leur pauvreté est grande et la communauté ne se développe pas. Ce qui n'empêche pas sœur Marie-Eugénie, d'ouvrir une première école, au printemps 1842, impasse des Vignes. Puis elle s'installe à Chaillot, car la communauté grandit, toujours plus internationale. Elle se plaint parfois des prêtres et des laïcs trop repliés sur leur piété: « Leur cœur ne bat pour rien de large ».

Sa relation avec l'Abbé d'Alzon s'approfondit. Pétri des idées de Lamennais, fort de Jésus Christ, attaché à l'Église, il l'entraîne; elle le modère. Il est combatif; elle le nuance.

Les fondations se multiplient à travers le monde. Rome reconnaît la Congrégation des Religieuses de l'Assomption en 1867. Les Constitutions seront définitivement approuvées le 11 avril 1888. La mort du P. d'Alzon, en 1880, est l'annonce du dépouillement qu'elle avait reconnu nécessaire en 1854: « Dieu veut que tout tombe autour de moi ». Sœur Thérèse-Emmanuel disparaît à son tour le 3 mai 1888, et sa solitude se creuse davantage. La croissance de la Congrégation est une lourde charge pour elle.

Entre 1854 et 1895, de nouvelles communautés naissent en France, puis des fondations en Angleterre, en Espagne, en Nouvelle-Calédonie, en Italie, en Amérique latine et aux Philippines. Elle enchaîne voyages, constructions, consultations, décisions...

Les religieuses seront des enseignantes s'adaptant aux besoins devant lesquels les place l'évolution de la vie et de l'Église, sans pour autant se départir des observances monastiques.

Quand elle découvre l'impuissance de la vieillesse, « un état où ne reste plus que l'amour », elle s'efface peu à peu. « Je n'ai plus qu'à être bonne ». Sa santé s'altère. Vaincue par la paralysie en 1897, elle n'aura plus que son regard pour le dire.

Le 10 mars 1898, elle rejoint le Christ ressuscité qui, sur terre, était son unique passion.

Marie Eugénie de Jésus a été béatifiée le 9 février 1975, à Rome, par le Vénérable Paul VI (Giovanni Battista Montini, 1963-1978) et canonisée, place Saint-Pierre, par le pape Benoît XVI, le 3 juin 2007.

Source principale : vatican.va (« Rév. x gpm »).


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MessageSujet: Re: Sainte Marie Eugénie de Jésus   Sainte Marie Eugénie de Jésus EmptySam 09 Mar 2013, 20:08

*Espérance* a écrit:
dimanche 10 mars 2013

Ste Marie Eugénie de Jésus Fondatrice des « Religieuses de l'Assomption »

Marie-Eugénie de Jésus, née Anne-Eugénie Milleret de Brou, naquit à Metz le 26 août 1817, elle partagea son enfance entre l'hôtel particulier des Milleret de Brou et la vaste propriété de Preisch, aux frontières du Luxembourg, de l'Allemagne et de la France.

Comblée, dans une famille non-croyante dont le père voltairien est un haut-fonctionnaire et la mère, excellente éducatrice, ne pratique que le formalisme religieux, elle connaîtra une véritable rencontre mystique avec Jésus Christ le jour de sa première communion, à Noël, en 1829.

Après 1830, son père, ruiné, doit vendre la propriété de Preisch, puis l'hôtel de Metz. Ses parents se séparent; elle va à Paris avec sa mère qui sera emportée brutalement par le choléra en 1832. Elle est recueillie dans une riche famille d'amis, à Châlons. L'adolescente de 17 ans connaît alors le désarroi et la solitude dans les mondanités qui l'entourent: « Je passai quelques années à me questionner sur la base et l'effet des croyances que je n'avais pas comprises... Mon ignorance de l'enseignement de l'Église était inconcevable et pourtant j'avais reçu les instructions communes du catéchisme » (Lettre à Lacordaire - 1841)

Son père la fait revenir à Paris. Durant le carême 1836, elle retrouve la lumière en entendant l'abbé Lacordaire prêcher à Notre-Dame. « Votre parole me donnait une foi que rien ne devait plus faire vaciller ». « Ma vocation date de Notre-Dame » dira-t-elle plus tard. Elle se passionne alors pour le renouveau du christianisme de Lamenais, de Montalembert et de ses amis.

Parmi eux, l'abbé Combalot dont elle entend les prédications à Saint-Sulpice en mars 1837. C'est à Saint-Eustache qu'elle le rencontre pour la première fois. Il rêvait de fonder une congrégation dédiée à Notre-Dame de l'Assomption, pour former les jeunes filles des milieux dirigeants, non-croyants pour la plupart. Elle rêvait de réaliser une vocation religieuse mais elle hésite d'abord à le suivre, puis elle accepte.

Il l'envoie en formation chez les Visitandines de la Côte Saint-André (Isère) qui la marquent de l'esprit et de la spiritualité de saint François de Sales.

En octobre 1838, c'est la rencontre avec l'abbé d'Alzon qui fondera les Pères de l'Assomption en 1845. Cette grande amitié durera 40 ans. Elle a déjà, précises dans son esprit, les bases de sa pédagogie: elle récuse une éducation mondaine où l'instruction profane est au rabais; elle veut un christianisme authentique et non un vernis superficiel; elle entend donner aux jeunes filles une formation de tout l'être à la lumière du Christ.

En avril 1839, elles sont deux jeunes filles à se réunir dans ce but, dans un petit appartement, rue Férou, à Paris; en octobre, elles se retrouvent bientôt à quatre dans une maison de la rue de Vaugirard, étudiant la théologie, l'Écriture Sainte et les sciences profanes. Kate O'Neill, une irlandaise, est déjà là, elle qui prendra le nom religieux de Thérèse-Emmanuel; sa forte personnalité accompagnera Marie-Eugénie de Jésus de son amitié et de son aide durant toute sa vie. Les sœurs se séparent définitivement de l'abbé Combalot en mai 1841. Sa direction fantasque et son manque de mesure vis-à-vis de l'Archevêque de Paris risquaient de tout compromettre.

Mgr Affre leur offre l'appui de son Vicaire général, Mgr Gros. C'est une libération. Les sœurs reprennent leurs études et font leur profession religieuse le 14 août 1841.

Leur pauvreté est grande et la communauté ne se développe pas. Ce qui n'empêche pas sœur Marie-Eugénie, d'ouvrir une première école, au printemps 1842, impasse des Vignes. Puis elle s'installe à Chaillot, car la communauté grandit, toujours plus internationale. Elle se plaint parfois des prêtres et des laïcs trop repliés sur leur piété: « Leur cœur ne bat pour rien de large ».

Sa relation avec l'Abbé d'Alzon s'approfondit. Pétri des idées de Lamennais, fort de Jésus Christ, attaché à l'Église, il l'entraîne; elle le modère. Il est combatif; elle le nuance.

Les fondations se multiplient à travers le monde. Rome reconnaît la Congrégation des Religieuses de l'Assomption en 1867. Les Constitutions seront définitivement approuvées le 11 avril 1888. La mort du P. d'Alzon, en 1880, est l'annonce du dépouillement qu'elle avait reconnu nécessaire en 1854: « Dieu veut que tout tombe autour de moi ». Sœur Thérèse-Emmanuel disparaît à son tour le 3 mai 1888, et sa solitude se creuse davantage. La croissance de la Congrégation est une lourde charge pour elle.

Entre 1854 et 1895, de nouvelles communautés naissent en France, puis des fondations en Angleterre, en Espagne, en Nouvelle-Calédonie, en Italie, en Amérique latine et aux Philippines. Elle enchaîne voyages, constructions, consultations, décisions...

Les religieuses seront des enseignantes s'adaptant aux besoins devant lesquels les place l'évolution de la vie et de l'Église, sans pour autant se départir des observances monastiques.

Quand elle découvre l'impuissance de la vieillesse, « un état où ne reste plus que l'amour », elle s'efface peu à peu. « Je n'ai plus qu'à être bonne ». Sa santé s'altère. Vaincue par la paralysie en 1897, elle n'aura plus que son regard pour le dire.

Le 10 mars 1898, elle rejoint le Christ ressuscité qui, sur terre, était son unique passion.

Marie Eugénie de Jésus a été béatifiée le 9 février 1975, à Rome, par le Vénérable Paul VI (Giovanni Battista Montini, 1963-1978) et canonisée, place Saint-Pierre, par le pape Benoît XVI, le 3 juin 2007.

Source principale : vatican.va (« Rév. x gpm »).



Sainte Marie Eugénie de Jésus 175602 de nous faire connaître la vie de Marie Eugénie de Jésus ma chère Espérance !

J'ai beaucoup de sympathie pour la famille " Assomptionniste " ..
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MessageSujet: Re: Sainte Marie Eugénie de Jésus   Sainte Marie Eugénie de Jésus EmptySam 09 Mar 2013, 20:46

Ce qui est bizarre quand même, c'est que le Père d'Alzon qui est le fondateur de l'Assomption ne soit pas encore canonisé je crois et que Mère Marie Eugénie le soit.
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MessageSujet: Re: Sainte Marie Eugénie de Jésus   Sainte Marie Eugénie de Jésus EmptySam 09 Mar 2013, 20:54

*Espérance* a écrit:
Ce qui est bizarre quand même, c'est que le Père d'Alzon qui est le fondateur de l'Assomption ne soit pas encore canonisé je crois et que Mère Marie Eugénie le soit.

En effet, voici ce que j'ai trouvé sur le site de l' Eglise Catholique de France concernant le Père d' Alzon.


Un homme de passion

Dans un dix-neuvième siècle mouvementé, le Père Emmanuel d'Alzon (1810-1880), passionné pour les grandes causes de Dieu et de l'homme, fonde en 1850, les Augustins de l'Assomption (ou Assomptionnistes) puis les Oblates de l'Assomption (1865). Deux autres congrégations naîtront encore, de la même sève : les Petites Sœurs de l'Assomption et les Orantes de l'Assomption, formant avec les Religieuses de l'Assomption, la famille de l'Assomption. Un nombre croissant de laïcs vivent de cette spiritualité, partageant la devise d'Emmanuel d'Alzon : « Adveniat regnum Tuum », Que ton règne vienne ! Portrait d'Emmanuel d'Alzon, homme de son siècle et de plein vent.





Né en 1810 au Vigan, dans les Cévennes, Emmanuel d'Alzon tient de son terreau natal et de sa famille le tempérament trempé qui en fera un ardent et un infatigable des grandes causes, celles de Dieu et de l'homme. Il est d'une famille aristocratique aux valeurs fortes et en hérite. Son père est quelque temps député. Après une solide éducation et le début d'études de droit à Paris (1828-1830), Emmanuel hésite à la croisée des chemins : sera-t-il militaire ou magistrat ? En mars 1832, après un temps de retrait de près de deux années dans la terre cévenole où il a vu le jour, son choix est fait : il sera prêtre, ce qui signifie pour lui s'engager et agir pour transformer la société, en pleine recomposition après les soubresauts de la révolution de 1830. Il entre alors au séminaire de Montpellier, puis poursuivra à Rome ses études de théologie. C'est là qu'il est ordonné prêtre, le lendemain de Noël 1834, et reçu en audience privée par le Pape Grégoire XVI en mai suivant.
Emmanuel d'Alzon porte au cœur la passion du Christ, mais aussi de l'Eglise. Lamennais (prêtre, philosophe et écrivain, ndlr) a été condamné. D'Alzon doit renoncer publiquement aux idées de cet homme qui l'aura pourtant marqué profondément, spirituellement et humainement. C'est pour lui une épreuve, mais il s'engage sans répit et de toute son énergie dans l'Eglise de Nîmes, dont il devient vicaire général à 29 ans et pour... 39 ans, inlassable. L'amour du Christ, et de ce qu'il a le plus aimé, Marie et l'Eglise, sont au centre. Il les lèguera à ses disciples comme l'essentiel.




La passion du « Règne de Dieu en nous et autour de nous »

Il partage cette passion dès 1845 avec une poignée d'hommes, qui à Noël 1850 prononcent avec lui leurs vœux et constituent le germe de l'Assomption, dans une vie fraternelle fondée sur la Règle de Saint Augustin - d'où le nom d'Augustins de l'Assomption. Parce que c'est précisément au collège de l'Assomption que naît la jeune congrégation. D'Alzon veut en faire un prestigieux collège catholique libre. Il rêvera d'ailleurs toujours de fonder une université catholique, soucieux avant tout de « former Jésus-Christ dans les êtres ». Education (collèges, alumnats...), presse (Le Pèlerin en 1873, puis La Croix en 1883...), pèlerinages (le Pèlerinage National en 1873), œuvres sociales multiples, seront de façon durable les lieux d'incarnation de ce projet. L'œcuménisme aussi, qui mènera très vite à essaimer jusqu'en Bulgarie et en Turquie, tandis que quelque 20 ou 30 ans plus tard, les lois de laïcité et sur les Congrégations, disperseront les assomptionnistes en Angleterre, en Amérique du Sud, et au-delà, dans le même esprit pionnier, dans le souci des masses et de l'annonce vive du Royaume.

Quand Emmanuel d'Alzon meurt en 1880 à Nîmes, le feu a pris. « La contemplation et l'action sont unies pour nous dans un même but, disait-il : servir à l'extension du Règne de Jésus-Christ », et dès 1844 il l'écrivait : « Ma passion à moi serait la manifestation de l'Homme-Dieu et la divinisation de l'humanité par Jésus-Christ... » Ce projet demeure d'actualité pour ceux qui vivent de son esprit.

Père Jacques Neuviarts, a.a.


Il faut élargir les intelligences et les cœurs dans la grande question de la cause de Dieu. Il faut ouvrir des horizons pour les myopes, il faut allumer des brasiers pour des gens qui ne réclament que leur chauffe-pieds et ont peur qu'on leur donne un rhume en leur donnant trop de chaleur. Heureux les supérieurs qui embrassent le monde entier dans leur ambition parce qu'ils sont ambitieux de faire régner Jésus-Christ partout ! (E.S. p. 693, 4ème journée de la retraite dans la vie dans la spiritualité du P. Emmanuel d'Alzon)
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MessageSujet: Re: Sainte Marie Eugénie de Jésus   Sainte Marie Eugénie de Jésus EmptySam 09 Mar 2013, 21:01

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