Dialogue islamo-chrétien
Rejoignez nous vite

Sur le Forum Dialogue Islamo-Chrétien !!!

Dans les convictions et le respect de chacun.

BIENVENUE PARMI NOUS
Dialogue islamo-chrétien
Rejoignez nous vite

Sur le Forum Dialogue Islamo-Chrétien !!!

Dans les convictions et le respect de chacun.

BIENVENUE PARMI NOUS

Dialogue islamo-chrétien

CE FORUM A POUR VOCATION LE DIALOGUE ENTRE CHRÉTIENS ET MUSULMANS DANS LE RESPECT DES CONVICTIONS DE L'AUTRE
 
AccueilAccueil  PortailPortail  Dernières imagesDernières images  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Marhaba wa s-salam/Bienvenue et Paix
"Ce site se veut être un espace de dialogue entre Chrétiens et Musulmans. Les débats entre Chrétiens ( Catholiques versus Protestants ) comme entre Musulmans ( Sunnites versus Chiites ) ne sont donc pas admis sur nos différents forums. Il est interdit de contester publiquement la modération sauf par MP
Le Deal du moment :
Cartes Pokémon : la prochaine extension ...
Voir le deal

 

 Les ravages des thérapies pour «guérir» l’homosexualité

Aller en bas 
5 participants
AuteurMessage
OlivierV
Moderateur
Moderateur




Les ravages des thérapies pour «guérir» l’homosexualité Empty
MessageSujet: Les ravages des thérapies pour «guérir» l’homosexualité   Les ravages des thérapies pour «guérir» l’homosexualité EmptyDim 02 Sep 2018, 17:37

02.09.2018

«Cette séance m'a anéantie»: les ravages des thérapies pour «guérir» l’homosexualité

«Vous êtes malade, mais je peux vous soigner.» Ces mots, prononcés en décembre 2012, résonnent encore dans la tête d’Agathe*. Sa «maladie»? Aimer une femme.

À l’époque, ses parents apprennent via sa sœur qu’elle est lesbienne. Elle a 16 ans. Ne supportant plus la tension ni le manque de communication au sein du domicile familial, elle accepte d’aller voir un psychologue choisi par ses parents.

Au moment de se rendre au rendez-vous, elle ignore totalement qu’elle se dirige vers une thérapie de conversion. Ces pratiques visant à changer l’orientation sexuelle d’une personne restent encore aujourd’hui courantes aux États-Unis. Certains psychologues très connus outre-Atlantique, comme Tara King ou Mike Davidson, les pratiquent ouvertement. Les traitements sont d’une extrême violence, pouvant aller jusqu’aux électrochocs et aux injections de testostérone.

À l’heure actuelle, en France, aucun signalement de ce genre n’a été transmis aux autorités compétentes. Mais elles existent, de manière officieuse et sans choc physique, dans le plus grand secret des pouvoirs publics.

L’entretien d’Agathe se déroule en deux parties. La première, d’une demi-heure environ, pendant laquelle l’adolescente, accompagnée de ses parents, doit répondre à des questions parfois «déroutantes», souvent «blessantes». Le psychologue va même lui demander devant sa mère et son père si elle a «déjà vu un zizi». «La situation était déjà blessante, mais plus le rendez-vous avançait, plus je m’enfonçais dans la honte.»

Puis vint la seconde partie, où elle se retrouve seule face au psychologue, âgé d’une cinquantaine d’années: «J’ai beaucoup pleuré, il attaquait la personne que j’étais en me prouvant par A+B que je n’étais pas naturelle».

«Je suis ressortie totalement déboussolée, je me posais 10.000 questions que je ne m’étais jamais posées, se souvient-elle, les larmes aux yeux. Cette séance m’a anéantie.»
Depuis, Agathe a choisi de [......] à ses parents. Elle leur a assuré que cette partie de sa vie n’était qu’une «erreur de jeunesse». À 22 ans, elle vit toujours en secret son homosexualité.

Plongée au cœur d’une thérapie

Pour bien comprendre ce qu’est une thérapie de conversion, nous avons pris rendez-vous avec le même psychologue qu’Agathe, six ans plus tard. Nous nous sommes mis dans la peau d’Alexandre de Villeneuve, un adolescent de 17 ans en terminale ES qui a du mal à accepter son homosexualité.
Au premier abord, le psychologue reste prudent –du moins au début de l'entretien. Il tient à s’assurer que la volonté de «changement» d’Alexandre n’est pas celle de ses parents, mais bien la sienne.

Très vite, pourtant, les petites phrases fusent. On ne parlera pas d’homosexualité mais de «tendances homosexuelles». Plusieurs fois au cours de la séance, il tient d’ailleurs à «rassurer» Alexandre: «Que ce soit dans votre manière de parler ou dans vos mouvements, vous n’avez pas du tout l’aspect d’un homosexuel. Quand je vous ai vu arriver, je ne m’en serais jamais douté!»

Quelques minutes après le début du rendez-vous, le psychologue, n’hésitant pas à insister sur le fait qu’il est chrétien, affirme pouvoir changer Alexandre et le rendre hétérosexuel: «Dans certains cas que j’ai rencontrés, les personnes étaient clairement malades. J’ai déjà aidé des patients qui avaient des tendances, ou qui étaient carrément homosexuels, à changer et devenir hétérosexuels. Je peux le faire avec vous».

L’homme explique alors que «quelque chose s’est faussé avec votre mère ou avec votre père». Il en profite pour rappeler «qu'il y a encore trente ans, l’homosexualité était considérée dans les livres de psychiatrie comme une pathologie. Maintenant, les militants LGBT hurlent quand on parle de ça. Je ne dirais qu’une chose: je ne crois pas que l’on naît homosexuel».
S’engage ensuite une explication du «mal-être» d’Alexandre: «Quelque chose dans votre identification à vos parents a mal fonctionné dans les premières années de votre vie. Vous vous êtes plutôt identifié à votre mère qu’à votre père, au moment où vous auriez dû développer une certaine virilité».

Cette question de la masculinité revient régulièrement au cours de la séance, demeurant comme la question à creuser pour pouvoir «guérir»: «Nous allons essayer de décortiquer et de comprendre où ça a dévié à un moment. Pour cela, il faut comprendre quelles relations vous avez eues avec vos parents, pour voir où vous avez pris une mauvaise route».

Depuis dix ans, cet homme aujourd'hui proche de la retraite poursuit des «recherches» sur le sujet, pour savoir comment on «devient homosexuel». Il cite une étude dont il n’arrive à retrouver ni le nom, ni l'auteur ou autrice: «Je peux avoir la certitude que les perturbateurs endocriniens que vous consommez aujourd’hui dans vos aliments peuvent avoir des conséquences sur la sexualité».

Contacté une semaine après cette séance par une consoeur journaliste qui lui annonce enquêter sur les thérapies de conversion, le psychologue n’a ni confirmé ni infirmé ces pratiques et n’a pas souhaité répondre à ses questions, invoquant le secret professionnel.

La suite ici.
Revenir en haut Aller en bas
marcel1990

marcel1990



Les ravages des thérapies pour «guérir» l’homosexualité Empty
MessageSujet: Re: Les ravages des thérapies pour «guérir» l’homosexualité   Les ravages des thérapies pour «guérir» l’homosexualité EmptyDim 02 Sep 2018, 22:02

salut Olivier

il faut se documenter sur la psychanalyse ....ça n'a rien avoir avec ce que raconte Agathe
Revenir en haut Aller en bas
La petite voix





Les ravages des thérapies pour «guérir» l’homosexualité Empty
MessageSujet: Re: Les ravages des thérapies pour «guérir» l’homosexualité   Les ravages des thérapies pour «guérir» l’homosexualité EmptyLun 03 Sep 2018, 06:23

marcel1990 a écrit:
salut Olivier

il faut se documenter sur la psychanalyse ....ça n'a rien avoir avec ce que raconte Agathe

Si c'est bien de la psychanalyse qu'il s'agit.
La psychanalyse est assez controversé au USA alors qu'en France Freud est encore considérer comme un visionnaire.

Marcel je te conseille d'aller te renseigner sur Freud (le père de la psychanalyse), tu verras qu'il n'était pas si honnête que ça, qu'il refoulait lui même des pulsions contre nature.
Certain disent qu'il a voulu expliquer et justifier ses propres déviances, comme le fait qu'il était attiré sexuellement par sa propre mère, pour en faire une étape de l'évolution psychologique de l'enfant avec le fameux "complexe d'œdipe".

Enfin bref je n'ai jamais porté Freud dans mon coeur, je trouve qu'il est dérangé, je suis mal à l'aise avec ces thérapies qui ne s'appuient sur rien de scientifique, qui peuvent embrouiller les gens, leur donnant le sentiment de ne pas être normal ou fou, parce que l'on t'avance que tu as eut un complexe d'œdipe mal réglé ou ce genre de connerie.

Le problème c'est que tous les psychiatres ont du apprendre ses théories ont du d'adhérer pendant leur études. Freud les méthodes et études de Freud, n'ont pas été beaucoup contester en France, en tout cas ceux qui le remettent en question la psychanalyse de Freud sont très mal vu dans le milieu.

La psychiatrie a besoin d'une réforme.
Tu sais que tes remarques sur la psychiatrie m'ont travaillé toute la semaine. Le fait que tu évoque les théories de Freud m'a rappelé ce malaise de la psychanalyste. Je pense que la psychiatrie a ete pollué par cette idée que tous le monde est malade et a des névroses.

Y'a un truc pourri dans ce sens, qui dit que des gens qui sont dépressifs, ou affaiblit psychologiquement le sont à cause d'un truc mal réglé dans leur enfance. En fait il nie le contexte et la réalité en parlant de l'enfance et l'inconscient.
Les gens ne se souvenant de rien, se torturent l'esprit pour trouver le mal que on leur a fait croire qu'ils avaient.
Au lieu d'aller mieux, le patient est de plus en plus dépendant du thérapeute, il a peur.
Le pire c'est qu'ils prescrivent des médicaments qui peuvent les rendre dépendant, qui les assoment au point qu'ils n'aient plus d'émotion. J'ai vu des gens autour de moi prendre ses merdes et devenir étranger à eux même.

Beaucoup de choses à dire. Si tu ouvre un sujet à ce propos je viendrais en discuter.
Revenir en haut Aller en bas
OlivierV
Moderateur
Moderateur




Les ravages des thérapies pour «guérir» l’homosexualité Empty
MessageSujet: Re: Les ravages des thérapies pour «guérir» l’homosexualité   Les ravages des thérapies pour «guérir» l’homosexualité EmptyLun 03 Sep 2018, 07:18

La petite voix a écrit:


Si c'est bien de la psychanalyse qu'il s'agit.
La psychanalyse est assez controversé au USA alors qu'en France Freud est encore considérer comme un visionnaire.

Marcel je te conseille d'aller te renseigner sur Freud (le père de la psychanalyse), tu verras qu'il n'était pas si honnête que ça, qu'il refoulait lui même des pulsions contre nature.
Certain disent qu'il a voulu expliquer et justifier ses propres déviances, comme le fait qu'il était attiré sexuellement par sa propre mère, pour en faire une étape de l'évolution psychologique de l'enfant avec le fameux "complexe d'œdipe".

Enfin bref je n'ai jamais porté Freud dans mon coeur, je trouve qu'il est dérangé, je suis mal à l'aise avec ces thérapies qui ne s'appuient sur rien de scientifique, qui peuvent embrouiller les gens, leur donnant le sentiment de ne pas être normal ou fou, parce que l'on t'avance que tu as eut un complexe d'œdipe mal réglé ou ce genre de connerie.

Le problème c'est que tous les psychiatres ont du apprendre ses théories ont du d'adhérer pendant leur études. Freud les méthodes et études de Freud, n'ont pas été beaucoup contester en France, en tout cas ceux qui le remettent en question la psychanalyse de Freud sont très mal vu dans le milieu.

La psychiatrie a besoin d'une réforme.
Tu sais que tes remarques sur la psychiatrie m'ont travaillé toute la semaine. Le fait que tu évoque les théories de Freud m'a rappelé ce malaise de la psychanalyste. Je pense que la psychiatrie a ete pollué par cette idée que tous le monde est malade et a des névroses.

Y'a un truc pourri dans ce sens, qui dit que des gens qui sont dépressifs, ou affaiblit psychologiquement le sont à cause d'un truc mal réglé dans leur enfance. En fait il nie le contexte et la réalité en parlant de l'enfance et l'inconscient.
Les gens ne se souvenant de rien, se torturent l'esprit pour trouver le mal que on leur a fait croire qu'ils avaient.
Au lieu d'aller mieux, le patient est de plus en plus dépendant du thérapeute, il a peur.
Le pire c'est qu'ils prescrivent des médicaments qui peuvent les rendre dépendant, qui les assoment au point qu'ils n'aient plus d'émotion. J'ai vu des gens autour de moi prendre ses merdes et devenir étranger à eux même.

Beaucoup de choses à dire. Si tu ouvre un sujet à ce propos je viendrais en discuter.

Je n'ai jamais fait de psychanalyse, du moins pas avec un psychanalyste.

Mais de ce que j'ai vu avec une amie qui suivait une telle "thérapie", le reproche que j'aurais à faire, c'est un certain manque d'accompagnement. Lorsqu'elle semblait mettre le doigt sur quelque chose de douloureux, le psy la laissait seule avec. Était-ce lié au psy ou à la méthode, je n'en sais rien.

Mais, je crois que la psychiatrie à quand même changé. Dans l'ensemble, les psychiatres ne s’embarrassent plus de savoir si ceci ou cela a pu avoir une incidence sur telle ou telle pathologie. Cela, c'est plutôt du ressort des psychanalystes et des psychologues.

J'ai l'impression que les psychiatres ont désormais une approche résolument médicamenteuse. La question serait plus liée au "confort" de la personne.

Alors, oui, certains médicaments peuvent anesthésier toute émotion. Alors oui, on peut devenir méconnaissable en prenant certains traitements.

La question sera alors celle du rapport bénéfice/perte. Pour certains, prendre de tels traitements, c'est éviter de se retrouver la corde au cou.

Je crois que des choses peuvent changer en apprenant à se connaître. Mais cela demande énormément de temps et de moyens. Et notre monde ne va malheureusement pas dans ce sens.
Revenir en haut Aller en bas
marcel1990

marcel1990



Les ravages des thérapies pour «guérir» l’homosexualité Empty
MessageSujet: Re: Les ravages des thérapies pour «guérir» l’homosexualité   Les ravages des thérapies pour «guérir» l’homosexualité EmptyLun 03 Sep 2018, 09:11

La petite voix a écrit:
marcel1990 a écrit:
salut Olivier

il faut se documenter sur la psychanalyse ....ça n'a rien avoir avec ce que raconte Agathe

Si c'est bien de la psychanalyse qu'il s'agit.
La psychanalyse est assez controversé au USA alors qu'en France Freud est encore considérer comme un visionnaire.

Marcel je te conseille d'aller te renseigner sur Freud (le père de la psychanalyse), tu verras qu'il n'était pas si honnête que ça, qu'il refoulait lui même des pulsions contre nature.
Certain disent qu'il a voulu expliquer et justifier ses propres déviances, comme le fait qu'il était attiré sexuellement par sa propre mère, pour en faire une étape de l'évolution psychologique de l'enfant avec le fameux "complexe d'œdipe".

Enfin bref je n'ai jamais porté Freud dans mon coeur, je trouve qu'il est dérangé, je suis mal à l'aise avec ces thérapies qui ne s'appuient sur rien de scientifique, qui peuvent embrouiller les gens, leur donnant le sentiment de ne pas être normal ou fou, parce que l'on t'avance que tu as eut un complexe d'œdipe mal réglé ou ce genre de connerie.

Le problème c'est que tous les psychiatres ont du apprendre ses théories ont du d'adhérer pendant leur études. Freud les méthodes et études de Freud, n'ont pas été beaucoup contester en France, en tout cas ceux qui le remettent en question la psychanalyse de Freud sont très mal vu dans le milieu.

La psychiatrie a besoin d'une réforme.
Tu sais que tes remarques sur la psychiatrie m'ont travaillé toute la semaine. Le fait que tu évoque les théories de Freud m'a rappelé ce malaise de la psychanalyste. Je pense que la psychiatrie a ete pollué par cette idée que tous le monde est malade et a des névroses.

Y'a un truc pourri dans ce sens, qui dit que des gens qui sont dépressifs, ou affaiblit psychologiquement le sont à cause d'un truc mal réglé dans leur enfance. En fait il nie le contexte et la réalité en parlant de l'enfance et l'inconscient.
Les gens ne se souvenant de rien, se torturent l'esprit pour trouver le mal que on leur a fait croire qu'ils avaient.
Au lieu d'aller mieux, le patient est de plus en plus dépendant du thérapeute, il a peur.
Le pire c'est qu'ils prescrivent des médicaments qui peuvent les rendre dépendant, qui les assoment au point qu'ils n'aient plus d'émotion. J'ai vu des gens autour de moi prendre ses merdes et devenir étranger à eux même.

Beaucoup de choses à dire. Si tu ouvre un sujet à ce propos je viendrais en discuter.
bonjour Olivier j'ai passe plus de 4 ans a etudié la psychanalyse ... Pierre Daco m'a fait prendre conscience de plusieurs choses...je m'etais enfermé pendant 6 mois chez moi....on pensait que je n'etais plus normal...alors que pendant ces 6 mois je méditais sur moi meme....
nous devons tous passer chez le psychanaliste...surtout les hommes politiques
Revenir en haut Aller en bas
*Encelade*





Les ravages des thérapies pour «guérir» l’homosexualité Empty
MessageSujet: Re: Les ravages des thérapies pour «guérir» l’homosexualité   Les ravages des thérapies pour «guérir» l’homosexualité EmptyLun 03 Sep 2018, 13:42

Le problème de la psychalanalyse, c'est qu'elle se réclame de la science, de la médecine, alors qu'elle n'en possède aucune caractéristique.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

c'est wiki, mais bon cela résume bien ce qu'on peut en dire.
En gros cela ne repose sur rien.

Et en france la psychanalyse est si puissante qu'elle a encore sa place dans la psychiatrie.


La psychanalyse est généralement plutot déconseillée dans les "vraies" pathologies psychiatriques, car elle est très déstabilisante. Creuser chez un psychotique c'est prendre le risque de creuser les failles. Et par le passé, elle a fait beaucoup de mal au traitement de l'autisme... et on en trouve encore des traces dans des réunions cliniques...

La psychanalyse en gros est à mon sens réservée aux gens qui vont bien et qui ont envie de réfléchir à eux même, sur des bases peu étayées et très marquées culturellement.

La psychologie est  vaste...

La psychiatrie c'est encore autre chose... il s'agit de traiter des maladies, pas d'aider à chacun à trouver son moi profond. Les psychiatres ne sont pas souvent psychanalystes par ailleurs, mais leur formation a longtemps été basée la dessus, avec des orientations diagnostiques basées sur la psychanalyse.
Cela a changé depuis... les neurosciences étant passées par là, mais il y a des restes, surtout en france.

La psychanalyse a montré son inefficacité sur la maladie mentale... quand les médicaments, quoiqu'on en pense, ont permis aux malades de ne plus être envahis par leurs troubles, et vivre une vie hors de l'hopital, hors de la maladie.... Alors certes comme tout, il y a certainement eu excès, et les psychothérapies sont peut etre sous utilisées... mais bon, là ce n'est plus le rôle du psychiatre en soi... il peut orienter vers telle ou telle thérapie, mais ce n'est pas nécessairement lui qui la pratique.
Revenir en haut Aller en bas
marcel1990

marcel1990



Les ravages des thérapies pour «guérir» l’homosexualité Empty
MessageSujet: Re: Les ravages des thérapies pour «guérir» l’homosexualité   Les ravages des thérapies pour «guérir» l’homosexualité EmptyLun 03 Sep 2018, 15:08

*Encelade* a écrit:
Le problème de la psychalanalyse, c'est qu'elle se réclame de la science, de la médecine, alors qu'elle n'en possède aucune caractéristique.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

c'est wiki, mais bon cela résume bien ce qu'on peut en dire.
En gros cela ne repose sur rien.

Et en france la psychanalyse est si puissante qu'elle a encore sa place dans la psychiatrie.


La psychanalyse est généralement plutot déconseillée dans les "vraies" pathologies psychiatriques, car elle est très déstabilisante. Creuser chez un psychotique c'est prendre le risque de creuser les failles. Et par le passé, elle a fait beaucoup de mal au traitement de l'autisme... et on en trouve encore des traces dans des réunions cliniques...

La psychanalyse en gros est à mon sens réservée aux gens qui vont bien et qui ont envie de réfléchir à eux même, sur des bases peu étayées et très marquées culturellement.

La psychologie est  vaste...

La psychiatrie c'est encore autre chose... il s'agit de traiter des maladies, pas d'aider à chacun à trouver son moi profond. Les psychiatres ne sont pas souvent psychanalystes par ailleurs, mais leur formation a longtemps été basée la dessus, avec des orientations diagnostiques basées sur la psychanalyse.
Cela a changé depuis... les neurosciences étant passées par là, mais il y a des restes, surtout en france.

La psychanalyse a montré son inefficacité sur la maladie mentale... quand les médicaments, quoiqu'on en pense, ont permis aux malades de ne plus être envahis par leurs troubles, et vivre une vie hors de l'hopital, hors de la maladie.... Alors certes comme tout, il y a certainement eu excès, et les psychothérapies sont peut etre sous utilisées... mais bon, là ce n'est plus le rôle du psychiatre en soi... il peut orienter vers telle ou telle thérapie, mais ce n'est pas nécessairement lui qui la pratique.
la psychanalyse ne traite pas les troubles psychotiques telle que la sychose qui sont réservées à la psychiatrie qui demandent parfois des electro-chocs .. donc ne mélangeons pas le choses
tu dis que la psychanalyse est réservé aux gens normaux ... personne n'est normal... nous vivons tous dans l'angoisse .névrose de projection  de refoulement etc...je te conseille d'etudier la psychanalyse ma chere amie...commence par pierre daco
Revenir en haut Aller en bas
*Encelade*





Les ravages des thérapies pour «guérir» l’homosexualité Empty
MessageSujet: Re: Les ravages des thérapies pour «guérir» l’homosexualité   Les ravages des thérapies pour «guérir» l’homosexualité EmptyLun 03 Sep 2018, 15:20

marcel1990 a écrit:
*Encelade* a écrit:
Le problème de la psychalanalyse, c'est qu'elle se réclame de la science, de la médecine, alors qu'elle n'en possède aucune caractéristique.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

c'est wiki, mais bon cela résume bien ce qu'on peut en dire.
En gros cela ne repose sur rien.

Et en france la psychanalyse est si puissante qu'elle a encore sa place dans la psychiatrie.


La psychanalyse est généralement plutot déconseillée dans les "vraies" pathologies psychiatriques, car elle est très déstabilisante. Creuser chez un psychotique c'est prendre le risque de creuser les failles. Et par le passé, elle a fait beaucoup de mal au traitement de l'autisme... et on en trouve encore des traces dans des réunions cliniques...

La psychanalyse en gros est à mon sens réservée aux gens qui vont bien et qui ont envie de réfléchir à eux même, sur des bases peu étayées et très marquées culturellement.

La psychologie est  vaste...

La psychiatrie c'est encore autre chose... il s'agit de traiter des maladies, pas d'aider à chacun à trouver son moi profond. Les psychiatres ne sont pas souvent psychanalystes par ailleurs, mais leur formation a longtemps été basée la dessus, avec des orientations diagnostiques basées sur la psychanalyse.
Cela a changé depuis... les neurosciences étant passées par là, mais il y a des restes, surtout en france.

La psychanalyse a montré son inefficacité sur la maladie mentale... quand les médicaments, quoiqu'on en pense, ont permis aux malades de ne plus être envahis par leurs troubles, et vivre une vie hors de l'hopital, hors de la maladie.... Alors certes comme tout, il y a certainement eu excès, et les psychothérapies sont peut etre sous utilisées... mais bon, là ce n'est plus le rôle du psychiatre en soi... il peut orienter vers telle ou telle thérapie, mais ce n'est pas nécessairement lui qui la pratique.
la psychanalyse ne traite pas les  troubles psychotiques telle que la sychose qui sont réservées à la psychiatrie qui demandent parfois des electro-chocs .. donc ne mélangeons pas le choses
tu dis que la psychanalyse est réservé aux gens normaux ... personne n'est normal... nous vivons tous dans l'angoisse .névrose de projection  de refoulement etc...je te conseille d'etudier la psychanalyse ma chere amie...commence par pierre daco

ben pendant mes études, j'ai bien du étudier le truc... cela n'empeche pas que cela reste non prouvé, non prouvable, non universel et tout et tout.

ensuite je n'ai pas utilisé le mot normal ou anormal... j'ai parlé de gens qui vont bien.


ex: le complexe d'oedipe n'est pas applicable dans toutes les cultures, car la famille nucléaire n'est pas universelle...
les ravages sur l'autisme, où les mères ont été rendues responsables, alors que cela n'a aucune réalité...
la psychanalyse pour exister a besoin de fermer les yeux sur toutes les connaissances nouvelles dans les neuroscience pour réussir à poursuivre sa rhétorique.... c'est pas bon signe quand une théorie n'arrive pas à intégrer les nouvelles observations... dans n'importe quel autre domaine scientifique, cela l'aurait invalidé... mais la psychanalyse "plait"... le sexe au centre de tout, la femme castrée...
la psychanalyse n'est pas applicable pour les névroses graves, les psychoses, l'autisme......... en gros... ca marche que quand on va bien.
Revenir en haut Aller en bas
marcel1990

marcel1990



Les ravages des thérapies pour «guérir» l’homosexualité Empty
MessageSujet: Re: Les ravages des thérapies pour «guérir» l’homosexualité   Les ravages des thérapies pour «guérir» l’homosexualité EmptyLun 03 Sep 2018, 16:24

*Encelade* a écrit:
marcel1990 a écrit:

la psychanalyse ne traite pas les  troubles psychotiques telle que la sychose qui sont réservées à la psychiatrie qui demandent parfois des electro-chocs .. donc ne mélangeons pas le choses
tu dis que la psychanalyse est réservé aux gens normaux ... personne n'est normal... nous vivons tous dans l'angoisse .névrose de projection  de refoulement etc...je te conseille d'etudier la psychanalyse ma chere amie...commence par pierre daco

ben pendant mes études, j'ai bien du étudier le truc... cela n'empeche pas que cela reste non prouvé, non prouvable, non universel et tout et tout.

ensuite je n'ai pas utilisé le mot normal ou anormal... j'ai parlé de gens qui vont bien.


ex: le complexe d'oedipe n'est pas applicable dans toutes les cultures, car la famille nucléaire n'est pas universelle...
les ravages sur l'autisme, où les mères ont été rendues responsables, alors que cela n'a aucune réalité...
la psychanalyse pour exister a besoin de fermer les yeux sur toutes les connaissances nouvelles dans les neuroscience pour réussir à poursuivre sa rhétorique.... c'est pas bon signe quand une théorie n'arrive pas à intégrer les nouvelles observations... dans n'importe quel autre domaine scientifique, cela l'aurait invalidé... mais la psychanalyse "plait"... le sexe au centre de tout, la femme castrée...
la psychanalyse n'est pas applicable pour les névroses graves, les psychoses, l'autisme......... en gros... ca marche que quand on va bien.
tu parles de l'autisma c'est normal que ce n'est pas le domaine de la psychanalyse...certainement t'as etudié la psychologie generale et non la psychanalyse en profondeur ... la psychanalyste est avant tout un entraineur si tu veux...c'est le patient qui se guéri lui meme le psychanaliste lui donne les outils  ... vous parler de psychanalise comme on parle à la tv de l'islam ou du boudhisme par exemple sans connaitre profondement ces religions... vous connaissez quelques mots par ci par là psychose nevrose complexe d'oeudipe etc et on vient faire la leçon
Revenir en haut Aller en bas
OlivierV
Moderateur
Moderateur




Les ravages des thérapies pour «guérir» l’homosexualité Empty
MessageSujet: Re: Les ravages des thérapies pour «guérir» l’homosexualité   Les ravages des thérapies pour «guérir» l’homosexualité EmptyLun 03 Sep 2018, 16:30

marcel1990 a écrit:

tu parles de l'autisma c'est normal que ce n'est pas le domaine de la psychanalyse...certainement t'as etudié la psychologie generale et non la psychanalyse en profondeur ... la psychanalyste est avant tout un entraineur si tu veux...c'est le patient qui se guéri lui meme le psychanaliste lui donne les outils  ... vous parler de psychanalise comme on parle à la tv de l'islam ou du boudhisme par exemple sans connaitre profondement ces religions... vous connaissez quelques mots par ci par là psychose nevrose complexe d'oeudipe etc et on vient faire la leçon

Marcel... As-tu seulement lu le lien qu'a donné Encelade ? [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Revenir en haut Aller en bas
marcel1990

marcel1990



Les ravages des thérapies pour «guérir» l’homosexualité Empty
MessageSujet: Re: Les ravages des thérapies pour «guérir» l’homosexualité   Les ravages des thérapies pour «guérir» l’homosexualité EmptyLun 03 Sep 2018, 16:41

OlivierV a écrit:
marcel1990 a écrit:

tu parles de l'autisma c'est normal que ce n'est pas le domaine de la psychanalyse...certainement t'as etudié la psychologie generale et non la psychanalyse en profondeur ... la psychanalyste est avant tout un entraineur si tu veux...c'est le patient qui se guéri lui meme le psychanaliste lui donne les outils  ... vous parler de psychanalise comme on parle à la tv de l'islam ou du boudhisme par exemple sans connaitre profondement ces religions... vous connaissez quelques mots par ci par là psychose nevrose complexe d'oeudipe etc et on vient faire la leçon

Marcel... As-tu seulement lu le lien qu'a donné Encelade ? [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Mohammed est-il un messager de Dieu.. que va repondre wiki
à toi je te pose la question as tu fais une psychanalyse afin de nous donner un avis
Revenir en haut Aller en bas
OlivierV
Moderateur
Moderateur




Les ravages des thérapies pour «guérir» l’homosexualité Empty
MessageSujet: Re: Les ravages des thérapies pour «guérir» l’homosexualité   Les ravages des thérapies pour «guérir» l’homosexualité EmptyLun 03 Sep 2018, 16:55

marcel1990 a écrit:

Mohammed est-il un messager de Dieu.. que va repondre wiki
à toi je te pose la question as tu fais une psychanalyse afin de nous donner un avis

Attends Marcel. On ne parle pas d'une question de foi ici. Donc, non, je n'ai jamais fait de psychanalyse, par contre j'ai suivi des TCC. Mais j'ai vu les dégâts que peut générer la psychanalyse chez une amie.
Revenir en haut Aller en bas
*Encelade*





Les ravages des thérapies pour «guérir» l’homosexualité Empty
MessageSujet: Re: Les ravages des thérapies pour «guérir» l’homosexualité   Les ravages des thérapies pour «guérir» l’homosexualité EmptyLun 03 Sep 2018, 16:58

marcel1990 a écrit:

tu parles de l'autisma c'est normal que ce n'est pas le domaine de la psychanalyse...certainement t'as etudié la psychologie generale et non la psychanalyse en profondeur ... la psychanalyste est avant tout un entraineur si tu veux...c'est le patient qui se guéri lui meme le psychanaliste lui donne les outils  ... vous parler de psychanalise comme on parle à la tv de l'islam ou du boudhisme par exemple sans connaitre profondement ces religions... vous connaissez quelques mots par ci par là psychose nevrose complexe d'oeudipe etc et on vient faire la leçon
La psychanalyse se propose d'expliquer les comportements et maladies psychiques par des instances et des mécanismes...

donc cela concerne l'ensemble du fonctionnement psychique...

or ces explications ne fonctionnent pas la majorité du temps, ou en tout cas pas quand on a vraiment besoin de comprendre ce qu'il se passe car il y a souffrance et donc besoin de soulagement.

En france on appren(ait?)d la psychiatrie, via les explications psychanalytiques, car les concepts y sont appliqués à tout le fonctionnement psychique.

Et l'étiologie des maladies ont eu leurs explications psychanalytiques... et toutes les maladies. Les autismes étant attribués à l'attitude maternelle. On a pas forcé les psychanalystes à s'interesser à ça, à donner leur avis, et à vouloir soigner des autistes en culpabilisant leurs parents. J'y peux rien s'ils l'ont fait.


Une théorie qui se veut expliquer le fonctionnement psychique et qui échoue à l'expliquer dans la majorité des cas, moi perso je la regarde comme une relique d'un temps révolu.


[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

Citation :
La psychanalyse est, selon la définition classique qu'en a donnée Sigmund Freud son fondateur :

-un procédé d'investigation des processus psychiques, qui autrement sont à peine accessibles ;
-une méthode de traitement des troubles névrotiques ou psychotiques, qui se fonde sur cette investigation, également nommée la cure psychanalytique ;
-une série de conceptions ayant trait au psychisme, acquises par ces moyens et qui fusionnent progressivement en une discipline scientifique nouvelle1.
Revenir en haut Aller en bas
marcel1990

marcel1990



Les ravages des thérapies pour «guérir» l’homosexualité Empty
MessageSujet: Re: Les ravages des thérapies pour «guérir» l’homosexualité   Les ravages des thérapies pour «guérir» l’homosexualité EmptyLun 03 Sep 2018, 17:02

OlivierV a écrit:
marcel1990 a écrit:

Mohammed est-il un messager de Dieu.. que va repondre wiki
à toi je te pose la question as tu fais une psychanalyse afin de nous donner un avis

Attends Marcel. On ne parle pas d'une question de foi ici. Donc, non, je n'ai jamais fait de psychanalyse, par contre j'ai suivi des TCC. Mais j'ai vu les dégâts que peut générer la psychanalyse chez une amie.
on dit que la psychanalyse pas n'est scientifique alors que les psychanalystes disent que si .... c'est comme on demandait aux juifs et aux chretiens si Allah est le meme Dieu et si Mohammed est un Messager...bon on discute de l'article que t'as posté et le témoignage de la fille est ridicule car un psychanalyste n'utilise pas d'electro choc mais l'hypnose et analyse les reves...
peux tu nous parler de ton amis en détails pour que je puisse donner un avis
Revenir en haut Aller en bas
OlivierV
Moderateur
Moderateur




Les ravages des thérapies pour «guérir» l’homosexualité Empty
MessageSujet: Re: Les ravages des thérapies pour «guérir» l’homosexualité   Les ravages des thérapies pour «guérir» l’homosexualité EmptyLun 03 Sep 2018, 17:18

marcel1990 a écrit:
.bon on discute de l'article que t'as posté et le témoignage de la fille est ridicule car un psychanalyste n'utilise pas d'electro choc mais l'hypnose et analyse les reves...

L'article ne parle pas de psychanalyse en particulier, mais de thérapie de conversion. Et c'est dans le cadre de ces thérapies que les électrochocs et injections de testostérone sont utilisées. Il doit sans doute s'agir d'un melting pot de thérapies.

marcel1990 a écrit:
peux tu nous parler de ton amis en détails pour que je puisse donner un avis

Et puis quoi encore ?
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité




Les ravages des thérapies pour «guérir» l’homosexualité Empty
MessageSujet: Re: Les ravages des thérapies pour «guérir» l’homosexualité   Les ravages des thérapies pour «guérir» l’homosexualité EmptyLun 03 Sep 2018, 17:20

La petite voix a écrit:
marcel1990 a écrit:
salut Olivier

il faut se documenter sur la psychanalyse ....ça n'a rien avoir avec ce que raconte Agathe

Si c'est bien de la psychanalyse qu'il s'agit.
La psychanalyse est assez controversé au USA alors qu'en France Freud est encore considérer comme un visionnaire.



Je me souviens avoir lu dans un roman de Philip K. Dick (quel génie) qu'il avait imaginé que la psychiatrie deviendrait interdite aux USA pour cause d'inefficacité et que le dernier psy en activité serait arrêté par la police pour exercice illégal de la médecine. Je crois qu'il a profité du roman pour régler ses comptes avec cette "médecine" qui ne l'a jamais guéri de son addiction aux amphétamines, ceci expliquant peut-être cela mais il n'appréciait pas le côté réducteur de la psychiatrie qui ramène tout ou presque au sexe et à l'Oedipe non résolu, comme si tout les peuples avaient ce complexe.
Revenir en haut Aller en bas
marcel1990

marcel1990



Les ravages des thérapies pour «guérir» l’homosexualité Empty
MessageSujet: Re: Les ravages des thérapies pour «guérir» l’homosexualité   Les ravages des thérapies pour «guérir» l’homosexualité EmptyLun 03 Sep 2018, 17:35

OlivierV a écrit:
marcel1990 a écrit:
.bon on discute de l'article que t'as posté et le témoignage de la fille est ridicule car un psychanalyste n'utilise pas d'electro choc mais l'hypnose et analyse les reves...

L'article ne parle pas de psychanalyse en particulier, mais de thérapie de conversion. Et c'est dans le cadre de ces thérapies que les électrochocs et injections de testostérone sont utilisées. Il doit sans doute s'agir d'un melting pot de thérapies.

marcel1990 a écrit:
peux tu nous parler de ton amis en détails pour que je puisse donner un avis

Et puis quoi encore ?
bien alors..donc la psychanalyse n'est pas fautive...concernant ton amie ce n'est pas la psychanalyse qui en est la cause...j'en suis certain
Revenir en haut Aller en bas
La petite voix





Les ravages des thérapies pour «guérir» l’homosexualité Empty
MessageSujet: Re: Les ravages des thérapies pour «guérir» l’homosexualité   Les ravages des thérapies pour «guérir» l’homosexualité EmptyLun 03 Sep 2018, 18:48


Une fois n'est pas coutume, je le range à l'avis d'Emmanuelle, la psychiatrie se dit être une discipline médicale alors que les psy n'ont pas fait d'étude de médecine, ne fait que prescrire des médicaments.

@marcel
Effectivement je ne suis pas une experte, mais j'ai lu pas mal d'articles à se sujet et a écouter beaucoup d'avis de spécialiste ou contradicteur sur le sujet.
C'est en lisant Françoise Dolto que je me suis intéressé à Freud, parce qu'elle y faisait référence en parlant des étapes de l'évolution de l'enfant de l'inconscient etc etc Je me disais comment ça se faisait qu'elle parle de la sexualité des enfants alors que ça n'avait rien à voir avec le développement psychologique. Et puis j'ai vu que Freud ramène tout au sexe, tous les rapport humains, et aussi du fait que l'on aurait des blessures dans la petite enfance qui nous aurait rendu malheureux. Au final j'ai touvé ça ridicule de tout réduire à l'enfance et la sexualité, alors que le malaise est dû au contexte présent.

Je suis vraiment septique avec la psychanalyse, justement avec le fait qu'elle part du principe que l'homme est névrosé par essence.

Que fais-tu dans la vie Marcel? Si tu es dans le milieu de la psy j'ai envie de te dire de ne pas gober tout ce qu'on te raconte et comme l'a dit Emmanuelle d'aller voir ce qui se fait au niveau des neuro science.

Sinon pour conclure, la psychiatrie n'est pas assez abouti voire suffisamment fiable à mes yeux, je le vois de l'intérieur malheureusement. Je crois que la psychiatrie ne devrait plus se rattacher à la médecine, mais rester dans son rôle social d'accompagnement pédagogique, pour aider les gens à trouver des solutions à leur problèmes (pour les patients qui n'ont pas besoin d'un traitent médicamenteux).
Revenir en haut Aller en bas
OlivierV
Moderateur
Moderateur




Les ravages des thérapies pour «guérir» l’homosexualité Empty
MessageSujet: Re: Les ravages des thérapies pour «guérir» l’homosexualité   Les ravages des thérapies pour «guérir» l’homosexualité EmptyLun 03 Sep 2018, 19:06

La petite voix a écrit:

Une fois n'est pas coutume, je le range à l'avis d'Emmanuelle, la psychiatrie se dit être une discipline médicale alors que les psy n'ont pas fait d'étude de médecine, ne fait que prescrire des médicaments.



Il faut préciser par ce que tu entends par "psy". Il me semble bien que le psychiatre, seul habilité à prescrire des traitements a bien fait médecine. Avec un complément pour ce qui concerne la partie "psychiatrie".
Revenir en haut Aller en bas
*Encelade*





Les ravages des thérapies pour «guérir» l’homosexualité Empty
MessageSujet: Re: Les ravages des thérapies pour «guérir» l’homosexualité   Les ravages des thérapies pour «guérir» l’homosexualité EmptyLun 03 Sep 2018, 19:17

camille a écrit:
La petite voix a écrit:


Si c'est bien de la psychanalyse qu'il s'agit.
La psychanalyse est assez controversé au USA alors qu'en France Freud est encore considérer comme un visionnaire.



Je me souviens avoir lu dans un roman de Philip K. Dick (quel génie) qu'il avait imaginé que la psychiatrie deviendrait interdite aux USA pour cause d'inefficacité et que le dernier psy en activité serait arrêté par la police pour exercice illégal de la médecine. Je crois qu'il a profité du roman pour régler ses comptes avec cette "médecine" qui ne l'a jamais guéri de son addiction aux amphétamines, ceci expliquant peut-être cela mais il n'appréciait pas le côté réducteur de la psychiatrie qui ramène tout ou presque au sexe et à l'Oedipe non résolu, comme si tout les peuples avaient ce complexe.

ne confonds pas psychanalyse et psychiatrie... même si c'est pas parfait, la psychiatrie, (et si si c'est de la medecine, quand la psychanalyse n'en est pas), a réussit à améliorer la vie de tas de gens qui avant étaient enfermé dans des asiles inhumains.


Il faut avoir vu des fenêtres thérapeutiques (arrêt complet du traitement... "pour voir" ) pour se rendre compte du "avec" et du "sans"... et là il n'y est pas question de psychanalyse (sexe et oedipe), mais c'est plutot issu des neurosciences.

On ne reproche pas aux autres disciplines de la medecine de ne pas réussir à tout guérir...
La psychiatrie rencontre la neurologie, et la psycho-sociologie... c'est compliqué, y a encore du boulot!



Sinon Marcel... on peut aussi décréter que l'étude des licornes roses est une science... décider de ses observations, de la manière dont on interprètes les signes indirects...
on peut tout décréter...

La science c'est justement un truc qui se partage, qui se fait passer au crible de la critique... seul reste ce qui en resort malgré les triturages. La psychanalyse n'a pas passé le cap car elle n'est pas concu en pouvant être critiquer, on ne peut qu'accepter tout sans preuve, sans pouvoir vérifier 100000000 fois par 1000000000 chercheurs qu'il y a pas un hic...
par ailleurs, la neuroscience a contredit totalement freud sur la mécanique des rèves et leurs fonctions... mais bon les psychanalyste font comme cela n'existait pas... bref... non la science cela réponds à des critères qui permettent la remise en question et donc à la connaissance d'avancer. La psychanalyse ne réponds pas à ces critères...
Même les sciences humaines sont soumises aux mêmes règles, règles qui permettent à tous les chercheurs de bosser, en échangeant et en avançant.
Revenir en haut Aller en bas
La petite voix





Les ravages des thérapies pour «guérir» l’homosexualité Empty
MessageSujet: Re: Les ravages des thérapies pour «guérir» l’homosexualité   Les ravages des thérapies pour «guérir» l’homosexualité EmptyLun 03 Sep 2018, 19:25

OlivierV a écrit:
La petite voix a écrit:

Une fois n'est pas coutume, je le range à l'avis d'Emmanuelle, la psychiatrie se dit être une discipline médicale alors que les psy n'ont pas fait d'étude de médecine, ne fait que prescrire des médicaments.



Il faut préciser par ce que tu entends par "psy". Il me semble bien que le psychiatre, seul habilité à prescrire des traitements a bien fait médecine. Avec un complément pour ce qui concerne la partie "psychiatrie".

Oui les psychologues ne sont pas médecins et ne prescrivent pas de médicaments, je me suis embrouillée avec le psychanalyste et le psychiatre. Mais les psychiatres donnent facilement des médicaments alors que les gens auraient besoin de techniques pour calmer l'anxiété.
Revenir en haut Aller en bas
*Encelade*





Les ravages des thérapies pour «guérir» l’homosexualité Empty
MessageSujet: Re: Les ravages des thérapies pour «guérir» l’homosexualité   Les ravages des thérapies pour «guérir» l’homosexualité EmptyLun 03 Sep 2018, 19:38

OlivierV a écrit:


L'article ne parle pas de psychanalyse en particulier, mais de thérapie de conversion. Et c'est dans le cadre de ces thérapies que les électrochocs et injections de testostérone sont utilisées. Il doit sans doute s'agir d'un melting pot de thérapies.
d'expérience, on utilise les électrochocs (sismothérapie) dans des mélancolies rebelles... y a 15 ans, j'étais dans une clinique où on en faisait.

Les gens revenaient régulièrement faire leur série de sismo.

L'injection de testeronne outre augmenter l'agressivité, je doute que cela ait un effet sur l'orientation sexuelle...

Mais bon... en matière de thérapies on voit un peu de tout.
Revenir en haut Aller en bas
*Encelade*





Les ravages des thérapies pour «guérir» l’homosexualité Empty
MessageSujet: Re: Les ravages des thérapies pour «guérir» l’homosexualité   Les ravages des thérapies pour «guérir» l’homosexualité EmptyLun 03 Sep 2018, 19:40

La petite voix a écrit:
OlivierV a écrit:


Il faut préciser par ce que tu entends par "psy". Il me semble bien que le psychiatre, seul habilité à prescrire des traitements a bien fait médecine. Avec un complément pour ce qui concerne la partie "psychiatrie".

Oui les psychologues ne sont pas médecins et ne prescrivent pas de médicaments, je me suis embrouillée avec le psychanalyste et le psychiatre. Mais les psychiatres donnent facilement des médicaments alors que les gens auraient besoin de techniques pour calmer l'anxiété.
oui...

c'est le monde d'aujourd'hui où prendre des pilules c'est plus rapide que prendre du temps pour apprendre des techniques... ou pour soi tout simplement.

Revenir en haut Aller en bas
OlivierV
Moderateur
Moderateur




Les ravages des thérapies pour «guérir» l’homosexualité Empty
MessageSujet: Re: Les ravages des thérapies pour «guérir» l’homosexualité   Les ravages des thérapies pour «guérir» l’homosexualité EmptyLun 03 Sep 2018, 19:40

La petite voix a écrit:

Oui les psychologues ne sont pas médecins et ne prescrivent pas de médicaments, je me suis embrouillée avec le psychanalyste et le psychiatre. Mais les psychiatres donnent facilement des médicaments alors que les gens auraient besoin de techniques pour calmer l'anxiété.

Lorsqu'il s'agit d'une affection psychiatrique grave, c'est parfois indispensable de passer par une prescription médicamenteuse.

Après, c'est comme dans tout. Il y a ceux qui ne jugent que par l'ordonnance et qui semblent chercher avant tout à faire du chiffre. Il y en a qui nuancent et qui tentent d'avoir une relation thérapeutique avec leur patient.

J'ai connu une psychiatre qui ne voulait pas gérer les deux en même temps. Soit le patient venait pour un accompagnement "thérapeutique", soit pour un accompagnement médicamenteux. Elle refusait systématiquement de faire les deux avec le même patient.

Mais en tous cas, lorsque tu souffres d'une pathologie, il est relativement aisé, par le bouche à oreilles ou via des forums dédiés de trouver le type de médecin qui te convient...
Revenir en haut Aller en bas
OlivierV
Moderateur
Moderateur




Les ravages des thérapies pour «guérir» l’homosexualité Empty
MessageSujet: Re: Les ravages des thérapies pour «guérir» l’homosexualité   Les ravages des thérapies pour «guérir» l’homosexualité EmptyLun 03 Sep 2018, 19:42

*Encelade* a écrit:

d'expérience, on utilise les électrochocs (sismothérapie) dans des mélancolies rebelles

Bah moi, l'électrochoc, c'est surtout quand je reçois mes relevés bancaires, mais bon... Quoiqu'ils puissent effectivement engendrer de la mélancolie... Very Happy
Revenir en haut Aller en bas
*Encelade*





Les ravages des thérapies pour «guérir» l’homosexualité Empty
MessageSujet: Re: Les ravages des thérapies pour «guérir» l’homosexualité   Les ravages des thérapies pour «guérir» l’homosexualité EmptyLun 03 Sep 2018, 19:45

OlivierV a écrit:
*Encelade* a écrit:
d'expérience, on utilise les électrochocs (sismothérapie) dans des mélancolies rebelles

Bah moi, l'électrochoc, c'est surtout quand je reçois mes relevés bancaires, mais bon... Quoiqu'ils puissent effectivement engendrer de la mélancolie... Very Happy

Wink

ah oui toi aussi??


OlivierV a écrit:
La petite voix a écrit:
Oui les psychologues ne sont pas médecins et ne prescrivent pas de médicaments, je me suis embrouillée avec le psychanalyste et le psychiatre. Mais les psychiatres donnent facilement des médicaments alors que les gens auraient besoin de techniques pour calmer l'anxiété.

Lorsqu'il s'agit d'une affection psychiatrique grave, c'est parfois indispensable de passer par une prescription médicamenteuse.

Après, c'est comme dans tout. Il y a ceux qui ne jugent que par l'ordonnance et qui semblent chercher avant tout à faire du chiffre. Il y en a qui nuancent et qui tentent d'avoir une relation thérapeutique avec leur patient.

J'ai connu une psychiatre qui ne voulait pas gérer les deux en même temps. Soit le patient venait pour un accompagnement "thérapeutique", soit pour un accompagnement médicamenteux. Elle refusait systématiquement de faire les deux avec le même patient.

Mais en tous cas, lorsque tu souffres d'une pathologie, il est relativement aisé, par le bouche à oreilles ou via des forums dédiés de trouver le type de médecin qui te convient...

+100

Il y a des situations, ou pour le moment en tout cas, on ne peut pas faire sans médicament... il y a eu des progrès sur les effets secondaires, les prescriptions sont plus légères en moyenne qu'avant je trouve... (ou alors car j'ai l'expérience lointaine dans des services "de cas lourds", et qu'aujourd'hui je n'ai que ceux qui peuvent se contenter d'un cocktail minimum).

Il serait question de rembourser les séances chez les psychologues, je trouve que ca serait bien, pour que les psychiatres puissent orienter vers des psychothérapies en complément des médocs (car je suis d'accord avec eux, c'est pas facile de faire les 2...)
Revenir en haut Aller en bas
La petite voix





Les ravages des thérapies pour «guérir» l’homosexualité Empty
MessageSujet: Re: Les ravages des thérapies pour «guérir» l’homosexualité   Les ravages des thérapies pour «guérir» l’homosexualité EmptyLun 03 Sep 2018, 19:57

OlivierV a écrit:
La petite voix a écrit:

Oui les psychologues ne sont pas médecins et ne prescrivent pas de médicaments, je me suis embrouillée avec le psychanalyste et le psychiatre. Mais les psychiatres donnent facilement des médicaments alors que les gens auraient besoin de techniques pour calmer l'anxiété.

Lorsqu'il s'agit d'une affection psychiatrique grave, c'est parfois indispensable de passer par une prescription médicamenteuse.

Après, c'est comme dans tout. Il y a ceux qui ne jugent que par l'ordonnance et qui semblent chercher avant tout à faire du chiffre. Il y en a qui nuancent et qui tentent d'avoir une relation thérapeutique avec leur patient.

J'ai connu une psychiatre qui ne voulait pas gérer les deux en même temps. Soit le patient venait pour un accompagnement "thérapeutique", soit pour un accompagnement médicamenteux. Elle refusait systématiquement de faire les deux avec le même patient.

Mais en tous cas, lorsque tu souffres d'une pathologie, il est relativement aisé, par le bouche à oreilles ou via des forums dédiés de trouver le type de médecin qui te convient...

Effectivement il y a des cas pour lesquelles ils n'ont pas encore trouvé de solution. Mais ces médicament sont très handicapant. Le patient a une double peine, il perd son énergie à cause de la maladie et en plus à les effets des médicaments. C'est dur pour eux, ils ont pas une vie normale, ils ne peuvent pas travailler, et sont isolés, a peu d'ami car peu de gens comprennent sa maladie.

Ouais je vois ce que tu veux dire avec ton amie. Malheureusement tous les psychiatre ne le sont pas par vocation.

Il y a un truc inquiétant aussi, c'est quand les médecin ne comprennent pas les troubles psychiques du à une maladie rare, ils envoient les patients en psychiatrie.
Revenir en haut Aller en bas
*Encelade*





Les ravages des thérapies pour «guérir» l’homosexualité Empty
MessageSujet: Re: Les ravages des thérapies pour «guérir» l’homosexualité   Les ravages des thérapies pour «guérir» l’homosexualité EmptyLun 03 Sep 2018, 20:34

La petite voix a écrit:

Effectivement il y a des cas pour lesquelles ils n'ont pas encore trouvé de solution. Mais ces médicament sont très handicapant. Le patient a une double peine, il perd son énergie à cause de la maladie et en plus à les effets des médicaments. C'est dur pour eux, ils ont pas une vie normale, ils ne peuvent pas travailler, et sont isolés, a peu d'ami car peu de gens comprennent  sa maladie.

Ouais je vois ce que tu veux dire avec ton amie. Malheureusement tous les psychiatre ne le sont pas par vocation.

Il y a un truc inquiétant aussi, c'est quand les médecin ne comprennent pas les troubles psychiques du à une maladie rare, ils envoient les patients en psychiatrie.

Moi j'ai eu pendant 17 ans "le mal de ventre de la jeune fille anxieuse"... m'orientant vers des thérapies...

Puis un jour j'ai eu mal plus longtemps que d'habitude... puis j'ai senti une boule dur dans mon ventre... aucun signe à la prise de sang, pas de fievre, et le mal de d'habitude qui ne passait pas totalement contrairement à d'habitude... on m'a dit qu'effectivement j'avais une inflammation de la vésicule biliaire, à se faire enlever... sans urgence...
Mais à l'intervention, j'avais bel et bien ma vésicule biliaire prête à éclater, avec l'ensemble des organes digestifs soudés par l'inflammation, envoyée direct au labo car suspicion de cancérisation... et confirmation que ca faisait 17 ans qu'elle déconnait.
mais j'étais anxieuse forcément!... et pourtant les vésicules pourries c'est pas rare Wink juste moins courant quand on est jeune.

quand il y a besoin de médocs lourds, c'est que le bénéfice est supérieur aux effets secondaires... y a eu des progrès, mais les nouveaux médocs ne marchent pas avec tous...

J'ai quelques patients suivis en psy depuis toujours, et ce qui empiète le plus sur la qualité de vie, c'est les symptomes de la maladie plus que les effets secondaires... quand ils s'en plaignent tout est fait pour adapter le traitement... j'en ai un qui prend tout le soir par ex...


Sinon j'ai une patiente qui a décompensé complet alors que "seulement dépressive" jusque là... et bien après des mois à galérer pour trouver un traitement qui calme le jeu, c'est le psychiatre qui a pensé à faire un examen assez récent qui a permis de détecter une forme particulière de parkinson... et on a enfin compris pourquoi la psychiatrie ne fonctionnait pas du tout (bon on a rien pour autant pour la soulager de ce qu'elle vit, mais on comprend ce qu'il se passe)
Revenir en haut Aller en bas
Cyril 84
Moderateur
Moderateur
Cyril 84



Les ravages des thérapies pour «guérir» l’homosexualité Empty
MessageSujet: Re: Les ravages des thérapies pour «guérir» l’homosexualité   Les ravages des thérapies pour «guérir» l’homosexualité EmptyLun 03 Sep 2018, 22:46

*Encelade* a écrit:
OlivierV a écrit:
Bah moi, l'électrochoc, c'est surtout quand je reçois mes relevés bancaires, mais bon... Quoiqu'ils puissent effectivement engendrer de la mélancolie... Very Happy

Wink

ah oui toi aussi??

Moi c'est plutôt quand je reçois les différents impôts et taxes de l'automne (c'est pour bientôt).

CSG, CRDS...

Taxes foncières...

Taxes d'habitation + redevance audiovisuelle...

No affraid
Revenir en haut Aller en bas
La petite voix





Les ravages des thérapies pour «guérir» l’homosexualité Empty
MessageSujet: Re: Les ravages des thérapies pour «guérir» l’homosexualité   Les ravages des thérapies pour «guérir» l’homosexualité EmptyMar 04 Sep 2018, 19:16

*Encelade* a écrit:
La petite voix a écrit:

Effectivement il y a des cas pour lesquelles ils n'ont pas encore trouvé de solution. Mais ces médicament sont très handicapant. Le patient a une double peine, il perd son énergie à cause de la maladie et en plus à les effets des médicaments. C'est dur pour eux, ils ont pas une vie normale, ils ne peuvent pas travailler, et sont isolés, a peu d'ami car peu de gens comprennent  sa maladie.

Ouais je vois ce que tu veux dire avec ton amie. Malheureusement tous les psychiatre ne le sont pas par vocation.

Il y a un truc inquiétant aussi, c'est quand les médecin ne comprennent pas les troubles psychiques du à une maladie rare, ils envoient les patients en psychiatrie.

Moi j'ai eu pendant 17 ans "le mal de ventre de la jeune fille anxieuse"... m'orientant vers des thérapies...

Puis un jour j'ai eu mal plus longtemps que d'habitude... puis j'ai senti une boule dur dans mon ventre... aucun signe à la prise de sang, pas de fievre, et le mal de d'habitude qui ne passait pas totalement contrairement à d'habitude... on m'a dit qu'effectivement j'avais une inflammation de la vésicule biliaire, à se faire enlever... sans urgence...
Mais à l'intervention, j'avais bel et bien ma vésicule biliaire prête à éclater, avec l'ensemble des organes digestifs soudés par l'inflammation, envoyée direct au labo car suspicion de cancérisation... et confirmation que ca faisait 17 ans qu'elle déconnait.
mais j'étais anxieuse forcément!... et pourtant les vésicules pourries c'est pas rare Wink juste moins courant quand on est jeune.

quand il y a besoin de médocs lourds, c'est que le bénéfice est supérieur aux effets secondaires... y a eu des progrès, mais les nouveaux médocs ne marchent pas avec tous...

J'ai quelques patients suivis en psy depuis toujours, et ce qui empiète le plus sur la qualité de vie, c'est les symptomes de la maladie plus que les effets secondaires... quand ils s'en plaignent tout est fait pour adapter le traitement... j'en ai un qui prend tout le soir par ex...


Sinon j'ai une patiente qui a décompensé complet alors que "seulement dépressive" jusque là... et bien après des mois à galérer pour trouver un traitement qui calme le jeu, c'est le psychiatre qui a pensé à faire un examen assez récent qui a permis de détecter une forme particulière de parkinson... et on a enfin compris pourquoi la psychiatrie ne fonctionnait pas du tout (bon on a rien pour autant pour la soulager de ce qu'elle vit, mais on comprend ce qu'il se passe)

D'où la fameuse expression "Te fais pas d'bile".

Quand on a des émotions on les sent dans le ventre en plus.
Et si les problèmes intestinaux déclenchaient des choses sur le cerveau? Comme lorsque nous mangeons un aliment sucrée nous nous sentons bien dans notre tête.
Paraît-il que nous utilisions 75% de notre énergie pour notre activité cérébrale.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité




Les ravages des thérapies pour «guérir» l’homosexualité Empty
MessageSujet: Re: Les ravages des thérapies pour «guérir» l’homosexualité   Les ravages des thérapies pour «guérir» l’homosexualité EmptyMer 05 Sep 2018, 11:57

*Encelade* a écrit:
camille a écrit:



Je me souviens avoir lu dans un roman de Philip K. Dick (quel génie) qu'il avait imaginé que la psychiatrie deviendrait interdite aux USA pour cause d'inefficacité et que le dernier psy en activité serait arrêté par la police pour exercice illégal de la médecine. Je crois qu'il a profité du roman pour régler ses comptes avec cette "médecine" qui ne l'a jamais guéri de son addiction aux amphétamines, ceci expliquant peut-être cela mais il n'appréciait pas le côté réducteur de la psychiatrie qui ramène tout ou presque au sexe et à l'Oedipe non résolu, comme si tout les peuples avaient ce complexe.

ne confonds pas psychanalyse et psychiatrie... même si c'est pas parfait, la psychiatrie, (et si si c'est de la medecine, quand la psychanalyse n'en est pas), a réussit à améliorer la vie de tas de gens qui avant étaient enfermé dans des asiles inhumains.


Il faut avoir vu des fenêtres thérapeutiques (arrêt complet du traitement... "pour voir" ) pour se rendre compte du "avec" et du "sans"... et là il n'y est pas question de psychanalyse (sexe et oedipe), mais c'est plutot issu des neurosciences.

On ne reproche pas aux autres disciplines de la medecine de ne pas réussir à tout guérir...
La psychiatrie rencontre la neurologie, et la psycho-sociologie... c'est compliqué, y a encore du boulot!



Je me suis un peu emballée en disant que la psychiatrie serait inefficace, Philip K Dick attribue cette affirmation à des groupes pharmaceutiques qui ont fait pression dans un futur plus ou moins proche, je suis en train de relire le bouquin (Simulacres), j'y reviendrai.
Revenir en haut Aller en bas
 
Les ravages des thérapies pour «guérir» l’homosexualité
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» Forum Pour guérir des blessures de l'avortement
» Quand la foi et l'imagination deviennent des thérapies
» Les ravages de la consanguinité
»  les ravages de la boisson alcoolisée
» Oui pour le Paradis Mais Dieu n'est pas cruel pour avoir créé l'Enfer

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Dialogue islamo-chrétien :: SCIENCES, FOI et SOCIETE :: Problèmes de société, réponse des religions !!-
Sauter vers: