23 septembre : Saint Pio de Pietrelcina - Padre Pio

Pour connaître Padre Pio, cliquez sur ce lien :


BIOGRAPHIE PADRE PIO

mon amie Rose !

Je m'intéresse vivement aux saints stigmatisés !

Et surtout le Padre Pio de Pietrelcina.

Le mystère du sacerdoce a illuminé la vie du capucin, à travers les innombrables épreuves qu’il subit en esprit d’offrande et de sacrifice pour « délivrer les frères des filets de Satan ».

" Jésus mon souffle et ma vie, aujourd’hui, en tremblant, je t’élève dans un mystère d’amour. Qu’avec toi, je sois pour le monde voie, vérité, vie, et pour toi, prêtre saint, victime parfaite. » Tel est le texte, prophétique, que Padre Pio avait fait imprimer sur son image d’ordination.
Toute sa vie, en effet, a été une mise en lumière de mystère du sacerdoce, qui fait du prêtre un autre Christ, au service de la sanctification de ses frères.

Dès son enfance, Francesco Forgione est attiré par Dieu. Il prie et fait pénitence, voit fréquemment la Vierge et son ange gardien. Il est aussi déjà aux prises avec le diable, qui se présente à lui sous des formes terrifiantes.

Très vite, il révèle à ses parents son désir de devenir prêtre. Ceux-ci, très pieux, le soutiendront dans sa vocation. Pour payer ses études, son père ira, à deux reprises, travailler en Argentine.

Au cours de l’été 1898, un capucin passe quêter dans sa maison. Pour Francesco, c’est le déclic : il sera capucin.

De nombreux phénomènes mystiques

Quand à 16 ans il entre au noviciat, il est déjà de santé fragile. Il embrasse pourtant avec joie cette vie très austère, et sera un novice exemplaire. Pendant ses premières années de vie religieuse, les attaques du démon redoublent de violence. C’est aussi l’époque, en 1905, où il fait une première expérience de bilocation – il se trouve physiquement à plusieurs endroits en même temps.

Au long de sa vie, Padre Pio a connu de nombreux phénomènes mystiques : bilocation, prophétie, discernement des esprits, émission de parfum, miracles, etc., sans compter les stigmates, qu’il gardera plus d’un demi-siècle.

Ces phénomènes ne constituent pas la sainteté en elle-même : ils ne sont pas pris en compte pour une canonisation, qui se fonde uniquement sur l’héroïcité des vertus. Ils sont octroyés par Dieu pour le service des âmes, et Padre Pio était le premier à en être conscient.

Le bonheur de sa première messe

À peine le jeune capucin a-t-il prononcé ses vœux perpétuels que ses supérieurs, inquiets pour sa santé, l’envoient se reposer dans sa famille, à Pietrelcina. C’est le début d’un long séjour hors du couvent, mis à part quelques brèves exceptions.

Son ordination, pour laquelle il a obtenu une dispense – il a 23 ans, et l’âge requis est de 24 –, car on pense qu’il va mourir, a lieu pendant cette période.

Il célèbre sa première messe à Pietrelcina, le 14 août 1910. « Comme j’étais heureux ce jour-là, dira-t-il. Mon cœur était brûlant d’amour pour Jésus. J’ai commencé à goûter le paradis ! »

C’est aussi à Pietrelcina qu’il reçoit pour la première fois les stigmates, alors invisibles, et, deux ans plus tard, la blessure d’amour des grands mystiques, un « trait de feu » qui lui transperce le cœur.

Après le bref épisode de son service militaire, où il est confronté à la misère morale et au péché de tant de jeunes enrôlés, Padre Pio peut enfin reprendre la vie conventuelle à laquelle il aspire.

Ses supérieurs l’envoient au couvent de Foggia. Mais le climat s’y révèle si épuisant pour sa santé qu’il est transféré au petit couvent de San Giovanni Rotondo, dans la montagne proche. Il ne le quittera plus pendant les cinquante-deux ans qui lui restent à vivre.

De terribles persécutions

En 1918, le jour de la Fête du Corps du Christ, Padre Pio s’offre en victime pour les pécheurs. La réponse du Seigneur sera l’octroi des stigmates visibles, plaies douloureuses aux mains, aux pieds et au côté, qui identifient encore davantage celui qui les reçoit au Christ, et donnent au monde le témoignage des souffrances qu’Il a endurées pour le salut de tous.

Padre Pio va dès lors être soumis à de nombreux et minutieux examens cliniques de médecins et d’experts. Certains qualifient ses stigmates de « plaies hystériques » ; d’autres, au contraire, concluent à une origine surnaturelle.

Mais déjà le bruit s’en est répandu : fidèles et curieux convergent vers le couvent. Désormais, Padre Pio ne s’appartient plus. « Je n’ai plus une minute de libre, écrit-il alors, tout le temps est pris à délivrer les frères des filets de Satan. » Miracles, conversions, guérisons se multiplient à son confessionnal ou par son intercession.

Cela va déclencher contre Padre Pio de terribles persécutions. Influencé par un clergé local hostile, le Saint-Office prend en 1922 une première série de mesures restrictives à son encontre. En 1923, il prononce contre lui une condamnation solennelle et publique. L’année suivante, il demande aux fidèles de s’abstenir de tout rapport avec lui.

Enfin, en 1933, il lui interdit tout ministère sacerdotal, à part la célébration privée de la messe.

Padre Pio obéit héroïquement, sans la moindre parole de protestation. L’interdiction du Saint-Office ne sera levée qu’en 1934, à la suite d’une visite apostolique du couvent de San Giovanni Rotondo, demandée par Pie XI.

Ne plus pouvoir confesser avait été pour Padre Pio une immense souffrance, tant était grand son désir de libérer les âmes par le pardon de Dieu.

Des heures sans fin au confessionnal

Les heures que Padre Pio a passées au confessionnal sont innombrables. Il administrait le sacrement de la pénitence avec beaucoup d’amour, mais aussi de rigueur, demandant une confession

claire, brève, complète. Son don de lire dans les âmes bouleversait les pénitents, à qui il rappelait avec douceur des péchés omis ou oubliés.

Parfois, il renvoyait quelqu’un, lui refusant l’absolution pour lui faire prendre conscience de la gravité du péché. il savait que cette réflexion serait salutaire et que la personne reviendrait, changée. D’autres fois, il faisait directement signe à une personne, dans la foule, de venir se confesser.

Mais toujours, il prenait sur lui la souffrance de ce combat dramatique contre le péché, qu’il livrait en disciple du Christ, et qui lui faisait ramener de grands pécheurs au Seigneur. « Les âmes, si on savait le prix qu’elles coûtent ! », devait-il dire un jour.

L’autre aspect bouleversant de son ministère était la célébration de la messe. Combien de pèlerins, à le voir célébrer lentement, participant douloureusement de tout son être aux souffrances de la passion de son Seigneur, au long de la célébration, ont découvert ce qu’est réellement la messe, perçu dans l’Eucharistie la source d’où coulent sur le monde des fleuves d’eau vive.

À l’autel, Padre Pio était réellement un autre Christ, offrant le Christ au Père et s’offrant lui-même en sacrifice pour le salut du monde.

Parmi ses soutiens, le pape Paul VI

Auprès de Padre Pio réhabilité, on vient à nouveau chercher conseils et réconfort. Il encourage la création de groupes de prières, entreprend la construction de l’hôpital Casa sollievo della sofferenza.

Lui, cependant, est plongé dans la souffrance d’une épaisse nuit intérieure. Et le succès de la Casa va provoquer, à partir de 1959, une nouvelle vague de persécutions.

Le 31 janvier 1961, le Saint-Office promulgue à nouveau des mesures disciplinaires draconiennes contre le capucin. Mais désormais, celui-ci a de nombreux amis qui se mobilisent. Et surtout, Paul VI, élu pape en 1963, l’admire profondément. Il intervient dès le 30 janvier 1964 pour que cesse toute persécution envers lui.

Padre Pio a alors 77 ans. Il est de plus en plus faible et malade. Mais jusqu’au bout il se donne à sa mission, confessant jusqu’à soixante-dix personnes par jour.

Le 22 septembre 1968, il monte très péniblement à l’autel. Ce sera sa dernière messe, à la fin de laquelle il s’évanouit. Lorsqu’il s’éteint doucement dans sa cellule, le lendemain, à 2 h 30 du matin, ses stigmates ont totalement disparu.

Depuis, les foules n’ont cessé de venir à San Giovanni Rotondo vénérer l’humble moine qui repose dans la crypte du couvent, appelant de leurs vœux la béatification qui aujourd’hui comble leur cœur. Car elle reconnaît en Padre Pio un authentique témoin du Christ, un prêtre qui a vécu en profonde conformité avec son Seigneur."



Bernadette Dubois in "Famille chétienne"

mario-franc_lazur a écrit:

Le mystère du sacerdoce a illuminé la vie du capucin, à travers les innombrables épreuves qu’il subit en esprit d’offrande et de sacrifice pour « délivrer les frères des filets de Satan ».

" Jésus mon souffle et ma vie, aujourd’hui, en tremblant, je t’élève dans un mystère d’amour. Qu’avec toi, je sois pour le monde voie, vérité, vie, et pour toi, prêtre saint, victime parfaite. » Tel est le texte, prophétique, que Padre Pio avait fait imprimer sur son image d’ordination.
Toute sa vie, en effet, a été une mise en lumière de mystère du sacerdoce, qui fait du prêtre un autre Christ, au service de la sanctification de ses frères.

Dès son enfance, Francesco Forgione est attiré par Dieu. Il prie et fait pénitence, voit fréquemment la Vierge et son ange gardien. Il est aussi déjà aux prises avec le diable, qui se présente à lui sous des formes terrifiantes.

Très vite, il révèle à ses parents son désir de devenir prêtre. Ceux-ci, très pieux, le soutiendront dans sa vocation. Pour payer ses études, son père ira, à deux reprises, travailler en Argentine.

Au cours de l’été 1898, un capucin passe quêter dans sa maison. Pour Francesco, c’est le déclic : il sera capucin.

De nombreux phénomènes mystiques

Quand à 16 ans il entre au noviciat, il est déjà de santé fragile. Il embrasse pourtant avec joie cette vie très austère, et sera un novice exemplaire. Pendant ses premières années de vie religieuse, les attaques du démon redoublent de violence. C’est aussi l’époque, en 1905, où il fait une première expérience de bilocation – il se trouve physiquement à plusieurs endroits en même temps.

Au long de sa vie, Padre Pio a connu de nombreux phénomènes mystiques : bilocation, prophétie, discernement des esprits, émission de parfum, miracles, etc., sans compter les stigmates, qu’il gardera plus d’un demi-siècle.

Ces phénomènes ne constituent pas la sainteté en elle-même : ils ne sont pas pris en compte pour une canonisation, qui se fonde uniquement sur l’héroïcité des vertus. Ils sont octroyés par Dieu pour le service des âmes, et Padre Pio était le premier à en être conscient.

Le bonheur de sa première messe

À peine le jeune capucin a-t-il prononcé ses vœux perpétuels que ses supérieurs, inquiets pour sa santé, l’envoient se reposer dans sa famille, à Pietrelcina. C’est le début d’un long séjour hors du couvent, mis à part quelques brèves exceptions.

Son ordination, pour laquelle il a obtenu une dispense – il a 23 ans, et l’âge requis est de 24 –, car on pense qu’il va mourir, a lieu pendant cette période.

Il célèbre sa première messe à Pietrelcina, le 14 août 1910. « Comme j’étais heureux ce jour-là, dira-t-il. Mon cœur était brûlant d’amour pour Jésus. J’ai commencé à goûter le paradis ! »

C’est aussi à Pietrelcina qu’il reçoit pour la première fois les stigmates, alors invisibles, et, deux ans plus tard, la blessure d’amour des grands mystiques, un « trait de feu » qui lui transperce le cœur.

Après le bref épisode de son service militaire, où il est confronté à la misère morale et au péché de tant de jeunes enrôlés, Padre Pio peut enfin reprendre la vie conventuelle à laquelle il aspire.

Ses supérieurs l’envoient au couvent de Foggia. Mais le climat s’y révèle si épuisant pour sa santé qu’il est transféré au petit couvent de San Giovanni Rotondo, dans la montagne proche. Il ne le quittera plus pendant les cinquante-deux ans qui lui restent à vivre.

De terribles persécutions

En 1918, le jour de la Fête du Corps du Christ, Padre Pio s’offre en victime pour les pécheurs. La réponse du Seigneur sera l’octroi des stigmates visibles, plaies douloureuses aux mains, aux pieds et au côté, qui identifient encore davantage celui qui les reçoit au Christ, et donnent au monde le témoignage des souffrances qu’Il a endurées pour le salut de tous.

Padre Pio va dès lors être soumis à de nombreux et minutieux examens cliniques de médecins et d’experts. Certains qualifient ses stigmates de « plaies hystériques » ; d’autres, au contraire, concluent à une origine surnaturelle.

Mais déjà le bruit s’en est répandu : fidèles et curieux convergent vers le couvent. Désormais, Padre Pio ne s’appartient plus. « Je n’ai plus une minute de libre, écrit-il alors, tout le temps est pris à délivrer les frères des filets de Satan. » Miracles, conversions, guérisons se multiplient à son confessionnal ou par son intercession.

Cela va déclencher contre Padre Pio de terribles persécutions. Influencé par un clergé local hostile, le Saint-Office prend en 1922 une première série de mesures restrictives à son encontre. En 1923, il prononce contre lui une condamnation solennelle et publique. L’année suivante, il demande aux fidèles de s’abstenir de tout rapport avec lui.

Enfin, en 1933, il lui interdit tout ministère sacerdotal, à part la célébration privée de la messe.

Padre Pio obéit héroïquement, sans la moindre parole de protestation. L’interdiction du Saint-Office ne sera levée qu’en 1934, à la suite d’une visite apostolique du couvent de San Giovanni Rotondo, demandée par Pie XI.

Ne plus pouvoir confesser avait été pour Padre Pio une immense souffrance, tant était grand son désir de libérer les âmes par le pardon de Dieu.

Des heures sans fin au confessionnal

Les heures que Padre Pio a passées au confessionnal sont innombrables. Il administrait le sacrement de la pénitence avec beaucoup d’amour, mais aussi de rigueur, demandant une confession

claire, brève, complète. Son don de lire dans les âmes bouleversait les pénitents, à qui il rappelait avec douceur des péchés omis ou oubliés.

Parfois, il renvoyait quelqu’un, lui refusant l’absolution pour lui faire prendre conscience de la gravité du péché. il savait que cette réflexion serait salutaire et que la personne reviendrait, changée. D’autres fois, il faisait directement signe à une personne, dans la foule, de venir se confesser.

Mais toujours, il prenait sur lui la souffrance de ce combat dramatique contre le péché, qu’il livrait en disciple du Christ, et qui lui faisait ramener de grands pécheurs au Seigneur. « Les âmes, si on savait le prix qu’elles coûtent ! », devait-il dire un jour.

L’autre aspect bouleversant de son ministère était la célébration de la messe. Combien de pèlerins, à le voir célébrer lentement, participant douloureusement de tout son être aux souffrances de la passion de son Seigneur, au long de la célébration, ont découvert ce qu’est réellement la messe, perçu dans l’Eucharistie la source d’où coulent sur le monde des fleuves d’eau vive.

À l’autel, Padre Pio était réellement un autre Christ, offrant le Christ au Père et s’offrant lui-même en sacrifice pour le salut du monde.

Parmi ses soutiens, le pape Paul VI

Auprès de Padre Pio réhabilité, on vient à nouveau chercher conseils et réconfort. Il encourage la création de groupes de prières, entreprend la construction de l’hôpital Casa sollievo della sofferenza.

Lui, cependant, est plongé dans la souffrance d’une épaisse nuit intérieure. Et le succès de la Casa va provoquer, à partir de 1959, une nouvelle vague de persécutions.

Le 31 janvier 1961, le Saint-Office promulgue à nouveau des mesures disciplinaires draconiennes contre le capucin. Mais désormais, celui-ci a de nombreux amis qui se mobilisent. Et surtout, Paul VI, élu pape en 1963, l’admire profondément. Il intervient dès le 30 janvier 1964 pour que cesse toute persécution envers lui.

Padre Pio a alors 77 ans. Il est de plus en plus faible et malade. Mais jusqu’au bout il se donne à sa mission, confessant jusqu’à soixante-dix personnes par jour.

Le 22 septembre 1968, il monte très péniblement à l’autel. Ce sera sa dernière messe, à la fin de laquelle il s’évanouit. Lorsqu’il s’éteint doucement dans sa cellule, le lendemain, à 2 h 30 du matin, ses stigmates ont totalement disparu.

Depuis, les foules n’ont cessé de venir à San Giovanni Rotondo vénérer l’humble moine qui repose dans la crypte du couvent, appelant de leurs vœux la béatification qui aujourd’hui comble leur cœur. Car elle reconnaît en Padre Pio un authentique témoin du Christ, un prêtre qui a vécu en profonde conformité avec son Seigneur."



Bernadette Dubois in "Famille chétienne"

cher MARIO de nous parler de Saint Padre Pio, Vivant témoin authentique du Christ.

Vivant témoin par ses stigmates car par ces souffrances endurées de la Passion, nous voyons tout ce que le Christ a souffert pour nous ... véritable reproduction du Golgotha, ces mystiques ont été choisis à cause de notre peu de foi !

Vivant témoin par sa charité, son amour de Dieu , du prochain... tout comme une autre "Vénérable Anne-Catherine Emmerich" stigmatisée allemande ... elle-aussi et d'autres ... il fut persécuté par Son Eglise qu'il aimait tant mais il resta en esprit d' obéissance, souffrant patiemment toutes les persécutions et enfin réhabilité et recevoir l'honneur des autels.

Etre persécuté par Son Eglise, quelle souffrance proche de celle de Jésus aux Jardin des Oliviers !

Sa dernière messe est très émouvante, sur la vidéo on voit même les stigmates se refermer , il souffre terriblement , sa santé détruite...... par obéissance il dit cette ultime messe et mourra le lendemain ........
Il entrera dans la Vie Eternelle !

rosedumatin a écrit:

cher MARIO de nous parler de Saint Padre Pio, Vivant témoin authentique du Christ.

Vivant témoin par ses stigmates car par ces souffrances endurées de la Passion, nous voyons tout ce que le Christ a souffert pour nous ... véritable reproduction du Golgotha, ces mystiques ont été choisis à cause de notre peu de foi !

Vivant témoin par sa charité, son amour de Dieu , du prochain... tout comme une autre "Vénérable Anne-Catherine Emmerich" stigmatisée allemande ... elle-aussi et d'autres ... il fut persécuté par Son Eglise qu'il aimait tant mais il resta en esprit d' obéissance, souffrant patiemment toutes les persécutions et enfin réhabilité et recevoir l'honneur des autels.

Etre persécuté par Son Eglise, quelle souffrance proche de celle de Jésus aux Jardin des Oliviers !

Sa dernière messe est très émouvante, sur la vidéo on voit même les stigmates se refermer , il souffre terriblement , sa santé détruite...... par obéissance il dit cette ultime messe et mourra le lendemain ........
Il entrera dans la Vie Eternelle !

Tout cela semble inhumain ! Oui, comment une créature de DIEU peut-elle supporter tout ça ? Mystère ! grand mystère !

mario-franc_lazur a écrit:

rosedumatin a écrit:

cher MARIO de nous parler de Saint Padre Pio, Vivant témoin authentique du Christ.

Vivant témoin par ses stigmates car par ces souffrances endurées de la Passion, nous voyons tout ce que le Christ a souffert pour nous ... véritable reproduction du Golgotha, ces mystiques ont été choisis à cause de notre peu de foi !

Vivant témoin par sa charité, son amour de Dieu , du prochain... tout comme une autre "Vénérable Anne-Catherine Emmerich" stigmatisée allemande ... elle-aussi et d'autres ... il fut persécuté par Son Eglise qu'il aimait tant mais il resta en esprit d' obéissance, souffrant patiemment toutes les persécutions et enfin réhabilité et recevoir l'honneur des autels.

Etre persécuté par Son Eglise, quelle souffrance proche de celle de Jésus aux Jardin des Oliviers !

Sa dernière messe est très émouvante, sur la vidéo on voit même les stigmates se refermer , il souffre terriblement , sa santé détruite...... par obéissance il dit cette ultime messe et mourra le lendemain ........
Il entrera dans la Vie Eternelle !

Tout cela semble inhumain ! Oui, comment une créature de DIEU peut-elle supporter tout ça ? Mystère ! grand mystère !

Ils le supportent par la Grâce de Dieu, ils ont été choisis pour " Communier à Sa Passion" ...

10.09.2017

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Dans la région de San Giovanni Rotondo où vivait le saint, aucune bombe n’est jamais tombée.

C’est le père Damaso da Sant’Elia, supérieur du couvent de Pianisi (Italie) qui raconte cet épisode extraordinaire lors de la cause de canonisation du célèbre moine capucin aux stigmates.

« De nombreux pilotes de l’aviation américaine, britannique ainsi que de diverses nationalités et religions, étaient affectés, dans la région de Bari, afin de mener à bien des missions sur le territoire italien pendant la Seconde guerre mondiale. Tous furent témoins d’un évènement hors du commun. Au cours de leurs missions, plusieurs aviateurs ont survolé la zone de Gargano, près de San Giovanni Rotondo, et affirment avoir vu un moine dans le ciel, leur interdisant de lancer des bombes sur ces lieux. »

Foggia et presque toute la région des Pouilles furent bombardées à plusieurs occasions. Mais, curieusement, aucune bombe ne tomba sur la zone de San Giovanni Rotondo où vivait Padre Pío. Un témoin direct de ces évènements est le général de l’aviation italienne, Bernardo Rosini, qui, à l’époque, faisait partie de l’état-major de l’aviation, aux côtés des forces alliées.

Le général Rosini expliqua que les militaires parlaient régulièrement d’un moine qui apparaissait dans le ciel et incitait les avions à se retirer. Beaucoup de ceux qui entendaient ces histoires riaient et restaient incrédules. Mais constatant que les épisodes se répétaient, à chaque occasion avec des pilotes différents, le général décida d’intervenir personnellement. Il prit le commandement d’une escadrille de bombardiers pour aller détruire un dépôt de munitions allemand qui se trouvait justement à San Giovanni Rotondo.


« Nous étions tous dévorés par la curiosité en attendant de savoir quel serait le résultat de cette opération. Alors, dès que l’escadre fût de retour, nous nous rendîmes immédiatement auprès du général. Il était abasourdi, stupéfait, et nous raconta en détail ce qui s’était passé : à peine étaient-ils arrivés sur les lieux, que ses pilotes et lui, virent dans le ciel la figure d’un moine dressant les mains en l’air. Les bombes se détachèrent seules et tombèrent dans la forêt. Les avions firent demi-tour, sans autre intervention de la part des pilotes. »

Tous se demandaient qui était ce fantôme à qui les avions obéissaient. Quelqu’un expliqua au général, qu’à San Giovanni Rotondo, vivait un moine présentant des stigmates et qu’il était considéré comme un saint par la population locale. Sans doute était-il l’auteur de ses évènements.

Le général déclara qu’il se rendrait sur place dès que cela lui serait possible. Quand la guerre fût terminée, c’est la première chose qu’il fît. Accompagné de plusieurs pilotes, il se rendît au couvent des capucins. En passant le seuil de la sacristie, il se retrouva nez à nez avec plusieurs moines, parmi lesquels il reconnût immédiatement celui qui avait arrêté ses avions.

« Padre Pío s’approcha de lui et, posant une main sur son épaule, il s’adressa à lui : “Alors, c’était toi qui voulait tous nous tuer?”. Le général s’agenouilla devant Padre Pío et ils devinrent amis par la suite. »

Source: Positio III / 1, pp. 689-690 (Pena, 20)

de nous avoir fait connaître cette merveilleuse et véridique histoire ...

Le merveilleux n'est pas le plus important dans la vie de Padre Pio. Mais on ne saurait non plus passer sous silence ces faits riches de signification.

Un homme était venu demander à Padre Pio de guérir sa fille. Celui-ci le regarde : « Tu es bien plus malade que ta fille : je te vois mort ! » L'homme balbutie : « Mais non, je vais très bien ! » – « Malheureux, répond le Père, comment peux-tu aller bien avec autant de péchés sur la conscience ? J'en vois au moins trente-deux ! »

Après sa confession, l'homme témoignait : « Il savait tout, il m'a tout dit ! »

Un homme accompagne son épouse à San Giovanni Rotondo. Il a décidé de profiter du voyage pour l'assassiner en simulant un suicide.

Allant par curiosité à la sacristie voir Padre Pio, il se sent alors poussé à s'approcher du confessionnal. Aussitôt Padre Pio en sort, attrape l'homme par le bras et le pousse vers la sortie : « Va-t'en ! Ne sais-tu pas qu'il est interdit de se souiller les mains avec du sang ? »

L'homme s'enfuit. Mais le lendemain, il revient et se confesse à Padre Pio. Après lui avoir donné l'absolution, celui-ci l'embrasse et lui dit : « Tu as toujours désiré avoir des enfants ? Eh bien n'offense plus Dieu et tu auras un fils ».

L'année suivante, le couple revenait faire baptiser l'enfant.

Une nuit, un capucin inconnu frappe à la porte
Mgr Damiani, un évêque d'Uruguay, avait reçu de Padre Pio la promesse qu'il l'assisterait à l'heure de sa mort.

Une nuit, un archevêque de passage dans sa ville entend frapper à sa porte. Un capucin inconnu entre et lui dit : « Allez chez Mgr Damiani qui est en train de mourir ». L'archevêque s'y rend, et assiste le mourant, qui s'éteint paisiblement. Sur sa table de nuit, un mot griffonné : « Padre Pio est venu ».

Plus tard, lors d'un séjour à San Giovanni Rotondo, l'archevêque reconnaîtra en Padre Pio le capucin venu le réveiller.

Des anges gardiens entreprenants
Un soir, plusieurs fils spirituels de Padre Pio à peine arrivés à San Giovanni Rotondo récapitulent ensemble les grâces qu'ils désirent demander au Père, et chargent leurs anges gardiens de les lui présenter au plus vite.

Le lendemain, après la messe, il les aborde avec le sourire : « Brigands ! Même la nuit vous ne me laissez pas tranquille ! »

Un soir, au moment de quitter Padre Pio, un pèlerin s'aperçoit qu'il pleut à verse. « Et moi qui n'ai même pas de parapluie, dit-il au Père. Je vais être trempé. » –€“ « N'aie pas peur, répond Padre Pio, je t'accompagnerai. »

A peine sorti, l'homme remarque, très étonné, qu'il ne pleut plus. Peu après, il arrive chez les gens chez qui il a loué une chambre : « Mon Dieu, mais vous devez être trempé ! », s'écrie l'hôtesse. –€“ « Pas du tout, il ne pleut plus. » –€“ « Comment, il ne pleut plus ? Regardez, c'est un vrai déluge ! Qui n'a pas cessé depuis une heure ! Comment avez-vous fait pour être sec ? »

Voyant l'enveloppe, le curé pâlit...
Un curé, agacé par l'enthousiasme que montrait un de ses paroissiens envers Padre Pio, décide de tester le capucin. Lorsque son paroissien se rend à nouveau à San Giovanni Rotondo, il lui confie une lettre cachetée contenant une “€œcolle”€ à remettre à Padre Pio, et lui demande d'en rapporter la réponse.

L'homme est encore dans la foule quand Padre Pio l'interpelle : « Sors la lettre de ta poche et écris ce que je te dicte sur l'enveloppe ».

A son retour, le paroissien remet la lettre non décachetée à son curé. Qui, en voyant ce qui est griffonné sur l'enveloppe, pâlit : c'est la réponse à sa question.

Une femme du pays dont le mari était tombé gravement malade court au couvent. Mais il faut attendre trois jours pour voir Padre Pio. Alors, pendant la messe, la femme s'agite, rabâche intérieurement sa prière.

Après la messe, Padre Pio passe devant elle, la regarde, et la gronde : « Femme de peu de foi, quand auras-tu fini de me corner aux oreilles ? Suis-je donc sourd ? Tu me l'as déjà demandé cinq fois. J'ai compris... » Puis il sourit : « Va vite à la maison, tout va bien ». A son retour, elle trouve son mari guéri.

Un personnage important arrive au couvent. La foule l'accompagne et insiste auprès de Padre Pio pour qu'il l'accueille tout de suite. Mais celui-ci fait passer avant un jeune ramoneur dont c'était le tour. Vexé, le personnage abrège sa propre entrevue.

« Pourquoi ne pas l'avoir pris le premier ? », demande à Padre Pio un de ses fils spirituels. - « De quel droit ? répond le Père. Ce n'est pas l'importance du personnage qui rend son âme meilleure. Le jeune ramoneur, noir au dehors, est blanc au dedans. Tandis que l'autre, blanc au dehors, a une âme toute noire. Au tribunal de Dieu, celui qui a le plus de droits, c'est le fils prodigue qui se reconnaît pécheur. »

Dans leur chambre, un parfum exquis
Deux jeunes mariés, ayant une grave décision à prendre, se rendent d'Angleterre en voiture demander conseil à Padre Pio. Pas très riches, ils couchent en chemin dans un hôtel minable et, découragés, se demandent s'ils n'ont pas fait toutes ces dépenses pour rien. Soudain, dans leur chambre, ils se sentent entourés d'un parfum exquis qui les réconforte. Aucun flacon, pourtant, dans la chambre, qui, au bout d'un moment, retrouve son odeur de moisi.

Arrivés chez Padre Pio, qui les reçoit à bras ouverts : « Nous vous avons écrit, mais comme vous ne nous avez pas répondu... », s'excusent-ils. « Comment, je ne vous ai pas répondu ? A l'hôtel, vous n'avez rien senti ? » Puis, en quelques mots, Padre Pio résout leur problème.

Un groupe de pèlerins guette Padre Pio devant la porte qu'il doit franchir pour aller à l'église. Trois heures passent, ils attendent toujours.

Un capucin arrive : « Qu'attendez-vous donc là ? » –€“ « Padre Pio, bien sûr ! » –€“ « Mais il est déjà en train de confesser à l'église depuis longtemps ! » –€“ « Par où est-il passé ? » –€“ « Par cette porte, évidemment ! » – « Mais, nous ne l'avons pas vu. » –€“ « Si vous ne l'avez pas vu, c'est qu'il ne voulait pas vous voir. Padre Pio est là pour confesser, non pour bavarder ou satisfaire la curiosité des visiteurs. »

ma maman avait une icône de ce Saint.

rosedumatin a écrit:

Le merveilleux n'est pas le plus important dans la vie de Padre Pio. Mais on ne saurait non plus passer sous silence ces faits riches de signification.
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EXTRAORDINAIRE. Et quand on pense que l'Eglise a été si longue à reconnaître ses mérites et sa sainteté !!!