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 Restrictions d'eau

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Pétunia
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MessageSujet: Restrictions d'eau   Restrictions d'eau EmptyJeu 11 Aoû 2022, 13:54

11.08.2022

Restrictions d’eau : ces entreprises qui s’organisent 

Publié le 11 août 2022 à 06h00
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]L’usine Guerbet à Lanester a développé un système de recyclage des eaux de process afin de réaliser des économies. (Le Télégramme/François Destoc)

[size=31]Conserveries, salaisons, minoteries, usines… Ces industriels bretons sont touchés par la crise de l’eau. Ils en parlent et listent leurs initiatives pour y répondre.[/size]


  • 1 Dans le pays vannetais, d’Aucy réduit la pression de l’eau



  • Dans le secteur de Vannes, l’entreprise d’Aucy du groupe Euredenn a mis en œuvre diverses mesures sur son site spécialisé dans les conserveries de légumes. « À l’échelle du Groupe Eureden (toutes activités aval confondues - légumes/œufs/viande), notre consommation d’eau est de 5,52 m3 par tonne produite. 90,4 % de l’eau prélevée est restituée dans le milieu naturel via une station de traitement et de l’épandage », expliquent les responsables.Dans le cadre du plan sécheresse, ces derniers ont mis en place chez d’Aucy, deux mesures principales : « la réduction de la pression de l’eau utilisée pour le lavage (légumes, nettoyage machines…) et la stratégie « re-use », c’est-à-dire la réutilisation, en début de process, de l’eau utilisée en cours de process.À lire sur le sujetComment Hénaff fait face aux restrictions d’eau


  • 2 À Lampaul-Guimiliau, la Cooperl ne peut pas réduire sa consommation de 25 % en quelques jours mais…



  • Dans le secteur de Morlaix (29), sur son site de 22 220 m² de Lampaul-Guimiliau, de la Cooperl transforme et commercialise « 24 000 tonnes par an de porcs et de volailles ». Cette usine de salaison consomme aussi beaucoup d’eau, avec « environ 122 000 m3 par an ». L’équivalent de 48 piscines olympiques. Une consommation qui provient pour « 13 % du réseau d’eau de ville » et pour « 87 % de forage privé (*) ». L’enjeu de l’eau est donc « essentiel » comme le dit Bertrand Convers qui, face aux décisions récentes des autorités, estime « ne pas pouvoir, en quelques jours, réduire de 25 % nos consommations d’eau. Nos réponses techniques et la révision de nos process ne peuvent être faites dans l’urgence. À moins de baisser la production ou de passer en mode dégradé et de diminuer la qualité, ce qui n’est pas envisageable ».Le professionnel rappelle que le site de Lampaul, qui a été repris par la Cooperl en 2017, a déjà vu « sa consommation d’eau réduite de 15 %, dont 7 % uniquement les trois dernières années ». Une diminution liée notamment à « une implication du personnel, sensibilisé au gaspillage », à un « investissement de 2,3 M€, en 2019 » pour renouveler « la salle des machines » et « économiser du gaz et de l’eau ». Autres décisions prises : « L’utilisation de nouveaux procédés de nettoyage, avec des enzymes » ou encore « l’arrêt de fonctionnement d’une tour thermo-réfrigérante qui était très consommatrice d’eau et n’était plus nécessaire dans un process ».


  • 3 Face au blé trop sec, la Minoterie centre-bretonne doit… hausser sa consommation



  • « Cette année, nous allons être obligés d’incorporer un peu plus d’eau dans notre process pour respecter le cahier des charges et la qualité de nos farines ». La sécheresse, c’est en amont qu’elle a un impact sur l’activité de Paulic meunerie, en Centre-Bretagne. « Depuis une dizaine d’années, les moissons sont de plus en plus sèches. Le blé, cette année, présente un taux d’humidité de 10 %. Nous devons le ramener à environ 16 %, le taux optimal pour une bonne mouture », explique Jean Paulic, le P-DG de Paulic meunerie. Le groupe minotier familial exploite trois moulins à Saint-Gérand (56), Séglien (56) et Plounévez-Quintin (22). C’est l’un des premiers producteurs de farine de froment et de sarrasin breton. Créé en 1957, Paulic meunerie emploi aujourd’hui 43 salariés et a réalisé un chiffre d’affaires de 11,3 M€ en 2021. « Nous sommes de faibles consommateurs d’eau. Tout notre procédé se déroule dans une ambiance sèche », explique encore Jean Paulic. À l’exception donc de l’humidification de la matière première. « Actuellement, nous sommes à 6 m³ de plus par jour, par rapport à l’année dernière ». Les économies d’eau se font donc sur d’autres postes : « Le rinçage des citernes de transport a été espacé et les camions ne sont plus lavés », détaille le P-DG de Paulic meunerie.




  • 4 À Lanester, l’usine Guerbet a su économiser 30 000 m3 par anLe groupe Guerbet

  • ce sont quatre sites de production en France dont celui de Lanester (56) où sont produites, tous les ans, 800 tonnes de principes actifs pour les produits de contraste. Ici, Guerbet a développé un système de recyclage des eaux de process afin de réaliser des économies d’eau. Indispensable lorsque l’on sait que la consommation de l’entreprise est équivalente à celle d’une commune de 6 000 habitants et que son approvisionnement provient du réseau potable de la ville. Avec ce système performant, ce sont « entre 20 000 m3 et 30 000 m3 par an sur les 160 000 m3 pris sur le réseau qui sont économisés », souligne Frédéric Pétrus, responsable. « Si on ne l’avait pas fait, on serait à 190 000 m3 ». Ce procédé justement, il permet d’utiliser non plus de l’eau potable mais des rejets épurés puis nanofiltrés de la station d’épuration de l’usine pour refroidir les gaz de combustion de l’incinérateur. Avant l’installation industrielle, en 2021, trois années de tests auront été nécessaires. L’entreprise lanestérienne a été soutenue par l’Agence de l’eau à hauteur de 40 % pour un montant global du projet de 110 000 €. Au final, l’entreprise économise 60 % de sa consommation. Loin d’être négligeable : c’est l’équivalent de « 250 piscines de 120 m3 ».* La Lampaulaise de salaisons dispose de trois forages de 120 mètres de profondeur qui alimentent le site avec un débit moyen 15 m3/h.



source Le Télégramme Restrictions d’eau : ces entreprises qui s’organisent - Agroalimentaire - Le Télégramme (letelegramme.fr) (abonnés)
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